Bruit

temps d'arrêt et temps de gallot alternés.   I - " Ce bruit qui lui faisait mal aux oreilles " Le passage commence sur une note d'humour avec le jeu sur les deux sens du mot " héros " ; Fabrice n'a rien d'héroïque à ce moment. Il n'est pas en proie à la mort véritable : l'émotion qui le saisit est provoquée par des sensations trop vives, comme l'est le bruit qui l'assourdit. L'expérience de la bataille est d'abord l'expérience du bruit, et Stendhal note encore avec humour, par le verbe " scandaliser

de sécurité indispensables pour protéger des accidents du travail. Local des groupes électrogènes Dans le local des groupes électrogènes nous devons également effectuer une ronde technique, et il est indispensable de porter un casque anti bruit. En effet si les groupes électrogènes démarrent, le taux de décibels dépasse très largement le seuil de danger pour l’oreille interne. Locaux d’alimentation électrique générale Dans ces locaux on remarque tout d’abord un panneau qui indique

mène un tel bruit dans la cervelle que les oreilles en sifflent, 5. Et qu'il n'est pas possible que ce bruit ne se répande pas dans la ville et la campagne, 6. Comme le son d'une cloche appelant à l'émeute et au combat. 7. Écoutez, je l'entends qui me revient renvoyé par les échos. 8. Mais non, c'est le bruit d'autres coeurs, de millions d'autres coeurs battant comme le mien à travers la France. 9. Ils battent au même rythme, pour la même besogne tous ces coeurs, 10. Leur bruit est celui de

4 cours de 1 heure chacune, à chaque cours il accueille une quinzaine d’enfants de 6 à 12 ans. Suite au fait que les enfants de cet âge-là sont très bruyants et que la salle est très ancienne, le bruit apporte une résonnance. Arnaud à des sifflements et bourdonnements d’oreilles. L’exposition au bruit sur le lieu de travail est susceptible d’affecter la santé des travailleurs. La perte auditive (surdité) est l’effet le plus connu mais il y a aussi les troubles de l’auditions avec le niveau sonore

étrange d’un paraphe ». Le poète est donc emporté par une sorte de machine infernale qui avance à vive allure .La deuxième strophe précise encore davantage à quel point, le passager n’exerce aucune maîtrise sur ce train. Axe 2 :Les odeurs et les bruits du train à vapeur. Le poète est donc emporté dans une machine étrange dont il semble tout ignorer du fonctionnement : « une odeur de charbon qui brûle et d’eau qui bout » : cette odeur paraît étrange car le poète semble en ignorer l’origine :

Aucunes issues. J’étais bel et bien coincée. Mon cœur se mit à battre à tout rompre, et, adossée contre un mur, je repliais mes jambes contre ma poitrine. Ma respiration se fit de plus en plus haletante ; je commençais à paniquer sérieusement. Un bruit sur ma gauche, me fit tourner la tête. Malgré le noir, je cru distinguer une forme . Je tremblais de plus belle. -Qui est-là ? demandais-je d’une voix tremblotante. Les larmes me montèrent aux yeux, et les sanglots n’étaient pas loin. La forme

    Sur la place de Goderville, il y a une foule7, une foule d’hommes et de bêtes8 mélangés. Au-dessus de cette foule, on voit les cornes des bœufs et les hauts chapeaux à longs poils des paysans riches ; les voix font un grand bruit qui ne cesse pas, et au milieu de tout ce bruit on entend parfois le gros rire d’un paysan ou le long cri d'une vache attachée au mur d'une maison. Tout cela sent la sueur9, le lait, le foin10, une odeur de bête et d’homme de la campagne.     Maître Hauchecorne, de

1870 lors de sa fugue. Il connaît donc bien se sujet. Plusieurs procédés de style sont utilisés. Des le premier vers il nous met dans l'ambiance sonore et l'on peut facilement considérer que les assonances en retracent le bruit de la mitraille et celles en retracent le bruit des balles. L'expression « crachats rouges de la mitraille » combine plusieurs figures de styles. Une métaphore (mitraille = crachats rouges) mais c'est aussi une métonymie (mitraille, guerre = sang, couleur rouge). On

Le bruit se répandit bientôt qu'il y avait un Huron au prieuré. La bonne compagnie du canton s'empressa d'y venir souper. L'abbé de Saint−Yves y vint avec mademoiselle sa soeur, jeune basse−brette, fort jolie et très bien élevée. Le bailli, le receveur des tailles, et leurs femmes furent du souper. On plaça l'étranger entre mademoiselle de Kerkabon et mademoiselle de Saint−Yves. Tout le monde le regardait avec admiration; tout le monde lui parlait et l'interrogeait à−la−fois ; le Huron ne s'en émouvait

1) Le passé simple est utilisé pour les actions : « on entendit le bruit de l’huis quand il l’ouvrit » l.21-22 6) Quels sont les signes de richesse du voisin ? Le riche possède des choux dans son courtil et des brebis dans son étable. 7) Quelles sont les différentes péripéties à partir de la ligne 16 ? - - - - Qu’est-ce qui alertent le bourgeois et son fils ? (l.21-22) : le bourgeois et le fils sont alerté par le bruit que fit l’un des deux frères ouvrit la porte. 8) De quels personnages