Candide Chapitre 16 Sauvage

sans cesse, tout le long du jour, comme une pluie incessante et triste à faire pleurer, ces dernières feuilles, toutes jaunes maintenant, pareilles à de larges sous d’or, se détachaient, tournoyaient, voltigeaient et tombaient. Maupassant, Une vie, chapitre VI. ½¼ ½ ¾¼ ¾ ¿º ËÓÒ Ö × ×Ù Ø × Ô Ò× × Ú Ù × Ø ÓØØ ÒØ × Õ٠гÓÒ º Ù×Ø Ö × × Ò× ÒØ × ¸ ÔÓÙ ÐР׸ Ö ÓÙÖ Ùܺ Ú ÐÓÔÔ ÐÓÖ× ³ÙÒ Ö Ú Ö º Sujet 2 Texte 3 L’auteur présente ainsi le thème de son roman : « L’histoire d’un type insensible

sans cesse, tout le long du jour, comme une pluie incessante et triste à faire pleurer, ces dernières feuilles, toutes jaunes maintenant, pareilles à de larges sous d’or, se détachaient, tournoyaient, voltigeaient et tombaient. Maupassant, Une vie, chapitre VI. ¿º ËÓÒ Ö × ×Ù Ø × Ô Ò× × Ú Ù × Ø ÓØØ ÒØ × Õ٠гÓÒ º Ù×Ø Ö × × Ò× ÒØ × ¸ ÔÓÙ ÐР׸ Ö ÓÙÖ Ùܺ Ú ÐÓÔÔ ÐÓÖ× ³ÙÒ Ö Ú Ö º Sujet 2 Texte 3 L’auteur présente ainsi le thème de son roman : « L’histoire d’un type insensible, indifférent aux choses

Poétique: la boue et l'or:Mouvement du texte: · Vers 1 a 5: A l’interieure d’une masure · Vers 6 à 16: La querelle · Vers 16 à 26: L’alchimie du crépusculeLecture du texteProjet de Lecture: Comment le poète va-t-il sublimer la misère de la masure

essentiellement par les forces et les rapports de production, cependant que dans la superstructure figurent les institutions juridiques et politiques en même temps que les façons de penser, les idéologies, les philosophies »2. 1 2 Le Petit Prince (chapitre IV), in Oeuvres complètes II : p. 246 [422]. R. Aron, in Les Etapes de la pensée sociologique (Gallimard - p. 154). © L.G. 2001 10 Le structuralo-marxisme considère le conte comme une superstructure et se propose de retrouver dans le passé

l’introduction (l. 49-51) apporte une note d’humour. Le narrateur se présente comme le simple « traducteur » (l. 24) de lettres écrites par des Persans qui logeaient dans le même lieu que lui : « Les Persans qui écrivent ici étaient logés avec moi » (l. 16). Cette précision contribue à créer un effet de réel. Il affirme avoir recopié cette correspondance (l. 20) avant de la traduire. Les seules modifications qu’il se serait autorisées sont l’allégement du style et la coupe de certains passages exagérément

è1- est approximative : « ………………. » ; è2- nous ramène au temps de l’histoire/ de la jeunesse ; è3- est probablement antérieure au triple événement qui a servi d’argument, d’élément modificateur/ déclencheur à l’intrigue dans les 3ers chapitres : 2- Ironie et réalisme de Sylvie, roman d’apprentissage Le caractère rétrospectif du récit est sensible dans l’ironie, qui mine le récit et le remet en perspective, grâce à un recul critique qui instaure une discordance

 naïve et pure, qui élève l’homme et le rend meilleur ; •  la figure de la femme fatale, associée à la luxure et à l’enfer, qui cause la déchéance de l’homme. Esméralda incarne à elle seule ces deux figures opposées : •  d’une part, Esméralda n’a que 16 ans et est vierge. C’est une fille innocente qui ignore tout  des hommes et pense connaitre le grand amour avec Phœbus ; •  d’autre part, du point de vue de Frollo, elle est la femme fatale, une tentation, un objet de  Satan qui fera de lui, prêtre

d'humanisme produit par l'Europe même. La IIIe République a utilisé les droits de l'homme pour justifier la colonisation mais tout en les violant dans les colonies : elle a élaboré une vision du monde distinguant les hommes blancs civilisés des indigènes sauvages. Cette vision a été fortement contestée, comme lors du débat de 1885 à la chambre des députés, selon l'auteur elle serait devenue une certitude officielle, admise par l'opinion, en particulier lors de l'exposition coloniale de 1831, est contestée

pouvoir de contrainte. Le premier texte date de 1974. Il s’agit en fait d’une longue interview parue dans une revue radicale, Antimythes. Le deuxième texte a été publié en 1976 dans la revue Interrogations. Le troisième texte constitue le chapitre 11, le chapitre de conclusion, du fameux livre de Pierre Clastres : La société contre l’État paru en 1974. Ce beau livre de près de 190 pages, un incontournable, est publié par les Éditions de Minuit (7, rue Bernard Palissy, 75006 Paris) et peut être commandé

C) La princesse de Clèves page 8 à 10 - D) Manon Lescaut page 10 à 12 -E) Les fausses confidences page 12 à 14 -F) Ruy Blas page 14 à 16 -G) Les fleurs du mal page 16 à 19 -H) Le parti pris des choses page 19 à 202- Un journal du bord sur l’une des œuvres page 213- Diverses citations tirés des œuvres page 22 à 244- Des écrits d’appropriation page 24 à 315- Des « rencontres »