Camp de travail

Belgique furent donc rassemblés à la caserne Dossin dans le but de les déporter dans des camps d'extermination. Dès la réouverture de la caserne en 1942, on vit des trains transporter des citoyens juifs vers l'Est, avec comme principale destination le camp d'Auschwitz-Birkenau. Le premier transport partit le 4 août 1942. De 1942 à 1944, on estime à environ 25.000 le nombre de prisonniers juifs qui quittèrent la caserne Dossin pour leur dernier voyage. Deux tiers de ces prisonniers furent gazés immédiatement

Cette carte nous montre lesdifférents camps où étaient envoyés les juifs. Ils y avaient les camps de concentration, qui servait au travail forcé des hommes, des femmes, et des enfants en âge de pouvoir travailler et il y avait les campsd’extermination où le voyage était sans retour. Il y avait plusieurs camps d’extermination assez proche les uns des autres et pleins de camp de concentration situé dans tout l’empire du 3ème Reich.Les juifs étaient acheminés par train entassés dans des wagons comme des

Auschwitz II Birkenau En novembre 1943 on fractionne le camp en trois parties; tandis qu'Auschwitz I devient le Stammlager le camp-souche, Birkenau devient Auschwitz II; il comprend le centre d'extermination ainsi qu'un gigantesque camp de travail forcé. C'est là que périrent 1,1 million de personnes, principalement des Juifs et des Tziganes. À partir de 1943 Birkenau a son propre commandant (Lagerführer) sous l'autorité du Lagerkommandant : Friedrich Hartjenstein de 1943 à 1944, puis Josef Kramer de

 -  2 août1985 ,  Noisy-le-Grand ,  France ) est un  peintre  et  sculpteurjuif polonais , naturalisé français en 1937. Détenu au camp d' Auschwitz-Birkenau  de 1943 à 1945, il est employé dans une équipe de Sonderkommando. Après la guerre, il ne cesse de témoigner de son expérience concentrationnaire par le  dessin  et la 

sont omniprésentes. A l'arrivée, les détenus sont tout de suite triés par sexe, âge et état de santé général. Les femmes, les enfants et les personnes âgées sont envoyés de suite pour les chambres à gaz. Primo Levi, lui, est " apte " au travail et part pour le camp de Monowitz. Une fois là-bas, les prisonniers subissent les étapes destinées à la " perte de l'identité " ; On tatoue un matricule sur leur bras, on leur supprime tous leurs biens ainsi que leurs vêtements. On rase également leurs cheveux

Brandenburg 24-28 : Passe 6 ans en tout en prison et est libéré grâce à une amnistie. Vit une période de détresse psychologique et prend le temps d'observer celle des autres prisonnier. Est un prisonnier modèle, intéressé par les langues, assidu au travail et très intéressé par l'histoire, la théorie des races et de l'hérédité. Agriculteur 28-34 : Trouve une place d'employé agricole. Rejoint ensuite les « artamanes » (garçons et filles conscients de leur race, dont le but était d'avoir une vie saine

camps soit ils préféraient éviter de s’y retrouver en se posant trop de questions. (Léna change diapo) 3eme diapo, L : Les camps de concentration sont des centres de détention de grande taille qui servent à interner, exploiter la force de travail et tuer des opposants politiques, des résidents d’un pays conquis, des groupes ethniques ou religieux spécifiques, etc. Ce sont les détenus qui sont forcés de construire ces camps, les victimes travaillent dans des conditions inhumaines, y laissant

Les juifs entrant dans le camp devaient remettre tous leurs objets de valeur à leur arrivée. Ils étaient répartis en brigades de travail de 20 à 30 personnes. Ils travaillaient environ 12 heures par jour, aussi bien dans le camp que dans la ville ou était le camp. Ils travaillaient aussi sur divers chantiers, comme par exemple chargés d’enterrer les Juifs morts dans le camp ou les Juifs exécutés dans les collines, ou bien à être obligé de casser des pierres tombales dans des cimetières juifs. Ils

que des jeunes gens ont survécu grâce à des protections de ce genre, accompagnées ou non de contreparties. Quant à moi je me refuse à tout jugement dans ce domaine. Vaille que vaille, nous nous faisions à l'effroyable ambiance qui régnait dans le camp, la pestilence des corps brûlés, la fumée qui obscurcissait le ciel en permanence, la boue partout, l'humidité pénétrante des marais. Aujourd'hui, quand on se rend sur le site, malgré le décor des baraques, des miradors et des barbelés, presque tout

mort durant la Seconde guerre mondiale à Auschwitz (Pologne), dans le plus grand camp d'extermination mis en place par le régime nazi. En 1940, le IIIe Reich allemand occupe la partie occidentale de la Pologne, dont Oswiecim, près de Cracovie (sud). Il réalise des arrestations massives de Polonais, parmi la résistance et l'élite. Les prisons ne peuvent absorber cet afflux de détenus. Le régime nazi installe alors un camp dans une ancienne caserne de l'armée polonaise à Oswiecim, dont le nom germanisé