Bruges Et Venise

historiques évidentes. Néanmoins, les États-Unis admirent le patrimoine culturel européen, car il s’agit de leurs racines culturelles : on le constate dans les acquisitions des œuvres d'art, dans leur présence dans les lieux artistiques (Paris, Bruges, Venise, Égypte…), dans les mécénats américains pour la restauration de quelques éléments symboliques du patrimoine européen (château de Versailles…), dans les échanges musicaux (chefs d'orchestre…), etc. Le respect des Américains pour l’histoire monarchique

de la Hanse (parfois plus importantes). Le commerce est à l’origine de la création de nombreuses villes, dites de « foire » (Provins, Bar-sur-Aube...). Rares sont néanmoins les grandes villes de plus de 100 000 habitants (seules Paris, Milan et Venise atteignent ce seuil, alors que Paris ne comptait au XIè siècle que 50 000 hab). Ces villes sont souvent des lieux de décision politique (présence de palais royaux, ducaux), religieux (présence d’évêchés) ou culturels (ouverture d’universités

regroupement de « grands consommateurs », ce qui induit un développement d'activités artisanales diverses au service de «l'art de vivre ». Ces activités peuvent elles-mêmes prendre progressivement de l'autonomie. Ainsi peuvent s'opposer des villes «type Bruges » où le prince n'a pas le droit de ré­ sidence et des villes «type Liège» où toute l'histoire s'organise autour du Prince Evêque. Ces deux pouvoirs peuvent aussi coexis­ ter dans une même ville et utiliser les res­ sources de la morphologie urbaine

historiques évidentes. Néanmoins, les États-Unis admirent le patrimoine culturel européen, car il s’agit de leurs racines culturelles : on le constate dans les acquisitions des œuvres d'art, dans leur présence dans les lieux artistiques (Paris, Bruges, Venise, Égypte…), dans les mécénats américains pour la restauration de quelques éléments symboliques du patrimoine européen (château de Versailles…), dans les échanges musicaux (chefs d'orchestre…), etc. Le respect des Américains pour l’histoire monarchique

ou moins sophistiquée sur l’utilisation de modèles classiques de RO. De la RO vers l’intelligence économique « Les informations, les marchandises, les capitaux, les crédits, les hommes, les ordres y affluent et en repartent », à propos de Bruges et Venise, XIIème siècle, la notion d’Intelligence Economique (IE) est manifestement apparue vers le début des années 90 : Henri MARTRE (1994) définit l’IE comme l’ensemble des actions coordonnées de recherche, de traitement et de diffusion de l’information

traductions latines ďAristote et sur des commentaires grecs ou arabes employés par les docteurs scolastiques, nouvelle édition revue et aug mentée, Paris 1843. 2. Césaire d'Heisterbach ; F. de la Pena, dans le Directorium Inquisitorum de F. N. Eymeric. Venise, 1607, p. 317-1 (Pars. II, qu. 28, comment. 53). 3. Romanic Review, II, 1911, p. 2. 4. A History of Magic and Experimental Science, vol. II, New York, 1923. 639 ANNALES Mlle M.-Th. d'Alverny, ont montré l'aspect fragile de la croyance à une tradition

qui vont le prendre en charge. Le mouvement prend de l’ampleur au 12eme siecle. Dans cette Italie où la presence de la cité est importantes, quelques cités commencent à se distinguer : Pise Gênes A l’epoque, ce sont deux cités maritimes. Venise (qui commence à etre indenpendante face à l’empire)  on a un developpement du commerce qui va faire la richesse de l’Italie. Pise fournit les flottes necessaires aux entreprises imperiales. Lorque les empereurs germaniques veulent se rendre

méditerranéen, déplaçant vers le nord-ouest le centre de gravité des affaires, tandis que Séville connaissait une stupéfiante mais éphémère croissance. Lyon puis Anvers, puis Amsterdam et Londres étaient appelées à prendre la place jadis occupée par Gêne ou Venise. Développement de la production, amélioration des transports, circulation des hommes, des fonds et des informations: tout tendit à insérer de + en + fortement les villes dans des réseaux. Chapitre 1 : La lente urbanisation de l'Europe moderne

les pierres précieuses, l’ivoire, les épices, les étoffes, le vin… •Le commerce d’esclaves est l’un des principaux fondements de l’essor économique vénitien au IXème siècle. Puis le traité signé entre Venise et Byzance en 992 marque le début de la puissance maritime vénitienne en Méditerranée. Venise était une ville état, prospère et puissante, avec des comptoirs un peu partout en méditerranée, une flotte de guerre évolué… La Gaule •Un commerce intense se développe entre les Massaliotes (habitants

depuis un siècle suite aux guerres et aux multiples épidémies de peste, il recommence à croître, donnant un nouvel essor aux activités. Le commerce maritime en Méditerranée est dominé par les Italiens qui, avec les ports de Gênes et de Venise, alimentent Londres et Bruges pas le détroit de Gibraltar, de là, les marchandises venues d’Orient peuvent partir vers d’autres régions du nord de l’Europe et ainsi les alimenter. b) Les causes des voyages jusqu’en Inde Les conditions de vie s’améliorent