Bts Biodiversité

milieu où elles vivent, des rapports. Notion d’habitat : notion intégrée en D grâce à des connaissances en écologie : c’est une zone à l’intérieur de l’aire de répartition d’une espèce. Biotope : support inorganique d’une espèce. La notion de biodiversité : phénomène nouveau. Notion inventée vers la fin des années 1980 (faune et flore dans le passé). Au cours de ces années, on a découvert des variétés génétiques à l’intérieur d’une espèce. Diversité à 3 niveaux : diversité des espèces, diversité

de Rio en 1992 et de Kyoto en 1997 ont contribué à répandre l’idée du développement durable. • Le développement durable veut promouvoir de nouveaux modes de production et de consommation. Les enjeux sont de préserver l’environnement et la biodiversité, de restaurer les milieux naturels dégradés et de mieux gérer les ressources terrestres. Des techniques économes et propres sont utilisées dans l’agriculture, l’industrie, les transportes, les services, le logement. L’usage des ressources renouvelables

comme seule fonction de production, étant donné qu’Europe est surproductrice, et que pour l’emploi cela ne repsente que moins de 4% de la pop active francaise ; mais en parlant défense du paysage rural ; en parlant multifonctionnalité (réservoir de biodiversité ; loisirs ; espace de résidence des travailleurs pendulaires ; lutte contre incendies, érosion, effet de serre…). ( on parle de moins en moins de l’agriculture comme secteur éco, mais de plus en plus de l’espace agricole et rural- qui est fondamentalement

des sites GDF SUEZ pouvant porter atteinte { l’environnement. Ces sites sont auditionnés par des experts et des plans d’action sont proposés.  Partenariat France avec UICN L’UICN insiste sur le rôle des entreprises dans la préservation de la biodiversité. Daniel De Almeida – Suez et développement durable Action Initiative, engagements • Engagement sur le pacte mondial • 12 engagements pour le Grenelle de l’Environnement • Engagement auprès de la commission Européenne  contrôlés par

Bazillier Chapitre 1: Introduction Qu’est-ce que le développement durable? L’historique du concept Les trois pilliers du développement durable Le pillier économique: développement économique Le pillier environnemental: Respect de la biodiversité et des écosystèmes, réduction des émissions polluantes, non-destruction du capital naturel Le pillier social: conséquences sociales de l’activité économique, problème des inégalités, conditions de travail et de vie Rémi Bazillier Chapitre

exemple que seulement 60% des nitrates épandus sur les parcelles sont aujourd'hui effectivement utilisées par les plantes, le reste contribuant à polluer les nappes phréatiques.[35]. La biodiversité [modifier] En se concentrant sur un petit nombre de variétés, la révolution a induit une perte de biodiversité agricole, notamment dans les cultivars locaux. Certaines propriétés génétiques contenues depuis des centaines d'années dans certaines variétés de céréales étaient menacées de disparaître

Dossier de l’environnement de l’INRA, n°21 139 Protection de la forêt méditerranéenne contre les incendies et biodiversité Michel Étienne INRA - Unité d’Écodéveloppement Site Agroparc, 84914 Avignon cedex 9 etienne@avignon.inra.fr À partir des années 1970, des aménagements de défense de la forêt contre les incendies (DFCI) ont été mis en place en forêt méditerranéenne. Leur principal objectif était de créer des discontinuités au sein des massifs forestiers au moyen de bandes régulièrement

Les unités de déroulage et de placage 8 III.2.3 les unités de contreplaqué 9 III.2.4 les unités de menuiserie, d’ébénisterie et des dépôts de vente de bois 10 III.3 les inconvénients 10 III.3.1 La déforestation 10 III.3.1 La biodiversité 10 Conclusion 12 bibliographie Erreur ! Signet non défini. INTRODUCTION La forêt du Gabon couvre plus de 21 millions d’hectares, mais la zone d’exploitation ne correspond qu’à une bien faible fraction de cet ensemble. Les travaux

Définir le développement durable « Si on considère le point de vue catastrophiste, la planète serait affectée par une « crise écologique » globale, lisible au travers de la destruction des forêts, des pollutions, de la dégradation généralisée de la biodiversité, des ressources en eau. La cause première serait la « bombe P », c'est-à-dire une population beaucoup trop nombreuse par rapport aux possibilités de la nature. Certes, l'augmentation de la population, en dépit d'un ralentissement lié à la transition

contribue à la préservation de l’environnement et le bien-être des populations locales. » En effet, l’écotourisme vise à sensibiliser aussi bien les voyageurs que les populations locales de la nécessité de préserver l’environnement, de conserver la biodiversité et de limiter l’empreinte écologique. De plus, l’écotourisme se doit de soutenir l'économie locale et la spécificité du lieu, il contribue activement à la protection du patrimoine naturel et culturel et au bien-être des communautés locales. Il