Bushi

provenant du Kivu oriental situent l’origine de leur pouvoir dans la zone forestière de Bulege – Bubembe. La royauté du Burundi se dit originaire de l’occident ; en effet, le Mwami Ntare, fondateur de la dynastie des Abattoir prétend être venu du Bushi où il aurait été exilé auparavant. On suppose qu’il ramena cette institution avec lui (…). En tout cas, le fait est admis de tous. Non seulement les traditions le rapportent mais le fait s’appuie partout sur les mêmes conceptions du pouvoir et des

| |1 main |Ta |60 cm |F+2 |V |1,4 kg |2 | Katana Associé au Wakisashi, ce sabre constitue le daisho, armement typique du bushi. Considéré par ce dernier comme un reflet de son âme, il apparaît à la fin du 7ème siècle et prend peu à peu sa forme courbe caractéristique. Porté à gauche, souvent tranchant vers le haut afin de ne pas en abîmer le fil, il a un manche long pour l’équilibre

we can ask the question: How this way of life persists in the modern Japanese society? I. Social and cultural aspects: a) The martial art: The Japanese martial arts are closely linked with the traditions and the history of the warrior (bushi or samurais). They distinguished themselves from the martial arts practices in the others Asian country like China, where most often they were developed within village’s clans, temples, trading places or any sort of secret societies. It’s in the 8th

| |Dried Ice | |Acetone | |Materials used | |Evaporate rotatif : bushi | |A pomp with a high vacuum | |NMR – Brucker – 500.13MHz | |Silica gel 60 - Flukal Analytical - particle size | |0.040-0.063 mm for chromatography column | |Sigma-Aldrich®

sociale. Qui sont ces guerriers? On les appelle des samurai : ce terme, apparu sous Heian, vient de saburai (se tenir à côté). Il désigne à la base les gens qui se tenaient à côté et rendaient des services à l'aristocratie de Heian. On les appelle aussi bushi : ce terme, de Kamakura, désigne un homme en armes. On appelle les familles des guerriers buke, en opposition à kuge, les gens de la cour impériale. Parmi les samurai on trouve différentes sortes de guerriers, ayant chacun une appellation spécifique

cherchait à fuir l'influence des puissants monastères de Nara. Cette période est considérée comme un sommet de la culture japonaise, toujours admirée par les générations ultérieures. Cette époque voit également la montée en puissance de la classe des bushis (guerriers à cheval, experts en tir à l’arc, prédécesseurs des samouraïs) qui finit par prendre le pouvoir, mettant fin à la période Heian et commençant ainsi la période féodale (Chūsei) de l'histoire du Japon. Période féodale (XIIe - XVIe siècles)

flotte à la haute mer (utilisation de bateaux fluviaux), au défaut de construction (moins d'un an pour construire et réunir une flotte de 4 400 navires). Ces attaques ont néanmoins eu pour conséquences d'appauvrir le pouvoir en place et la caste des bushi. Cela aboutissant plus ou moins directement en 1333 au renversement du pouvoir du bafuku par l'empereur Go-Daigo avec l'appui d'Ashikaga Takauji. Muromachi (1336-1576) La restauration ne sera que de courte durée dès 1336 Ashikaga Takauji se retourne

sociale. Qui sont ces guerriers? On les appelle des samurai: ce terme, apparu sous Heian, vient de saburai (se tenir à coté). Désigne à la base les gens qui se tenaient à coté et rendaient des services à l'aristocratie de Heian. On les appelle aussi bushi : ce terme, de Kamakura, désigne un homme en armes. On appelle les familles des guerriers buke, en opposition à kuge, les gens de la Cour impériale. Parmi les samurai on trouve différentes sortes de guerriers, ayant chacun une appellation spécifique

coloniales. 4.3. Organisation stratégique des Etats en Afrique précoloniale Si l’on se réfère aux armées d’Egypte, aux Sofas de Samory, aux guerriers des anciens Royaumes des Grands Lacs (Rwanda, Burundi, Ankole, Bonyoro, Buganda, Karagwe, Bushi, Buha, Bushubi…), l’on peut dire que les civilisations précoloniales en Afrique ont développé des armées permanentes. On trouve des armées de métier avec certains conquérants des XVII et XXlèmes siècles tels Béhanzin du Dahomey, Radah du Tchad, Samory

conseil des ministres. Les anciennes principautés territoriales sont démantelées au profit de 40 préfectures. Les trois ordres traditionnels des grands seigneurs (daymios), de la petite et moyenne noblesse (bushis) et des gens communs sont abolis au profit d’un état civil unique (1871). Les bushis qui avaient des droits seigneuriaux et des rentes grèvaient lourdement les finances publiques ; ils perdent ces droits et intègrent massivement l’armée qui demeure une structure très autonome (1873) ; une