Byzance

fondamentale : "Les grecs se régissent eux-mêmes et n'obéissent qu'a une loi tandis que les peuples asiatiques sont soumis à l'arbitraire d'un homme."6 C'est sous les Carolingiens que l'on commence à considérer l'Europe comme une entité politique face à Byzance et aux pays musulmans7 : lors de la bataille de Poitiers en 732, les « gens d'Europe » s'opposent à leurs adversaires, Charlemagne est appelé le « phare de l'Europe », son petit-fils le « prince de l'Europe », le pape Jean VIII le « recteur de l'Europe

conduisent au schisme de 1054 : l’Eglise byzantine (orthodoxe) se sépare de l’Église d’Occident (catholique) à cause de querelles entre le pape et le patriarche. C’est surtout une lutte de pouvoirs. Les pays slaves, convertis au christianisme suivent Byzance. B - L’Occident chrétien, un monde en expansion Après la chute de Rome en 476, l’Europe occidentale est éclatée en une multitude de royaumes et de principautés. Sur les ruines de l’Empire Romain, les Francs de Charlemagne parviennent à créer un nouvel

est divisé en 2 entre Carloman et Charles . Par la suite Carloman meurt, charlemagne va alors pouvoir restaurer l'empire. Les glorieux succès militaires de Charlemagne, qui le feront devenir maitre de l'occident, la crise que connaît l’empire de Byzance, en 797 et son amitié avec le Pape Léon III vont amener à la restauration de l'empire carolingien. Charlemagne qui songeait à cette restauration sera devancé par le pape Léon III. Lors d'une cérémonie le pape met le diadème impérial sur la tête de

peuples conquis. Malgré ces efforts Athènes reste tout de même le berceau de la démocratie. En 476 Rome est prise par les Barbares ce qui marque la fin de l'empire romain d'occident. Demeurera jusqu'à la fin du 15ème siècle en empire romain d'Orient à Byzance. TELLIA Loubna 2nde 3

quatrième partie, « Sæculum aureum », est totalement consacrée à Antinoüs. Elle s'ouvre sur la rencontre entre Hadrien et le jeune homme en Bithynie (province romaine située en Asie mineure, le long de la côte du Pont-Euxin (mer Noire) , face à Byzance (Istanbul)) (p.169), et s'achève avec la sépulture de « l'enfant de Claudiopolis » (p.229-230). Hadrien est à l'apogée de

décisions essentielles de son règne, qui est l’acceptation du christianisme, de fonder une nouvelle capitale ; il choisit Byzance. Rome avait depuis longtemps cessé d’être la capitale politique effective de l’Empire : trop éloignée des frontières septentrionales en danger et des riches provinces orientales, elle n’avait plus eu d’empereur à demeure depuis le milieu du IIIème siècle. Byzance était quant à elle bien placée : à la croisée de deux continents et de deux mers, à l'une des extrémités occidentales

l’île de Samos en 519 et installa un tyran à sa tête dénommé Syloson, en 514 il traversa la Thrace pour aller conquérir la Scythie et à son retour il ordonna à un de ses généraux de transformer la Thrace en satrapie ainsi qu’il conquiert la ville de Byzance alors clé de la Mer Noir où se situe les anciennes colonies de la cité de Milet dans l’Ionie en Asie mineure. Donc suite à cette insurrection perse en « Grèce Continentale », la cité de Milet alors dirigé par Aristagoras tyran de la cité qui a été

en incluant la structure intérieure ) Diamètre de la partie la plus large : 3,60 m. Altitude du sommet de la statue : 225,70 m. | la voûte bien ronde, romaine, d'où est issue la voûte des édifices romans du Moyen-Age et de ceux de l'ancienne Byzance-Constantinople la construction systématique des lignes de l'édifice par alternance de pierre claires et de pierres sombres. Cette alternance pierre claire - pierre sombre n'est pas exclusive de l'architecture chrétienne byzantine et existe aussi

Au XVIII° siècle, les musulmans se sont emparés de Constantinople, la ville sainte et la transforme en Byzance. Cette puissance des empires Perse et Ottoman fascine la France, donnant naissance au courant orientaliste dans tous les domaines artistiques. Galland introduit la mode en traduisant en 1711 « Les mille et une nuits » bien vite reprise par les philosophes des Lumières pour faire passer leurs idées comme Voltaire dans « Zadig » par exemple. D’Holbach, un des rédacteurs de l’Encyclopédie

XIIè et même dans certains pays, jusqu'à la fin de ce dernier. Il dérive de l'art carolingien qui, sur un fond puissant de traditions romaines et gallo-romaines, s'est imprégné durant le haut Moyen Âge d'influences orientales : Asie, Proche Orient, Byzance… Diverses circonstances comme les pèlerinages et les croisades ont renforcé ces apports auxquels des traditions linéaires abstraites, celtes, barbares et arabes viennent s'ajouter dans certaines régions. L'église romane où domine l'arc en plein cintre