Buna

Primo Lévi évoque les combines, les trafics, les vols auxquels se livrent les prisonniers du camp. Il existe au sein du camp une place boursière où tout se monnaie et s’échange. Il y a également un trafic avec les civils qui travaillent à la Buna :« Le vol à la Buna est l'unique voie d'approvisionnement régulière ». Le narrateur interpelle le lecteur : le bien et le mal a-t-il encore un sens dans cet univers ? CHAPITRE 9 : Les élus et les damnés Primo Lévi analyse la vie à l’intérieur du Lager et

février 1944 : il part avec 650 autres juifs italiens pour Auschwitz. Début mars 1944, il est affecté au camp de Monowitz, à 10 km d’Auschwitz, en Pologne, pour travailler à l’usine de caoutchouc synthétique ( qui ne sera jamais opérationnelle) de Buna. D’abord condamné à des travaux de force, il " aura la chance" d’être affecté au laboratoire de chimie, fin 1944, ce qui lui apporte au moins des conditions moins pénibles de travail. 17 janvier 1945, le camp est pris d’assaut par les forces aériennes

parviendra à maintenir un groupe de détenus vivants jusqu’à l’arrivée des Soviétiques. Les lieux Le lieu principal est le camp de la Buna ; mais le lieu de départ n’est pas vraiment indiqué, à part qu’il se trouve dans les montagnes. Lorsque les Nazis arrêtent Levi, ils l’emmènent à Fossoli, près de Modène. Le Temps : Levi arrive en février 1944 au camp de la Buna, et est sauvé par les Russes en Janvier 1945. Près d’un an s’est écoulé. Biographie Primo Levi est né à Turin en 1919 et s’est

l'Italie. Levi est assigné au camp de Monowitz, un des camps auxiliaires d'Auschwitz dont la principale mission est de fournir la main d'œuvre au chantier de construction d'une usine de caoutchouc appartenant à IG Farben, la Buna. Soumise à de nombreux bombardements, l'usine de la Buna n'entrera jamais en activité. Levi attribue sa survie à une « concaténation de circonstances », dont la moindre n'est pas d'avoir été déporté à une période où il avait été décidé de rallonger quelque peu la vie des prisonniers

enfants mis de côtés pour être gazés. De l’autre, des futurs travailleurs, souvent le Docteur Mengele se servait dans les nouveaux-venus pour conduire ses expériences. Les survivants à ce premier tri travaillaient ensuite dans les usines chimiques de BUNA ou IG Farben au camp d’Auschwitz III. Dans tous les cas, les détenus étaient mis à nu, rasés, dépossédés de leurs biens qui étaient ensuite stockés dans le « Canada » (c’est une baraque-magasin ; dans trente-cinq baraques, les prisonniers d’un commando

Alergii:  nu  prezinta Domiciliu: Oravita Nivel  de  instruire:  eleva în  clasa  I Datele  spitalizarii:  - data  internarii:  04.01.2011                                  - data  externarii:  14.01.2011 Conditii  de  viata: Copilul  provine  dintr-o  familie  buna,  organizata,   fara  probleme  socio-economice. Locuieste  cu  parintii  si  sora  lui    într-un  apartament  confortabil  cu  3  camere.   Mama acestuia  este  învatatoare,  iar  tatal  este   inginer. Motivul  internarii:   - respiratie  dificila

long voyage qui dura 15 jours, la promiscuité dans les wagons, la faim et surtout la soif. Descendus du train, c'est le tri des "voyageurs", par sexe, âge et état général. Primo Levi fait partie des " bons pour le travail" il est destiné au camp de Buna-Monowitz. la suite du voyage se fait en camion. CHAPITRE 2 : Le fond ( 21 à 38) Fin du tajet en camion : arrivée au camp puis rituel d'installation : en 5 actes : acte I : la séance de déshabillage ; acte II : la séance de tonte et de rasage ; acte

Primo Levi évoque les combines, les trafics, les vols auxquels se livrent les prisonniers du camp. Il existe au sein du camp une place boursière où tout se monnaie et s’échange. Il y a également un trafic avec les civils qui travaillent à la Buna :« Le vol à la Buna est l'unique voie d'approvisionnement régulière ». Le narrateur interpelle le lecteur : le bien et le mal a-t-il encore un sens dans cet univers ? CHAPITRE 9 : Les élus et les damnés( 93 à 107) Primo Levi analyse la vie à l’intérieur du Lager

découvrent là toute l’horreur de ces camps : les crânes rasés, l’attente sans habits dans le froid, les numéros d’immatriculation sur le bras, les fours crématoires,… Les jours passent et se ressemblent. Finalement, Eliezer et son père Shlomo sont amenés à Buna , un nouveau camp. Le travail y est relativement facile, mais au moindre faux-pas, les détenus sont condamnés à la peine capitale. L’automne arrive, suivi de l’hiver et de la peur de la sélection. Le docteur Mengele ne garde que les détenus qui sont

în zadar. Împăratu şi Evdochia tare sufereau. Dar boala a fost necruţătoare cu blânda împărăteasă. În scurt timp ea a murit. A fost organizat mare alai la care au fost prezenţi lume de peste lume, căci toti au venit s-o petreacă în ultimul drum pe buna împărăteasă. Suferinţa a fost mare, şi pentru împărat care a rămas fără sprijin, pentru Evdochia care a rămas fără mam şi pentru locuitorii care au simţit îndată lipsa blândeţii care o emana împărăteasa. Timpul trecea, iar conform regulilor