Calendrier de Coligny

de têtes  Un maréchal d'écume avec une pipe en retraite  Un chiard en habit noir avec un gentleman au maillot  Un compositeur de potence avec un gibier de musique  Un ramasseur de conscience avec un directeur de mégots  Un repasseur de Coligny avec un amiral de ciseaux  Une petite sœur de Bengale avec un tigre de Saint-Vincent-de-Paul  Un professeur de porcelaine avec un raccommodeur de philosophie  Un contrôleur de la Table Ronde avec des chevaliers de la Compagnie du Gaz de Paris 

Henri II). Puis, puis on a le connétable qui est le chef des armées (Charles de Bourbon jusqu’en 1523 puis Anne de Montmorency (1538-1567). Enfin, on a l’Amiral de France (chef des armées navale, commerce maritime et pêche) avec notamment Gaspard de Coligny sous Henri II. Mais les rois se rendent compte qu’ils ont besoin de spécialistes plus efficaces et plus compétents. d) Les rois mettent en place un système des ministres (4 secrétaires d’État en 1547) qui ont peu à peu des domaines réservés mais qui

entre l’ « ici-bas » et l’ « au-delà », apportent un réconfort spirituel et ont de multiples obligations (« charge d’âmes », école, église, presbytère, médiateur entre la ville et la campagne, entre le pouvoir du roi et les habitants). Croyances Le calendrier parle chrétien selon une formule de Lucien Febvre. L’Eglise christianise la société. Par la messe, la confession, la communion, la connaissance minimale des prières et des commandements, les péchés, les sacrements, les « journées sont saturées de

l’affermage : mode de perception des impôts indirects où il y a une partie des financiers qui vont donner une somme au décimateur et cette personne va aller vendre le blé. II- Le temps des moissons 1- Le calendrier agricole La vie des ruraux est rythmé par le calendrier agricole, en parallèle avec le calendrier liturgique. Par exemple : Noel indique le premier terme des loyers agricoles, Pâques le 2ème et la St Jean-Baptiste le 3ème. Les semailles des grains (octobre-novembre), les cultures (printemps),

  1566 * Février : Ordonnance de Moulins sur la réforme judiciaire qui renforce le pouvoir central. * Juin : A Foix des catholiques sont massacrés tandis qu’à Pamiers se sont des huguenots qui le sont.   1567 * Été : Les Châtillon-Coligny préparent l’enlèvement du roi. * Septembre : Après s’être réfugiée à Meaux et sous protection des mercenaires suisses, la cour regagne Paris le 28. * 30 septembre : "Michelade" de Nîmes. Des protestants massacrent des religieux et des notables

1571 (7 octobre) Lépante (golfe de Patras). Victoire navale des armées chrétiennes face aux Ottomans commandées par Don Juan d’Autriche (24 ans). 1572 (24 août) Massacre des protestants à Paris, le jour de la Saint-Barthélemy. Gaspard de Coligny est tué dans son lit et défenestré. Henri de Navarre et Henri de Condé abjurent en présence de Charles IX. 1574 Mort de Charles IX. Avènement de Henri III. 1588 Journée des barricades (15 mai). Assemblée des États généraux à Blois. Assassinat

pratiquaient l'écriture quand meme, qu'ils avaient empruntée à des peuples voisins. Ils nous ont laissé des inscriptions qui nous renseignent sur leur langue : les plombs du Larzac, de Chamalières et de Lezoux. On a aussi retrouvé un grand calendrier à Coligny, dans l'Ain, comportant de nombreux mots gaulois. Les Gaulois, de tradition orale, n'utilisaient pas un alphabet propre, mais ont emprunté celui des Grecs, des Étrusques ou des Romains. La rareté des attestations écrites serait due à une particularité

l'époque ne reconnaît pas la tolérance, tolérer c'est supporter. Le mode de vie est différent. Le choix de la Réforme induit une autre manière de vivre. Ils se retirent du rythme ordinaire de la vie commune, ils se donnent à d'autres rythmes. Le calendrier est différent. Ils ne respectent plus le jeun et le maigre du carême. Pendant que les catholiques ne travaillent plus, les protestants travaillent. Cela provoque des heurts. Les professions sont moquées. Les catholiques ne le supportent pas et entraînent

les Anglais de Marie Tudor et le duc de Savoie. Cette fois, l'ennemi délaissa Metz et entra en France par la frontière des Pays-Bas, la grande route de l'invasion. Le duc de Savoie, par une marche rapide, arriva jusqu'à Saint-Quentin que défendait Coligny. Une tentative du connétable de Montmorency pour débloquer la ville fut malheureuse : l'armée française fut écrasée, la route de Paris était ouverte. Seule, à ce moment, l'hésitation de Philippe II, sa crainte de compromettre le fruit d'une campagne

les Anglais de Marie Tudor et le duc de Savoie. Cette fois, l'ennemi délaissa Metz et entra en France par la frontière des Pays-Bas, la grande route de l'invasion. Le duc de Savoie, par une marche rapide, arriva jusqu'à Saint-Quentin que défendait Coligny. Une tentative du connétable de Montmorency pour débloquer la ville fut malheureuse : l'armée française fut écrasée, la route de Paris était ouverte. Seule, à ce moment, l'hésitation de Philippe II, sa crainte de compromettre le fruit d'une campagne