Brigandage

as point donné un cœur pour nous haïr, des mains pour nous égorger » = Dieu ne veut pas de violence entre les hommes en son nom. Intolérance = « égorger, haine, persécution, déchirons, se détester, guerre, tyrannie », comparaison avec le « brigandage qui ravit par la force le fruit du travail et de l’industrie paisible » (champs lexical de la violence, négatif) Tolérance = « nous aider mutuellement à supporter le fardeau d’une vie pénible, fraternité, paix, se supporter, paisible » (champs

terre sancte, « aide à la Terre sainte », expeditio, transitio ainsi que « passage général » (expéditions d'armées nationales), « passage régulier » et « passage particulier », ces passages étant des incursions ponctuelles (plus ou moins locales, de brigandage et pillage) et non les « guerres saintes » et « grandes expéditions » que sont les croisades1. Le terme de croisade n'apparaît que tardivement en français : le Trésor de la langue française informatisé (TLFi) fait remonter l'expression « soi cruisier

pas la meme selon les différents territoires français , alors que le sud s'inspirait du droit romain , le nord lui fessait reposé la justice sur les coutumes . Au sortir de la terreur Napoléon doit redresser un pays ravagés par les guerres et le brigandage , il veut aussi crée un véritable lien entre les français et pour cela il a une idée de génie , il va faire en sorte que tout les français quelle que soient la région ou ils habitent doivent obéir aux mêmes lois , cela va permettre de structurer

qui vont les tuer et occupent le vainqueur à un autre meurtre. La fin de ceux qui combattent est la mort : la choses se règlent par le fer et le feu. Ces choses se font pendant que l’arène est vide. « Mais quelqu’un a organisé un brigandage, il a tué un homme ». Quoi donc ? Parce qu’il a tué, celui-là mérite de subir ce traitement : toi malheureux, pourquoi as-tu mérité d’assister à ce spectacle ? « Tue, frappe, brûle ! » Pourquoi se jette-t-il si timidement sur le

sans envie : car tu sais qu'il n'y a dans ces vanités ni de quoi envier, ni de quoi s'enorgueillir. Puissent tous les hommes se souvenir qu'ils sont frères ! Qu’ils aient en horreur la tyrannie exercée sur les âmes, comme ils ont en exécration le brigandage qui ravit par la force le fruit du travail et de l’industrie paisible. Si les fléaux de la guerre sont inévitables, ne nous haïssons pas, ne nous déchirons pas les uns les autres dans le sein de la paix et employons l’instant de notre existence

est trahie par son physique, ses yeux. 2. L’abbé et son argumentation * Il défend la loi positive, la loi de la société : les lois civiles. Ss loi c’est l’anarchie * Critique de la loi naturelle, pr lui loi sociale>loi naturelle (=brigandage naturel cf Diderot) * Il a une réaction, poli, calme et modérée « mon cher voisin » : voc amical, tendre, paroles flatteuses. Simple reproche, tente de le raisonner, il s’adresse a lui comme a un étranger qui ne comprends pas. Il débat avec

« ses privilèges de la loi naturelle » : ici, pulsions et désirs qui la régissent. Or privilège appartient au code juridique, opposé de la loi du plus fort ( oxymore. « loi naturelle » comparée au « brigandage naturel » Voltaire condamne ainsi le comportement sauvage du Huron. Sauvage < saevus, latin = cruel. 3) Qui propose des solutions • Voltaire soutient la loi positive Loi positive = loi rédigée, convention faite entre les hommes.

négative, car elle conduit à l’intolérance. PRESENTATION DU TEXTE « Prière a Dieu » «  Puissent tous les hommes se souvenir qu’ils ont frères ! Qu’ils aient en horreur la tyrannie exercée sur les âmes, comme ils ont en exécration la brigandage qui ravit par la force , le fruit du travail et de l’industrie paisible ! » Si les guerres sont inévitables nous ne haïssons pas, ne nous déchirons pas le uns les autres dans le sein de la paix, et employant l’instant de notre existence

Ratsey et imaginer un dialogue entre lui et Tom. Mise en voix des textes Pause à la fin du chapitre 3. le débat portera sur : - le personnage de Ratsey, sa cruauté, sa hargne, sa brutalité, mais aussi son parcours d’homme Page 1 sur 3 - le brigandage Préparation de la lecture à haute voix du chapitre 4 2ème séance : Résumé oral des chapitres précédents. Lecture magistrale des chapitres 5, 6, 7, 8. Pauses pour compréhension après la lecture. Le débat portera sur : - la générosité - la filouterie

pays, tout est échangé contre de l’argent, même les actions humaines et les vertus morales qui sont des choses qui ne s’échangent pas. Enfin, Montesquieu définit « l’esprit de commerce » comme « un sentiment de justice exacte ». Il oppose les brigandages qui signifie le pillage et les crimes commis avec violence à certaines vertus morales. Il s’agit de celles où on ne discute pas ses intérêts voire qu’on les mette de côté au profit des intérêts d’autrui. Montesquieu nous fais donc comprendre à