Camp de Drancy

magasins juifs… pour aboutir à la solution finale en 1941, c’est-à-dire l’extermination des Juifs. Les camps de concentration et les camps d’extermination en seront le moyen le plus important. Le système concentrationnaire " Dans ce camp morne et sauvage " (Chant des marais) Introduction Le système concentrationnaire nazi fut une terrible machine à tuer. L’organisation de la " solution finale " fut redoutable. Dans un premier temps, nous nous intéresserons aux S.S soldats

préfecture de la Gironde de juin 1942 à août 1944, sous l’occupation allemande. Il apporte son concours actif à l’arrestation et à l’internement de 76 personnes d’origine juive dans le camp de Mérignac, personnes transférées les mois de juillet, août et octobre 1942 et janvier 1944 en quatre convois à Drancy, puis déportées au camp d’Auschwitz où elles sont exterminées. Maurice Papon fait preuve d’un zèle tout particulier en devançant les instructions de ses supérieurs, en mettant en œuvre avec le maximum

sa soeur et son frère étaient dans son immeuble à ce moment-là. Simone Veil et les siens passent six jours à l'hôtel Excelsior dans des conditions matérielles convenables. Le 7 avril un « lot de personnes arrêtées » (p50) prennent le train pour Drancy. Les conditions de vie sont beaucoup plus sordides mais c'est surtout l'angoisse qui mine les détenus « même si certains se raccrochaient à l'idée d'un débarquement prochain » (p50). Le mystère reste complet sur ce qui attend ceux qui partent pour

mère française. Dès son plus jeune âge, il reçoit le goût de la musique par ses parents. Quand la seconde guerre mondiale arrive en 1939, son père s’engage dans l’armée mais il est enlevé pendant l’été 1942 et séquestré au camp d’internement de Drancy avant d’être déporté au camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz où il est tué. Pendant ce temps, Jean et le reste de sa famille se cachent chez des militants communistes avant de passer en zone libre. Jean Ferrat commence a composer et jouer

baccalauréat sous le nom de Simone Jacquiers en mars 1944. Lors d’une sortie pour fêter la fin des épreuves, elle est contrôlée par des nazis et emmenée à l’hôtel Excelsior où sa famille la rejoindra plus tard dans la soirée. Tous quatre sont envoyés au camp de Drancy, d'où les trois femmes partent pour Auschwitz par le convoi n° 71 du 13 avril 1944.J’admire énormément Simone Veil pour son courage et sa capacité de résilience, c’est en lisant et en m’intéressant à elle et à son histoire que je me rends compte

il est arrêté par la police française lors d’une rafle, incarcéré à Drancy, il est déporté vers Auschwitz où il porte le matricule 106144. D’abord terrassier, il est choisi pour faire partie du Sonderkommando dont le rôle principal est de sortir les corps des chambres à gaz et de récupérer tout objet de valeur avant de les enfourner dans les fours crématoires. Il retient ainsi de nombreux lieux, moments et expériences du camp qu’il reproduira à travers ses œuvres. Le contexte (où et quand ?)

nettoyage ethnique », l'élimination des juifs. Le sort des juifs de France      Malheureusement, en France, les Juifs ne furent pas mieux traités qu'ailleurs par les nazis. D'ailleurs, il y avait des camps de concentration en France, dont ceux de Drancy et de Struthof. On y envoyait principalement les juifs, les tziganes, les homosexuels, les prisonniers d'opinions, les résistants arrêtés... Les juifs étaient soumis, À peu de chose près, aux mêmes règles que ceux des autres pays : port de l'étoile

Document 5 – Treblinka : un camp d’extermination. Le témoignage d’un ancien SS Shoah – Extraits, de Claude Lanzmann Témoignage de Franz Suchomel (6,9 Mo). Extrait 2, séquence 1, 00 :01 :22 © CNDP, 2001. Ce document présente le témoignage du sergent SS Franz Suchomel qui a participé au processus d’extermination à Treblinka. Ce témoignage a été enregistré en caméra cachée par Claude Lanzmann. Le camp d’extermination de Treblinka a été achevé en juillet 1942. Le camp a eu trois chambres à gaz

l'histoire d'une ado anorexique qui découvre que son grand-père était un nazi, qui paraissait ne pas avoir de regret malgré tout. J'ai aussi lu le journal d'Anne Franck qui racontait sa vie cachée, avec la peur d'être trouvée, avant d'être envoyée dans un camp à son tour, et d'y mourir. En seconde j'ai travaillé sur Le pianiste de Spilzman, où l'auteur raconte sa survie dans le ghetto de plus en plus seul, étant donné que son entourage qui disparaissait petit à petit. Et cette année j'ai lu Si c'est un

a aussi trois frères et sœurs. Dans cette famille, la musique et le chant sont très appréciés. Jean témoigne : « Mon père et ma mère m’ont communiqué leur passion de la musique et du chant ». Durant l’été 1942, le père de Jean est séquestré au camp de Drancy, pour être ensuite déporté à Auschwitz le 30 septembre 1942, où il passera ses derniers jours alors que Jean n'avait encore que 12 ans. Jean est caché par des militants communistes, puis lui et sa famille vont se réfugiés en zone libre (il y