Britannicus Burrhus

Cinna doit sa naissance », la deuxième œuvre, fruit de l’humiliation est meilleure que la première · « Et peut-être ta plume aux censeurs de Pyrrhus, Doit les plus nobles traits dont tu peignis Burrhus », dernier éloge de Boileau à son ami ; Britannicus surpasse Andromaque car son auteur subit les avanies dues à son génie Sincèrement admiratif du travail de Racine, Boileau ne s’économise pas pour l’encenser. De nombreuses

Fiche méthode consacrée à la lecture analytique dans la séquence 1. Corpus de textes : Texte A. Racine, Britannicus (Acte V, scène 5), 1669 Texte B. Racine, Phèdre (Acte V, scène 7), 1677 Texte C. Giraudoux, Électre (Acte II, scène 7), 1937 Texte A. Racine, Britannicus (Acte V, scène 5), 1669 L’empereur Néron, fils d’Agrippine fait enlever Junie, la fiancée de son demi-frère Britannicus, beau-fils d’Agrippine. Lors de leur rencontre, il tombe alors amoureux de la jeune fille. Jaloux de l’amour

Britannicus (1669) Racine   Agrippine, mère de Néron, s’aperçoit que ce prince qu’elle n’avait élevé au trône que pour régner sous son nom, est décidé à secouer le joug et à gouverner par lui-même. Cette mère ambitieuse et affamée de pouvoir a résolu de marier Junie à Britannicus, fils de l’empereur Claude, son premier mari, et frère adoptif de Néron, dans le but de se concilier l’affection de ce jeune prince et de s’en servir au besoin contre Néron. Narcisse, gouverneur de Britannicus et en

de Corneille o   Grandeur  trois œuvres de Racine, mais désignées par un personnage (ce qui les suppose mieux connues du lecteur) : Mithridate, personnage éponyme, Porus, personnage d’Alexandre (le premier grand succès de Racine), Burrhus, personnage de Britannicus. -          « ces passions encore favorites des Anciens » : encore = etiam, également. « Terreur et pitié » : ce par quoi se définit le genre tragique chez Aristote. Nouveau renversement, d’abord Racine, puis Corneille. Ce passage

cin�ma et la t�l�vision. D�sormais, il existe de nombreux autres moyens de faire passer des pens�es tels que les m�dias, mais le th��tre de ce point de vue l� est encore un bon endroit pour d�fendre des id�es. Racine dans Britannicus (1669) ��s'incarne�� dans la peau de Burrhus le pr�cepteur de N�ron. C'est par son biais que l'auteur peut �mettre des jugements et par la m�me occasion montrer, comment N�ron l'empereur peut se r�v�ler un �tre monstrueux capable de toutes les trahisons comme d'assassiner

la lecture analytique que vous trouverez dans la séquence 1. Corpus de textes Texte A : Racine, Britannicus (Acte V, scène 5), 1669 Texte B : Racine, Phèdre (Acte V, scène 7), 1677 Texte C : Giraudoux, Électre (Acte II, scène 7), 1937 Texte A   Racine, Britannicus (Acte V, scène 5), 1669 L’empereur Néron, fils d’Agrippine fait enlever Junie, la fiancée de son demi-frère Britannicus, beau-fils d’Agrippine. Lors de leur rencontre, il tombe alors amoureux de la jeune fille. Jaloux de l’amour

un texte théâtral ;  la notion de genre (tragédie et comédie) de • Distinguer celle de registre (comique et tragique).  groupement de textes comiques • Un  groupement de textes tragiques • Un  cursive : Jean Racine, • Lecture Britannicus (1669) Objet d’étude La tragédie et la comédie au XVIIe siècle : le classicisme Présentation de la séquence Présentation des objectifs Avant de commencer… quelques repères historiques Chapitre 1 Aspects de la comédie au XVIIe siècle

Apprendre à commenter un texte théâtral ; • Distinguer la notion de genre (tragédie et comédie) de celle de registre (comique et tragique). • Un groupement de textes comiques • Un groupement de textes tragiques • Lecture cursive : Jean Racine, Britannicus (1669) Objet d’étude La tragédie et la comédie au XVIIe siècle : le classicisme Présentation de la séquence Présentation des objectifs Avant de commencer… quelques repères historiques Chapitre 1 Aspects de la comédie au XVIIe siècle A. Sources

l'ensemble, mais le tissu du style est trop parfait pour n'être pas d'un seul et même écrivain. Le succès « d'Andromaque », qui n'était comparable qu'à celui du « Cid », avait éveillé l'envie : peut-être aussi avait-il rendu le public plus difficile. « Britannicus » fut reçu froidement (1669) et se traîna péniblement jusqu'à la huitième représentation. On ne sentit point d'abord tout ce qu'avait de vrai, de profond, de terrible, ce tableau historique du caractère de la cour de Néron. Boileau, presque seul

réception de Messieurs de Corneille et de Bergeret, 2 janvier 1685, Œuvres complètes, t. I, La Pléiade, Paris, 1966, p. 350. La fascination du secret du prince parcourt toute l’œuvre de Racine : « Et tandis que Burrhus allait secrètement/De l’armée en vos mains exiger le serment » (Britannicus) ; « Le cabinet superbe et solitaire/Du secret de Titus est le dépositaire (Bérénice). Galerie des glaces On sait quelle importance avait le décor de la galerie des Glaces pour Louis XIV : le roi fit changer