Britannicus Acte 3

plus, au XVIIème siècle, le respect de la Raison impose des « Règles » voulues par les théoriciens du théâtre, Boileau et les « Doctes ». Ils imposent leurs idées en réaction avec les intrigues débridées de la période renaissante. Il s’agit des « 3 UNITES », règle des 24 heures, du lieu unique dit « palais à volonté » dans lequel se situent toutes les pièces de Racine, et de la règle d’unité d’action. S’ajoutent également la règle de bienséance et celle de vraisemblance afin de ne pas choquer

» Je veux qu’elle réponde : « Une tarte à la crème » ; En un mot, qu’elle soit d’une ignorance extrême ; Et c’est assez pour elle, à vous en bien parler, De savoir prier Dieu, m’aimer, coudre et filer. Molière (1622-1673), L’École des femmes, acte I, scène 1, v. 82 à 102, 1662. L’École des femmes, mise en scène d’Éric Vigner à la Comédie-Française en 1999, avec Bruno Rafaelli (Arnolphe) et Jean-Claude Drouot (Chrysalde), © L. Lot. Analyse il d’un éloge ? Appuyez votre réponse sur l’étude

Année 2014-2015 SOMMAIRE Définition…………………………………………………………………………………………………………3 I. Tragédies de Racine……………………………………………………………………………………….4 A. L’auteur…………………………………………………………………………………………………………5 B. Exemples……………………………………………………………………………………………………….6 1. « Andromaque » de Jean Racine…………………………………………………………………..7 2. « Britannicus » de Jean Racine……………………………………………………………………17 II. Tragédies de Corneille…………………………………………………………………………………27 A. L’auteur………………………………………………………………………………………………………

Thébaïde(1664) Alexandre le Grand(1665) Andromaque(1667) Les Plaideurs (1668,unique comédie de Racine.) Britannicus(1669) Bérénice(1670) Bajazet(1672) Mithridate(1673) Iphigénie(1674) Phèdre(1677) Esther(1689) Athalie(1691) 2.L’Œuvre: -C’est une tragédie en cinq actes et en alexandrins. -L’action a eu lieu durant l’Antiquité. -L’action se déroule dans le palais de Thésée, à Trézène en Grèce. 3.L’intrigue: Phèdre, amoureuse de d’Hippolyte son beau fils ment à son époux Thésée lors

Corpus de texte : A : Jean Racine, Britanicus, acte II, Scène 6,1669 B : Victor Hugo, Hernanie, acte I, scène 2,1830 C : Georges Feydeau, La Dame de chez Maxim, scène V, 1899 Nous allons étudier3 textes, le premier du 17em siècle, tiré du texte de Britannicus de Jean Racine, et deux autres textes du 19èm siècle de Victor Hugo et Georges Feydeau. Les 3 textes font l’objet d’un personnagecaché, c’est pour cela que nous allons nous demander si nous pouvons associer un registre littéraire au motif

condition humaine, homme est limite dans sa percepetion-Question pose  “est ce qu’on peut ressentir la mort?”BANQUE DE TEXTES: LES PIECES LUES EN LECTURE CURSIVES TEXTES RESUME ANALYSE BANQUE DE TEXTES: BRITANNICUS 1669 TEXTES RESUMES ANALYSE Scene d’expositionAgrippine se plaint chey Albine puisque Neron a change. Il echappe a son autorite echape mais enleve Junie et se declare donc contre B-image pejorative de

I. 1. Vie et œuvre de l´auteur ............................................................................. 6 I. 2. Date de parution et conditions d´écriture .................................................... 6 I. 3. Genèse de l´œuvre et différentes éditions .................................................. 6 I. 4. Traductions ................................................................................................. 7 II. PARATEXTE

Britannicus: Acte II scène 2 = l'aveu de Néron à Narcisse (Racine) Introduction: Au XVII ème siècle, deux tragédiens se partagent la scène française: Corneille et Racine. Ce dernier a écrit de nombreuses tragédies inspirées de l'Antiquité Grecque ou Romaine. Britannicus est la première tragédie historique de Racine (1639/1699), écrite en 1669, dont le cadre est emprunté à l’histoire romaine. Le texte qui nous est proposé évoque la 1ère rencontre de Néron et Junie. Nous savons que chez

ACTE I ACTE II ACTE III ACTE IV ACTE V III/ETUDE DES PERSONNAGE PHEDRE HIPPOLYTE ET ARICIE OENONE les exposants THESEE

écrivit  au  1er  siècle  de  notre  ère  une  Histoire  Philippique  en  44  livres  dont  nous  ne  connaissons  qu’un  abrégé  rédigé  par  Justin,  Burrhus  partage ‐ peut‐être ‐ aussi cette origine avec celui que Racine dans la préface  de  Britannicus  qualifiait  de  « le  plus  grand  peintre  de  l’antiquité »,  Publius  Cornelius Tacitus, Tacite.  Par  contre  ce  n’est  pas  d’une  origine  géographique  commune  que  peut  se  prévaloir mile huit cents  ans plus tard l’industriel alsacien quasi homonyme qui