Bruit

« j’ai touché le ventre poli de la crosse » sont des périphrases qui occultent le tir, le narrateur n'énonce pas clairement les faits et ne se montre donc pas coupable. Il y a une métonymie qui cache le fait : on ne parle que du bruit du tir et non du tir lui même : "le bruit", "sec", "assourdissant". Les allitérations en [s], [k] sont présentes pour décrire le son produit par le tir. L’antithèse « sec et assourdissant » met en valeur l’importance de ce tir. La seule expression reliée au tir, "la gachête

fierté d'avoir un fils rebelle: “joyeusement” et “en riant” Son attitude est donc profondément ambigüe et contribue à créer un malaise chez elle. L'irruption du cri: => Il se produit en fait trois “bruits” quasi simultanément: le bruit de la mer: “le bruit de la mer dans le silence de son obstination se fit entendre à nouveau” le refus d'apprendre le piano de l'enfant le cri de la femme Le cri qui est accompagné d'une “plainte longue, continue” apparaît comme

« ce bruit mystérieux » V16 est en réalité une livraison de bois dans paris que le poète perçoit au V4 et qui le perturbe V9. « chaque buches qui tombe » il la rend sous forme d’une perception hallucinée car l’intensité du bruit le déstabilise. 3) comment se perçoivent ses sensations hallucinées _ Baudelaire traduit de façon morbide des sensations ordinaires ce qui prouve que le poète est à la limite de la folie. _ Il fait plusieurs analogies : tout d’abord il associe le bruit de la

et Weaver peut se résumer ainsi : un émetteur envoie un message, après codage de celui-ci, à un récepteur qui effectue le décodage dans un contexte perturbé de bruit. La différence avec le modèle de Laswell est la notion de codage et décodage faisant référence à la façon dont le message est exprimé et interprété et à la présence de bruits qui correspondent à tous les éléments venant parasiter l’émission, la transmission ou la réception du message : parasite physique, environnement bruyant, distance

ou un zombie il est habillé tout en noir et on dirait qu’il flotte ou qu’il est déjà mort. Peut être que c’est par ce qu’il va mourir qu’il cri. On dirait aussi qu’il y à un bruit horrible alors que c’est pour ça qu’il se bouche les oreilles. Soit c’est le bruit de son cri qu’il lui fait mal aux oreilles soit un autre bruit. ! Au second plan on dirait la mer, le peintre utilise la couleur bleu on dirait des vagues, on dirait même qu’il y à des bateaux. Il y à peut être aussi des montagnes mais

écrit en 1922. Ce recueil est composé de différentes descriptions de différents ports. « Marseille » est un poème en vers décrivant le port de Marseille. Il y a 4 phrases qui développent 4 mouvements différents : la présentation générale : mer bruit, La réflexion sur l’accent, la lune et enfin une invocation directe de Marseille. Il est composé de deux parties : une description de la ville et une invocation personnelle du narrateur. Lecture du texte Marseille Marseille sortie de la mer

entendues n'ayant aucun rapport avec celles des passants qui suivent : voilà d'où vient la nostalgie de la rue. Au milieu du bruit, l'enfant croit entendre le lugubre appel de sa bonne : « Antoine ! » La voix lui arrive déchiquetée comme par d'invisibles ronces. Elle semble venir de derrière lui. Il rebrousse chemin, mais ne répond pas. Et toujours le bruit confus de la rue, ce bruit qui cherche en vain son unité parmi des milliers d'aspirations différentes. Antoine trouve humiliant d'avoir perdu sa bonne

et [n] => lenteur b) harmonie harmonies imitatives « pour un cœur qui s’ennuie ô le bruit de la pluie » 4 quatrains rimes régulières c) cycle / échos répétition de « cœur » et « pluie » => échos 1er et 4ème quatrain => même mot pour la rime rimes a.b.a.a => échos II Le thème de la pluie a) le bruit de la pluie [k] => martèlement de la pluie [i] => souffrance pluie devient un chant « bruit doux de la pluie » b) omniprésence de la pluie répétition de « pluie » fluidité obsession

Lorsqu'il est étendu sur le dos, il tient sa tête droite, un bras et une jambe pliée. Il commence à soulever sa tête et lorsqu'il est assit, il ne tient pas sa tête droite. Bébé devient plus attentif aux bruits et réagit à la voix de sa mère. Il peut ainsi sourire en entendant un bruit. Il fixe du regard les personnes autour de lui. Bébé à 2 mois Le bébé commence à grandir. Il tient sa tête droite quelques instants. Lorsqu'il est allongé sur le ventre, il parvient à soulever sa tête

l'analysait L9 «c'est le bruit d'autres cœurs , de millions d'autres battant comme le mien» il met en relation ses sentiments , son cœur à celui de millions d'autres  L11à19 il n'utilise presque plus que le pluriel II/Exprime son opinion à travers un chant d'appel au combat 1- Le chant du cœur L1 : «voilà qu'il bat pour le combat et la bataille» jeu de mots entre battre comme le cœur et se battre. le son ''ba'' se répète, le ''ba'' imite le son d'un cœur qui bat. L5 : «un tel bruit … les oreilles en