Cabaret

l’évêque rend visite à un vieux révolutionnaire moribond qui lui montre la grandeur de la Révolution. Un soir de novembre 1815, un inconnu arrive à Digne ; il a l’air d’un vagabond. Toutes les portes se ferment devant lui la bonne auberge, le pauvre cabaret et même la prison refusent de l’accueillir, on vient d’apprendre que l’homme est un ancien forçat. Cet homme c’est Jean Valjean, c’est un homme de peuple, l’homme du peuple par excellence. Un homme qui aurait pu être bon si les circonstances, si la

objet de désire pour les hommes qui la regardent. Ce sont ses caractéristiques qui réunissent la danseuse classique et la danseuse de cabaret.[31] Nous voyons que dans les deux cas, Degas joue sur la lumière. Il tente de rendre l’aspect transparent des tissus en variant ses couleurs. Il travaille également le mouvement, les gestes brusques (dans le cas du cabaret) et les positions difficiles à tenir, instables (dans le cas des danseuses classiques). Degas saisi donc le mouvement, l’instantané, « l’impondérable »[32]

l’évêque rend visite à un vieux révolutionnaire moribond qui lui montre la grandeur de la Révolution. Un soir de novembre 1815, un inconnu arrive à Digne ; il a l’air d’un vagabond. Toutes les portes se ferment devant lui la bonne auberge, le pauvre cabaret et même la prison refusent de l’accueillir, on vient d’apprendre que l’homme est un ancien forçat. Cet homme c’est Jean Valjean, c’est un homme de peuple, l’homme du peuple par excellence. Un homme qui aurait pu être bon si les circonstances, si la

répétion "Allons la paix, la paix" accentue le fait qu'il ne tient plus, il est obnubilé par l'heure "l'heure va venir", il est dans une attente obsessionnelle. Lorenzo se contredit " Il faut que j'aille dans quelque cabaret, je viderais un flacon", "Non je ne veux pas boire, les cabarets sont fermés", nous pouvons penser que sa personnalité ici se dédouble, comme çi le mauvais Lorenzo voulait entrainer le bon dans la débauche. Nous sommes au summum de la la folie de Lorenzo lorsqu'il, nostalgiquement

femme rencontrée par hasard (la veuve Mouaque), finit par retrouver son oncle. Ce dernier invite alors le groupe de touristes puis l'ensemble de ses amis à assister au numéro de « danseuse » dans le cabaret homosexuel pour lequel il travaille. Dans le même temps, Bertin Poirée entre dans la loge du cabaret, là où se trouve Marceline. Il tente de la séduire, mais Marceline s'enfuit en vélo-moteur. Une course-poursuite entre plusieurs personnages est donnée à voir : Bertin Poirée poursuit Marceline,

d’une actrice qui faisant la reine Elisabeth dans une assez plate tragédie… »« Cette actrice me plait beaucoup ; elle a un faux air de Mlle Cunégonde ; je serai bien aise de la saluer »« Il faut distinguer, dit l’abbé ; en province, on les mène au cabaret ; à Paris ; on les respecte quand elles sont belles, et on les jette quand elles sont quand elle mortes »La réplique de Candide « Des reines à la voirie ! » Martin confirme les propos de l’abbé et donne même un exemple « Oui, vraiment, j’étais à paris

source d'inspiration, basée sur l'art primitif. En 1911, Ernst Kirchner s'installe à Berlin mais il ne s'y plait guère dans un premier temps. Il y peint de nombreuses scènes de rue et de la vie nocturne. Il y rencontre Erna Schilling, une danseuse de cabaret, qui devient son modèle puis sa compagne, jusqu'à la mort du peintre. Il se délasse de la vie berlinoise en faisant de fréquents séjours à l'île de Fehmarn. Il s'engage en 1915 dans l'armée mais il est réformé deux mois plus tard en raison de problèmes

principalement influencé par les conditions de vie, d’éducation et de sevrage. Les chats et l’art On peut trouver des chats de gouttière sur de nombreux tableaux et notamment sur ceux de célèbres peintres français. L’affiche dessinée pour le célèbre cabaret Parisien Le Chat noir par Théophile Alexandre Steinlen est peut-être la plus connue. Ce dernier a également peint les chats dans d’autres tableaux. [pic]

sur Paris puisque du haut de ses tours on peut tout voir. Contrairement à la Cour des Miracles, qui est un lieu mystérieux, un lieu fermé car seules quelques personnes peuvent y rentrer (truands, saltimbanques, bohémiens…). C’est un immense cabaret, le cabaret des truands qui sont aussi rouges de vin que de sang. Cette cours est surveillée par un roi : Clopin Trouillefou. C’est un lieu où l’on se sent mal à l’aise, on n’y est pas en sécurité. IV) Epoque et contexte : L’action se déroule au XVème

les fidèles à leur salut. Mais pour être un guide spirituelle, le prêtre doit donner l’exemple en ayant un mode de vie exemplaire. Ce que le mandement de l’évêque de Comminges réaffirme, en interdisant aux curés « la fréquentation des cabarets » Article 2. Les cabarets sont des établissements souvent populaires ou on y consomme du vin près de son domicile. C’est un lieu qui permet une continuité sociale. Cependant c’est un lieu de plaisir et d’abus. Le prêtre ne doit pas se détourner de sa charge