Bure

Couvrait l'âtre, et semblait un ciel noir étoilé. Et, pendant qu'il séchait ce haillon désolé D'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières, Je songeais que cet homme était plein de prières, Et je regardais, sourd à ce que nous disions, Sa bure où je voyais des constellations. Victor Hugo, Les Contemplations (1856) Annonce des axes Commentaire littéraire I. La peinture du réel a. Une scène banale On assiste à une scène d'hospitalité entre 2 personnages : une personne (le narrateur

prières (vers 24) " cet homme était plein de prières " Des figures de style: Au 26e vers, (" Sa bure où je voyais des constellations."), il y a 3 figures de style: - il y a une diérèse ( allongement d'un syllabe dans un mot) dans le mot "constellations" pour montrer l'espace et l'extension de ce mot. - il y a une synecdoque (remplacement d'un mot par un autre) entre "manteau" et "bure" ; la matière (bure) remplace la chose (manteau) - il y a une métaphore: "constellations" qui est un mot plus "grand"

simplicité, humilité, justice, paix, joie en Dieu et fraternité universelle (envers les personnes et envers toute la création). Leur habit est de-une « bure ». C’est un long vêtement en forme de croix, fabriqué d’un tissu de laine assez grossier, de couleur brune ou écrue. Il se compose aussi d’une ceinture de corde blanche sert à attacher la bure à la taille. Les trois nœuds de cette corde rappellent les trois vœux évangéliques qui sont à la base de la vie franciscaine.res. Les bénédictins : suivent

avec le temps > le manteau se transforme en voûte céleste par l'intermédiaire d'une comparaison c. une métaphore v.26 : "Sa bure ou je voyais des constellations" - diérèse (=prononciation en deux syllabes de ce qui se pronon ce en une syllabe ; contraire : synérèse) "constellations" > allonge l'immensité du manteau - synecdoque : manteau / bure : la matière (bure) remplace la chose(manteau) - le comparant : "constellation" confère de la grandeur au manteau, le rend extraordinaire > "pleins

regardais, sourd à ce que nous disions,  Sa bure où je voyais des constellations. Le mendiant est un poème se trouvant dans le recueil de poème Les contemplations. Les contemplations : C’est un recueil de 158 poèmes rassemblés en 6 livres qui a été publié en 1856 . La plupart des poèmes de ce recueil ont été écrit entre 1841 et 1855. Le mendiant : Le mendiant appartient au livre I, le livre du souvenir . Une métaphore au dernier vers « Sa bure ou je voyais des constellations » :

sueur une paire de géants est née, et de ses pieds un fils. Ce fut l'origine des "géants du givre", aussi appelés yotes. Audumbla vivait en léchant le givre des rochers saumâtres, d'où s'éleva peu à peu le premier homme, Bure, et de lui descendirent les dieux appelés asas.Le fils de Bure, nommé Bor, épousa la fille d'un yote, Bestla, et ensemble ils eurent trois filleuls : Odin, Vile et Ve. Odin et ses frères tuèrent Ymer, et de son corps ils créèrent la terre, de son sang. la mer, son crâne le ciel,

ensanglanté. Les demandeurs ne sont autres que ses consorts, frère et parents qui réclament des dommages et intérêts pour atteinte à la dignité en la personne de Romain. [...] ( Affaire Pic de Bure, TGI de Nanterre, 1ère chambre février 2003 ; Cour d’appel de Versailles 10 juin 2004 accident du téléphérique du Pic de Bure : Paris Match l’illustre et une famille déclare avoir reconnu les corps de deux victimes, malgré l’anonymat des victimes ) En cas de préjudice, il s’agira de prouver celui-ci, de démontrer

regardais, sourd à ce que nous disions,Sa bure où je voyais des constellations.l s'approcha du feu.Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu,Étalé largement sur la chaude fournaise,Piqué de mille trous par la lueur de braise,Couvrait l'âtre, et semblait un ciel noir étoilé.Et, pendant qu'il séchait ce haillon désoléD'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières,Je songeais que cet homme était plein de prières,Et je regardais, sourd à ce que nous disions,Sa bure où je voyais des constellations.

conclu même par « cet homme était plein de prières » (vers 24). Pour finir, il y a de nombreuses métaphores qui marque cette transformation. Dans le vers 26 « sa bure où je voyais des constellations », on note, une diérèse pour « constellations » ce qui allonge l'immensité du manteau, une sinecdoque avec l'opposition du manteau avec la matière bure ou cette dernière, la matière, remplace la chose (manteau). Pour finir le comaparant « constellation » confère de la grandeur au manteau, le rend extraordinaire

semblait un ciel noir étoilé. Et, pendant qu'il séchait ce haillon désolé D'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières, Je songeais que cet homme était plein de prières, 25. Et je regardais, sourd à ce que nous disions, Sa bure où je voyais des constellations. Victor Hugo, Les Contemplations (1856) Analyse : Le poème Le Mendiant s’engage sur le thème de la pauvreté. Le mendiant consacre sa vie à la prière. Il se transforme en dieu quand un homme lui a été charitable