Burqa

avec la marche des beurs en 1983 en faveur de l’égalité par des enfants d’immigrés, ou encore avec le mouvement « Touche pas à mon pote ». - L’apparition de l’islamisme et les atteintes aux principes républicains de laïcité (port du tchador et de la burqa dans les établissements scolaires, violences contre des hommes médecins accouchant des femmes musulmanes) ont suscité des débats qui n’ont pas favorisé la sérénité, comme le débat sur l’identité nationale en 2010. Beur : terme qui désigne familièrement

recours contentieux qui réside à saisir le tribunal de grande instance. En outre, l’Etat peut refuser de donner la citoyenneté française à un individu si celui ci ne respecte pas les valeurs de la République. Ainsi tel était le cas de la marocaine en burqa qui a eu sa demande rejetée car selon le Conseil d’Etat, « sa pratique radicale de la religion était incompatible » avec les valeurs républicaines et surtout avec le principe d’égalité des sexes puisqu’elle reflétait en quelque sorte la « soumission »

passé riche. Par ailleurs le parti est très attaché a la culture, aux paysages et aux terroirs . Sur la question du libéralisme culturel le parti est tolérant si cela est conforme aux principes de la laïcité. Prenons l'exemple de la loi sur la burqa du 23 juin où l'UMP a voté contre car elle va a l'encontre de ces principes. Ainsi nous pouvons dire l'UMP est un parti libéral qui privilégie l'individu et ses valeurs. Si nous prenons l'exemple de la loi pour « faciliter le maintien et

GO), Eva Joly ou François Bayrou. Quelques ministres actuels, des membres de cabinets ou des parlementaires de gauche en sont proches. Revendiquant le rôle d'aiguillon et de laboratoire d'idées à gauche, le GO a défendu l'interdiction du port de la burqa, prône la constitutionnalisation de la loi de 1905 de séparation des Eglises et de l'Etat, défend le mariage pour tous et souhaite faire évoluer les textes sur la fin de vie. --------------------------------------------------------------------------------

sexistes du premier ministre ukrainien BELGIQUE - proteste contre situation en Tunisie en nominant le cas d’Amina et sa libération FRANCE - 4 activistes de femen en tenue de soubrette manifestent devant le domicile parisien de DSK Manifestent en burqa à paris, puis les enlèvent pour manifester seins nus afin de défendre la liberté des femmes musulmanes dans le monde Le 3 octobre 2012, sept militantes se rendent devant la Vénus de Milo conservée au musée du Louvre en soutien à une jeune femme tunisienne de

malgré la liberté des croyants à pratiquer leur religion, il ne faut pas que cela gène les autres. La burqa, par exemple, a suscité de vives controverses. Ces vêtements, portés par des femmes dans le cadre de la religion musulmane, ne laissent paraître seulement les yeux et les mains. Des personnes se sentant gênées en présence de femmes habillées de la sorte, et pour des raisons de sécurité, la burqa est actuellement interdite en France. Aussi, l’école publique étant le lieu d’apprentissage de la laïcité

existant puisqu’on a juste remplacé le terme ostentatoire par ostensible mais le critère reste celui du trouble à l’ordre public. Le débat n’ayant jamais vraiment été achevé, un nouveau débat juridique relatif à une éventuelle loi interdisant la burqa est né en 2008. Relancé par l’arrêt CEDH Arslan c/ Turquie rendu le 23 février 2010 qui vient de changer les données européennes du problème du port de vêtements religieux dans des lieux publics ouverts à tous rendant, sinon impossible du moins beaucoup

français. Et pourtant aujourdʼhui encore nous éprouvons les plus grandes difficultés à séparer entièrement le droit de la religion. Exemple : Les jours fériés sont presque tous dʼanciennes fêtes catholiques chaumées ; plusieurs députés travaillent sur la burqa. Pourquoi est ce si difficile ? Parce que à lʼéchelle de lʼhistoire universelle, le droit est apparu grâce à la religion et que pendant des siècles et des siècles le droit et la religion ont été totalement confondus. Tout autorité quʼelle soit religieuse

romain dominant (conversions forcées). En 2004, une loi interdisant de porter des signes religieux ostentatoires dans les écoles publiques (loi n° 2004-228 du 15 mars 2004) est promulguée. En juin 2009, le député communiste André Gerin déclare : « la burqa n'est pas la bienvenue en France3 ». Il demande ensuite et obtient en juillet 2009, avec un soutien bipartisan et l'aval du président de la République Nicolas Sarkozy, la création d'une mission d'information parlementaire sur le port du niqab. Cette

fait son chemin, tout comme les menus de substitution dans la restauration collective. Mais l'État ne fait pas droit à toutes les demandes. On observe une certaine crispation autour des signes religieux, et notamment du voile et plus encore de la burqa, perçus comme une aliénation de la femme, comme remettant en cause l'égalité des sexes. L’état intervient pour rappeler à l’ordre tous ceux qui manifeste sa foi en sortant de la sphère privée à la sphère publique, allant jusqu’à prévoir des sanctions