Camp des Loges

la centrale. Les déchets à faible radioactivité, eux, sont recueillis dans des poubelles spéciales. Ils sont ensuite placés dans des barils numérotés où le contenu est identifié et l’activité radiologique mesurée. Ces barils vont être par la suite logés dans des fausses situées sur le site de la centrale. L’emballage des déchets est fait de manière à réduire autant que possible l’irradiation du personnel lors de l’entreposage[66]. Pour ce qui est de l’entreposage à long terme du combustible, il doit

pied dans le postérieur de ce farceur de Simonnin quand il a fait le sourd? dit Desroches en regardant cette observation comme plus concluante que celle de Godeschal. -- Puisque rien n'est décidé, reprit Boucard, convenons d'aller aux secondes loges des Français voir Talma dans Néron. Simonnin ira au parterre. » Là-dessus, le Maître clerc s'assit à son bureau, et chacun l'imita. « Rendue en juin mil huit cent quatorze (en toutes lettres), dit Godeschal, y êtes-vous ? -- Oui, répondirent

titre que les autres régions-états d'Italie. 1397 : Arrigo, maître de presque toute la Corse durant douze ans, est vaincu par Gênes et les Corses qui se soulèvent contre lui. 1401 : mort du comte de Corse Arrigo Della Rocca. Son fils passe dans le camp de Gênes car il s'aperçoit des intentions d'invasion étrangère, sur la Corse en particulier, de la France et du royaume d'Aragon. 1420 : intervention, avec sa flotte, du roi Alphonse V d'Aragon. Vincentello d'Istria prend Bastia, échoue après son

gouvernement car le remplaçant. Du côté militaire, l’Armée n’a pas fait grand-chose durant le siège mais reste proche de la population. Garde nationaux qui sont tout aussi désœuvrés que les soldats mais ont gardés leurs armes. Ils ont choisis leur camp : décidés par tous les moyens possibles à défendre la république menacée. Les gardes nationaux adhérents à une fédération : le comité central. En son sein, fermentation intellectuelle et politique. Idée que les communes devraient être autonomes au

cavalerie avait percé les lignes. On croit ces choses. Et pourquoi non ? Tout est possible à la guerre. Le fait est que ce n'était pas vrai ; et, avant peu, nous allions le savoir, et le nez dessus, puis-je dire. Nous voilà débarqués à Saint-Hilaire, et logés dans les granges, parmi une multitude d'hommes, Quel changement de la grasse Woëvre à ce pays misérable ! La poussière de craie donnait soif et cet automne était chaud. Je me souviens d'avoir bu un jour peut-être dix quarts de bouillon brûlant pris

et enfin le silence, le silence de la mort, le silence absolu...» Samuel Besançon, Croix sur Royan Cahiers d'un résistant 1940-1945. 17 janvier 1945 ( dans "le cri de royan" article écrit par Tipple, un reçeveur des PTT) "Saint Hilaire des Loges (Vendée), Allo! Allo! C'est vous, chère vieille amie ! Ici Guy Tipple, rescapé de la grande tourmente. Nuit du 4 au 5 janvier: 4h10... Vision d'horreur, nuit d'épouvante ! Ville illuminée comme par un soleil radieux, ciel embrasé, ronronnement

la Révolution de 1789 (principes républicains) ensuite. Ils voulaient défendre les petits contre les gros, rejetant aussi bien le grand capital (« le mur d’argent ») que le marxisme. Ils avaient des liens avec d’autres organisations progressistes (loges maçonniques, la Ligue des droits de l’homme…). Il s’appuyait sur un journal : l’Œuvre. Le Parti socialiste, la SFIO, s’appuyait sur les ouvriers et une partie des classes moyennes. Il était réformiste, pour la démocratie parlementaire, la laïcité

inoubliable saveur de ralit campagnarde. Il renona presque entirement au merveilleux des gants Gargantua et Grandgousier lemportent par leur intelligence et par leur sagesse plus que par leur supriorit physique. Il eut le don dvoquer le monde rustique, de camper avec une grande vrit dobservation (mme dans la caricature) divers types humains (Picrochole, Grandgousier, Frre Jean, personnage hro-comique) et surtout danimer dune vie intense certaines fresques, hautes en couleur et dbordantes daction. Pourtant

seulement obéir, mais servir, non pas être gouvernés, mais être tyrannisés, n’ayant ni biens, ni parents, ni enfants, ni leur vie même qui soient à eux ? De les voir souffrir les rapines, les paillardises, les cruautés, non d’une armée, non d’un camp barbare contre lesquels chacun devrait défendre son sang et sa vie, mais d’un seul ! Non d’un Hercule ou d’un Samson, mais d’un hommelet souvent le plus lâche, le plus efféminé de la nation, qui n’a jamais flairé la poudre des batailles ni guère

près de la rive du fleuve. La palestre était le lieu où se rendaient les athlètes pour s'entraîner au minimum un mois avant le début des festivités. Parlons également d'un autre bâtiment important de ce plan : le gymnasion, où les athlètes étaient logés et nourris pendant la durée des jeux. Autre élément important pour la suite de ce travail, les athlètes avaient déjà fréquemment leurs entraîneurs personnels. En ce qui concerne le public, les barbares et les esclaves étaient acceptés. Tous excepté