Bruges La Morte Rodenbach

protagonistes divergent ; Louis refuse de voir cet automate semblant de vie, générant en lui un malaise, le groupe de musiciens provoquent chez lui un sentiment de sinistre, de glauque, d’étrange. Ce qui choque le personnage, c’est l’union de la matière morte et du vivant, l’abolition de la limite entre êtres humains et êtres artificiels. Ferdinand reste froid devant ce qu’il qualifie de poupées vivantes et tente de mettre à l’épreuve les capacités prophétiques de l’automate penseur. Tout se révèlera n’être

et de la mer du Nord (XIIe-XVIIe s.). Constituée d'abord par les marchands de Lübeck, Hambourg et Cologne, elle regroupait au XIVe s. 70 à 80 villes, qui en formaient le noyau actif. Elle avait en outre des comptoirs à Novgorod, Bergen, Londres et Bruges. Son déclin s'accéléra après la défaite infligée à Lübeck par le Danemark (1534 - 1535). hanséatique  adjectif Relatif à la Hanse hapax [apaks] (grec hapax legomenon, chose dite une seule fois)  nom masculin LINGUISTIQUE Mot ou expression qui

décadent, Jules Lafort « Complaintes », 1885. Huysmans « En rade », 1887. Barès avant de devenir e chantre du nationalisme a écrit « Sous l’œil des barbares ». Toujours allusion à l’empire romain. Rodenbach, écrivain berle, roman décadent « Bruges la morte », 1892. Le titre est encore un peu ambigu. Bruges est à la fois la ville et la femme perdue aussi. C’est un des romans les plus significatifs avec « A rebours ». Maeterlinck « Pélisée et Mélisande ». Grande pièce décadente, que Debussy mettra en

d’autres commerces à destination des touristes. C’est une évolution assez classique de lieux dominés par le tourisme. Il en est de même pour le centre de Florence en Italie, Tolède en Espagne, Bruges en Belgique, investies par les touristes et les services qui leurs sont destinés. L’exemple de Bruges est intéressant du fait du développement du tourisme à partir du début du 20e siècle. C’est un développement assez tardif par rapport à celui des métropoles, et cela a permis la reconversion d’une

Les début de la littérature dite féminine date également de cette époque : Maria Van Rysselberghe (1866-1959) ou la comtesse de Robersart (Les Lettres d’Espagne) célèbrent l’apogée de la littérature belge. Georges Rodenbach (1855-1898) s’inscrit dans le mouvement symboliste (Bruges-la-Morte), comme Maurice Maeterlinck (1862-1949) au début de sa carrière (L’Anneau de Polycrate). Il a donné naissance, entre autres, à « trois œuvres-phares Onirologie, La Princesse Maleine, Serres chaudes destinées à bouleverser

Quinault, Thésée 4 J. Racine, préface d’Andromaque 5 W. Shakespeare, Le Roi Lear Prolongements Entretien avec la metteur en scène N. Garraud Séquence 4 La tragédie classique et sa postérité P. Corneille, Horace H. de Montherlant, La Reine morte ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE P. Corneille, Horace TEXTE 2 J. Racine, Bajazet D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 A. de Musset, Lorenzaccio TEXTE 3 J. Racine, Mithridate D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 V. Hugo, Ruy Blas ANALYSE D’IMAGE P. Picasso, Les Pauvres au bord de la mer

Belgian poets (Émile Verhaeren, Charles Van Lerberghe and, though better known as a playwright, Maurice Maeterlinck). Around them, and for long after the movement was considered to have ended, variations on Symbolist principles were woven by Georges Rodenbach, who wrote moodily of lives enclosed by flat landscapes, the mannered Henri Bataille, the aesthete Robert de Montesquiou, and in the prose poems of Saint-Pol Roux. By 1895, however, a reaction had set in against the taste for subjective, impalpable