Camarade

Cendrars 1ere ES / histoire ; SES Les canons de Beauté de la Renaissance et de nos jours J’ai choisi ce sujet car moi et mes camarades, nous étions intéressé par ce sujet, de semaine en semaine j’ai de plus en plus apprécié à travailler sur les canons de beauté car il s’agit d’un mélange entre de l’histoire et aussi de là SES, je me suis mis avec mes deux camarades par affinité pour avoir une bonne ambiance et pouvoir travailler dans de bonnes conditions, j’avoue qu’au début ce sujet m’évoquait

avant mon départ tout sois expliquer et remis aux claire dans nos têtes je vous est fais confiance j'ai cru pouvoir compter sur vous et vous m'avez trahis moi et tout mes camarades alors que vous connaissiez mon dévouement à ce combat. Votre jalousie et votre égoïsme nous aura coûter la vie. Demain je mourrais avec mes camarades et puis cette haine si forte, si grande que j'ai pour vous, elle mourra aussi. Je ne vous pensais guère comme cela, je croyais que vous aviez compris se que je faisait et

touchant pas votre camarade en | | | | | |Rotation des bras avant |tendant les bras. | | | | | |Montée de genoux |Ne pas pousser vos camarades.

best-seller et est suivi par d'autres romans de la même veine : Après, Trois camarades, etc. L'auteur, pourchassé dès 1930 par les nazis – pour son pacifisme comme pour ses origines – émigre en Suisse, puis aux États-Unis ; son livre subit un autodafé nazi le 10 mai 19332. • Le roman[ Paul Bäumer est un jeune Allemand de 19 ans. Après avoir été soumis à un bourrage de crâne patriotique par leur professeur, Kantorek, tous ses camarades de classe et lui-même s'engagent volontairement dans l'armée allemande3

cause de l'astigmatie leur est obligatoire mais seul L (03 ans) n'a pas encore de lunettes. Leur intégration a commencé avec la rentrée des classes de septembre, elle fut partielle pour L car il n'était pas suffisamment socialisé (il pinçait ses camarades) et il était énurétique. L bénéficie d'une intégration totale à partir de la rentrée des vacances de février à cette date les deux principaux petits problèmes se sont rapidement résolus. Bien qu'il soit moins socialisé, L est plus communicatif que

dans cette ville avec ces bruits, mes habitudes et surtout avec mes amies que je verrais de ce fait beaucoup moins. Le jour du déménagement tant redouté pour ma part arrive c'est les derniers jours du mois d’aout il fait un soleil de plomb. Mes camarades, avaient proposées de nous aider, mais vu la météo elles ont préférées faire notre passe-temps favoris aller à la piscine. Je ne peux pas les accompagner, je dois aider elles m'ont promis d'être là ce soir pour me dire au revoir. A la tombée du

de rhum. Aussitôt servi, il le but posément et le dégusta en connaisseur, sans cesser d’examiner tour à tour les falaises et notre enseigne. – Voilà une crique commode, dit-il à la fin, et un cabaret agréablement situé. Beaucoup de clientèle, camarade ? Mon père lui répondit négativement : très peu de clientèle ; si peu que c’en était désolant. – Eh bien ! alors, reprit-il, je n’ai plus qu’à jeter l’ancre… Hé ! l’ami, cria-t-il à l’homme qui poussait la brouette, accostez ici et aidez

expressions verbales suivantes « Je n’ai pas hésité », « je suis sorti » et « me suis dirigé » souligne ce basculement.] [Ainsi, Gaby, simple observateur, sous l’emprise de la jalousie, relève le défi lancé par Gino et devient le pôle d’attraction de ses camarades.] [Dans un deuxième temps nous mettrons en évidence le changement de statut du narrateur qui devient un héros. Quels sont les évènements qui découlent de ce changement et prouve que Gaby obtient un tel statut ?] [ Nous l’avons vu précédemment, en

et nous fait comprendre qu’une fois au front, les hommes n’ont plus d’espoir de revoir les personnes avec qui ils avaient des liens. Le quatrième quatrain évoque le sort « des hommes en prison »ligne 13, « des femmes déportées »ligne 14, « de nos camarades martyrisés et massacrée »ligne 15,16. L’élément « au nom » revient à tous les vers concernant l’horreur de la guerre. Le dernier vers du quatrain « pour ne pas avoir accepté l’ombre » ligne 17 nous révèle que Paul Eluard fait passer un hommage aux

visibles par les enseignants ou les surveillants. La violence physique est essentiellement des bagarres, des coups de pieds, de poing, des jets de cailloux, de sable, tirage de cheveux, crachats qui sont liés à un désaccord avec un enseignant ou un camarade. La violence physique s'effectue d'abord dans un rapport de force : le plus fort frappant le plus faible, le plus jeune. La bagarre au contraire supposant un rapport entre élèves du même âge. Les formes de violence physique vécues ou commises évoluent