Bulle spéculative japonaise

 Sommaire : Première partie : Les conséquences économiques : Le Japon : Une puissance économique mondiale Un embargo sur les produits japonnais L'économie et l'industrie japonaise après Fukushima Deuxième partie : Les conséquences nucléaires et environnementales : Un environnement en danger L industrie nucléaire au japon Des répercussions internationales : l'exemple de l'Europe Troisième partie : Les conséquences sociopolitiques : Fukushima : des

l’Est comme la Chine) * Géoéconomie : ceux qui sont dominés * Leur sous-dvlpmt est le produit d’une désarticulation de l’économie (qui est duale) * Il existe donc un secteur crée par le colonisateur (éco de plantation, agriculture spéculative, X° énergétiques, pays atelier) et un secteur plus pauvre (artisanat détruit par les industries des métropoles, pas d’agriculture vivrière) * Dvlpmt structurellement bloqué, surtout avec une TD trop rapide, une urbanisation factice, une forte

Europe, un long marasme. Pourquoi un tel contraste ? Le rôle des nouvelles technologies de l’information et de la communication ? Le rôle du marché du travail ? La politique économique (Greenspan) ? Crise des subprimes, suite à l’éclatement de la bulle immobilière aux États-Unis : la Fed a-t-elle mené une politique d’argent g (trop) facile ? L’Union européenne L’Union européenne en 2008 Reproduire la figure 1.1 L’Union européenne Le L PIB (produit i é i ( d i intérieur b ) mesure l production

de transmission de la crise boursière à l'économie réelle. Si la politique monétaire avait été appropriée, la crise boursière ne se serait pas transmise pas à l'économie réelle et le monde se serait remis très rapidement de l'explosion de la bulle spéculative de 1929. La crise boursière était inévitable car les cours en bourse avaient monté dans des proportions considérables de 1919 à 1929. Cette poussée était entretenue par la spéculation massive, spéculation à laquelle la plupart des ménages américains

L’économie japonaise : miroir de notre futur ? par Claude Meyer Claude Meyer, chercheur au Groupe d’économie mondiale de Sciences Po et ancien directeur général-adjoint d’une banque japonaise à Paris, enseigne l’économie internationale à Sciences Po. Parmi ses ouvrages, on pourra lire Chine ou Japon : quel leader pour l'Asie ? (Paris, Presses de Sciences Po, 2010). Malgré un apparent déclin, le Japon produit aujourd’hui presqu’autant que la Chine. Si son économie fait face à de lourds défis

La croissance des flux d’investissements directs Mondialisation et commerce international Cahiers français n° 325 État des lieux du commerce international Ces dernières années, la croissance des IDE a été très fortement influencée par la bulle spéculative sur les valeurs technologiques, et les fusions – acquisitions gigantesques qui ont marqué ce secteur. Les flux d’IDE se sont donc nettement contractés depuis le pic de l’année 2000. Cependant, la tendance globale sur les trois dernières décennies

entreprises multinationales qui comptent (1) CNUCED (2004), World Investment Report, http://www.unctad.org La croissance des flux d’investissements directs Ces dernières années, la croissance des IDE a été très fortement influencée par la bulle spéculative sur les valeurs technologiques, et les fusions – acquisitions gigantesques qui ont marqué ce secteur. Les flux d’IDE se sont donc nettement contractés depuis le pic de l’année 2000. Cependant, la tendance globale sur les trois dernières décennies

entreprises. Trois semaines plus tard, les premières banques américaines spécialisées dans les prêts immobiliers à haut risque font faillite. 15 i – le crash Acte premier : l’implosion du marché immobilier américain La croissance anormale, la hausse spéculative plus précisément, suivie de l’effondrement dramatique du marché immobilier et hypothécaire aux États-Unis ne remonte cependant pas à février 2007. La forte croissance du secteur immobilier américain a commencé dès le tournant du siècle, propulsée

de 141% de 1998 à 2010. Or, au cours de la même période : - les revenus des ménages n’ont augmenté que de 43% ; - les loyers, eux, n’ont augmenté que de 33%. Pourtant, beaucoup d’observateurs, dont l’INSEE, refusent de parler de « bulle » immobilière et, si tous s’accordent à reconnaitre que 2012 pourrait bien marquer un tournant dans la hausse continue des prix, la plupart n’envisagent qu’une stabilisation ou qu’une correction limitée de 10% à 15% d’ici fin 2013. Pour eux, la

économie En publiant "nouvelle économie, nouveau mythe" ( Flamarion ) en septembre 2000, Jean Gadrey s'est attaqué au discours sur la nouvelle économie, dominant à l'époque dans les médias spécialisés, puis dans la grande presse. Depuis, la "bulle spéculative" s'est dégonflée tant au plan du discours que du réel. En soi, cet événement nous intéresse, professeurs de SES : comment certains acteurs arrivent à "faire l'opinion", à imposer un discours en manipulant, ou en ignorant le plus souvent, les