Caméra d'or

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que des leitmotiv se fassent sentir. Apparition d’un « je » de temps à autre dans la narration : on s’interroge sur l’identité de ce narrateur (l’auteur, un personnage, le narrateur… ?). Echenoz explique à ce propos : “ On change de caméra, il y, a plusieurs caméras sur le plateau, on change d'angle, de focale, à chaque fois j'ai l'impression de décaler les choses, de prendre du recul, ce « je » qui intervient de temps en temps depuis la page 9, c'est à la fois le narrateur et l'auteur, c'est-à-dire

-Jeux de caméras : Nous avons remarqué beacoup de travelling, des jeux de caméra à la première personne -Plans : Beaucoup de plans larges. -Voix : Très peu de dialogues et absence de bruit de fond -Musique : Répétition d’une petite mélodie, quelques musiques. -Eclairage : Quelques problèmes de lumière, parfois impossibilité à voir les personnages Comment le réalisateur parvient-il à mettre sa caméra au service des acteurs ? De manière synthétique, le réalisateur, grâce à ses caméras nous permet

monde qu’eux, Boëldieu plutôt réservé va jusqu'à aquiesse sa remarque d’un sourire. Demolier devient jusqu’à génant:” pardon, pardon vos dictionnaires vont me géner” et Maréchal et l’autre prisonnier préfère partir. De plus le décor et le mouvement caméra affirme cette cloison au sein du groupe: le décadrage sur Demolier l’isole dans le coin gauche du cadre,souligné par une arche qui renforce cet isolement, il va jusqu’à être moitié hors champs lorsqu’il s’assoit. Tandis que dans une bonne partie droite

Angles de prise de vues : -Angle normal = caméra à hauteur du sujet, d’incidence nulle. -Plongée (high shot)= Axe optique de la caméra au-dessus du sujet. -Plongée verticale/totale= axe optique de la caméra penché à 90° au-dessus du sujet. -Contre plongée (low angle)= Vue au-dessous du sujet -Contre plongée verticale/totale = 90° dessous du sujet -Angle incliné (tilted shot)= Caméra inclinée par rapport à l’horizon -Angle renversé (upside down)= caméra inclinée par rapport au sujet Composition

nouvelle vague c'est des nouvelles expériences par rapport au cinéma : tuer les maitres, faire d'autres choses avec la caméra avec peu de choses, peu de moyens. Une trentaine de cinéastes dans le monde (principalement francais, italiens) qui ont moins de 30 ans (assez littéraires) Le gros plan permet de se concentrer sur ce que la personne ressent intérieurement. Le regard caméra signifie qu'elle n'est pas du tout bien. La musique contribue à cette expression * Fenêtre sur cour d'Hichcock 1954

rayons X les zones les plus sombre sur l'image corresponde aux tissus qui transmette le mieux les rayons. | La thermographie consiste a utilisée des cameras thermique pour transformer ce rayonnement infrarouge invisible a l’œil nu en image. Quand la matière est plus foide, il nous faut un appareil pour percevoir ces rayonnements, c'est la caméra thermique qui fonctionne dans l'infrarouge, là où se trouve l'essentiel des rayonnements émis par les corps plus froids | On injecte au patient un

a rotoscopie est une technique qui consiste à relever image par image les contours d’une figure filmée en prise de vu réelle pour en retranscrire la forme et les actions dans le film d’animation. En 1933 (Clic x4) le studio Walt Dinsey invente la caméra multiplane qui consiste à un assemblage de plusieurs banc titre disposés verticalement et permet de donner plus de profondeur. Par ailleurs, c’est Disney qui en le premier truc… (x2)Blanche-Neige et les Sept nains en 1937 c’est le premier à allier

visualiser les détails du tournage -Le découpage technique divise le scénario : Plan Scènes ou séquences Numérotation des plans selon le scénario Mise en scène Bande-son (dialogue, musique et bruits) Cadrage (valeurs de plan) Mouvement de caméra Effets de lumière Effets spéciaux sur le plateau (ex; neige, feu, cascades) pas post-prod Minutage précis de chacun des plans -Document qui présente la vision d’un réalisateur d’un scénario -Découpage des scènes en plan -Deux informations

Jeudi de 11h A 12H 30 A3514 Cours : analyse de film Du 26/03/14 Extrait : « Halloween » de John Carpenter Ecriture d’un mythe, occularisation primaire, mouvement de caméra on voit également par le masque c’est des plans séquences. Musique très aigue typique des films d’horreurs, qui crée l’angoisse, on est dans le hors champ et donc on est la menace, on est dans une focalisation externe car la fille c’est de qui il s’agit et nous non on nous cache le détail que c’est un enfant même si on a toutes