Camp de Drancy

fichier élaboré par la Préfecture de Police. Gardiens de la paix, inspecteurs en civil, élèves des écoles de police, soit près de 7000 hommes, participent à la rafle qui concerne pour la première fois femmes et enfants. Les adultes seuls sont envoyés à Drancy ; les familles, soit 8160 personnes, sont parquées pendant 3 à 5 jours au Vel’ d’Hiv’, puis acheminées vers les camps du Loiret. Les familles transférées du Vel’d’hiv’ entre les 19 et 22 juillet 1942 arrivent aux camps de Pithiviers et Beaune-La-Rolande

les autres pensionnaires n'étant pas juifs ne furent pas déportés.Dans la nuit du 22 juillet, certains des enfants juifs de Louveciennes furent embarqués dans un bus de transport et conduits à Drancy. Une fois à Drancy le 31 juillet 44, un dernier grand convoi 77 part de la gare de Bobigny en direction du camp d’ Auschwitz. Dans ce convoi il y avait les 250 enfants raflés dans les différents centres, dont les 34 enfants de Louveciennes. Il y avait en tout 1300 personnes. Ils étaient entassés par

prendre par les soldats. J’eus un choc, je n’arrivai plus à parler, et je laissai tomber le téléphone. Je voulus absolument revoir mon père, de partir dans le sud pour le rejoindre. Mais je ne pouvais pas. Mon père mourut à la fin de l’année 1943 dans un camp. Je pleurai pendant plusieurs semaines. Tous les jours, je pensai à lui. Je continuai mon année scolaire avec Jeanne, en me cachant chez elle. Elle me consolait quand je repensai à papa. Il y avait eut beaucoup de morts, chaque jour, j’entendais des

juive et toute sa famille a été déportée et envoyée dans des camps de travail. Seule sa mère a pu éviter les Allemands et se cacher pendant la guerre. Ayant six ans et sa petite sœur à peine deux, ils sont envoyés en prison puis dans le camp d’internement de Drancy. Après la guerre, lui et sa sœur retrouvent leur mère. Ensemble, ils reprennent une existence normale, hantée par les souvenirs de cette guerre. Depuis 1972, Jean-Claude Moscovici exerce la pédiatrie à Paris. Jean-Claude Moscovici, auteur

un texte racontant la commémoration des 50 ans du départ de l’unique convoie partant de Provence à destination du camp d’extermination d’Auschwitz, on nous dit que sur 824 juifs déportés seulement 14 personnes survécurent, se qui nous laisse présager de l’horreur du récit. Ce livre s’appelle « Voyage à Pitchipoi » car Pitchipoï est le surnom du camp Auschwitz-Birkenau, c’était un camp d’extermination. Présentation des personnages principaux : - Le narrateur est Jean-Claude Moscovici, il est âgé

David Olère (19 janvier 1902, Varsovie, Pologne - 2 août 1985, Noisy-le-Grand, France) est un peintre et sculpteur juif polonais, naturalisé français en 1937. Détenu au camp d'Auschwitz-Birkenau de 1943 à 1945, il est employé dans une équipe de Sonderkommando. Il épouse en 1930 Juliette Ventura, dont il a un fils, Alexandre. Naturalisé français en 1937 sous le nom de David Olère, il est mobilisé en 1939 au 134e régiment d'infanterie. Après sa démobilisation, il perd son emploi, la Paramount fermant

RTBF ? Le visage de l’assassin de Roger Thiraud, un faux CRS. 3 Que comprend Cadin lors de sa visite à Muriel Thiraud ? Muriel Thiraud a assisté au meurtre de son mari. 4 Quel document Claudine Chenet remet-elle à Cadin ? La monographie sur Drancy rédigée par Roger Thiraud. 5 Au terme de son enquête à Paris, où se rend l’inspecteur Cadin ? À Toulouse. 6 Quel fait divers nécessite l’intervention de Cadin ? Le hold-up d’une bijouterie. 7 Quelle information Dalbois transmet-il à Cadin dans sa

arrêté par le police française, le 20 février 1943, interné à Drancy, puis déporté vers Auschwitz le 2 mars, dans le convoi n°49. Il est sélectionné pour le travail et commence par être terrassier. Puis, il est désigné pour faire partie du Sonderkommando, au Crématoire III de Birkenau où il transporte et brûle les corps au sortir de la chambre à gaz. En 1945, il survit à la "Marche de la Mort" et est envoyé à Buchenwald, puis au camp de Melk, puis à Ebensee où il est libéré par l'armée a méricaine

l’armée. Suite à la défaite éclair de la France, il est contraint de porter l’étoile jaune mais refuse de passer en France libre, ayant la nationalité française et sa femme n’étant pas juive. Pendant l’été 1942 il est enlevé au camp d’internement de Drancy avant d’être déporté au camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz où il est tué en septembre de la même année. Pendant ce temps, Jean et le reste de sa famille se cachent chez des militants communistes avant de passer en zone libre. Analyse:

gitans et de Communistes de la France Occupée sont envoyés en camp d'internement, dont le plus grand ici, à Drancy. La tristement célèbre rafle du Vél'd'Hiv a lieu les 16 et 17 juillets 1942, peu de temps après le retour de Llaval au Gouvernement. Au cours de l'opération Vent Printanier, plus de 13 000 Juifs d'origine étrangère, hommes, femmes et enfants sont arrêtés. Les couples sans enfants sont directement emmenés au camp de Drancy, tandis que les familles sont détenues dans des conditions déplorables