Candide Critique Le Clergé

importante et cela il l’obtient par l’intermédiaire des Salons, lieux d'échanges intellectuels, des gens qu’ils côtoient… C'est l'homme du dialogue par excellence, de la tolérance. La Raison est son seul guide. C'est l'homme de la contestation, de la critique, « sage » car reposant sur la science des « faits ». Il se fait « l'apôtre d'une révolution pacifiste » car son seul but est d'atteindre le bonheur pour tous. C'est l'homme de la liberté, de la libération de l'homme. Une autre particularité du

prisonnier du 1er mai au 6 juillet et doit rendre les papiers du roi qu'il avait emportés). Indésirable en France, il doit chercher un asile. Possédant beaucoup d'argent, Voltaire s'installe à Genève : il écrit le Poème sur le désastre de Lisbonne et Candide en 1759. De 1760 à 1778, Voltaire vit à Ferney, sur la frontière franco-suisse ; il correspond avec d'Alembert, Frédéric II et Diderot. En 1763, il écrit le Traité sur la tolérance (à propos de l'Affaire Calas). En 1778, il fait un retour triomphal

nouvelles idées qui influenceront les gens de l'époque. "Le Siècle des Lumières" désigne le XVIIIe siècle en tant que période de l'histoire de la culture européenne, marquée par le rationalisme philosophique et l'exaltation des sciences, ainsi que par la critique de l'ordre social et de la hiérarchie religieuse, principaux éléments de l'idéologie politique qui fut au fondement de la Révolution française. L'expression « siècle des Lumières » était déjà fréquemment employée par les écrivains de l'époque, convaincus

Candide , Chapitre 1 (5 premiers paragraphes) INTRODUCTION A. PREAMBULE · Texte trompeur puisque Voltaire ne le prend pas à sa charge en en minimisant la portée tout à la fois en prétendant qu’il n’est qu’une traduction et d’autre part qu’il s’agit d’un obscur auteur (cf. l’Avertissement figurant dans l’avant texte) · Dans le même temps, introduction du sérieux par le grade M. Le Docteur Ralph et le sous titre (ou l’Optimisme) · Le mensonge fictionnel au service d’une vérité littéraire :

terme "raison" évoque une "sagesse équilibrée" ; mais au XVIII° , elle est "audace critique" (Paul Hazard). Lire Bordas, p. 70 b., FMH, p. 26. Déjà, au XVII°, Descartes et son "rationalisme cartésien" avait préparé les esprits : Bordas, p. 260. Au XVIII°, on refuse les traditions : - Pierre Bayle, Pensées sur la Comète de 1680 (1682), in Magnard, p. 126 et Lagarde et Michard, p. 17. Le droit de critique, l'esprit d'examen s'étend à tous les domaines, en vue de construire un monde éclairé

difficultés. La bourgeoisie attend des réformes que Louis XIV se révèle incapable de mener a bien. C'est le siècle de l'essor de la bourgeoisie. -l'autorité française est peu à peu discréditer puisque les privilèges sont toujours tenus par les nobles et le clergé. -l'État est affaibli financièrement par les guerres. -première moitié du XVIII : phase d'expansion économique. Époque des grands voyages, des découvertes, de la colonisation ( cf Bougainville ). D'où un développement des connaissances géographiques

porter la critique sociale que le décentrage géographique, celui de la fiction de l'Espagne (ou celui des Lettres Persanes, voire de Candide). L'absence d'attaches de Figaro, sociales ou familiales, fait de lui un personnage qui, s'il ne peut représenter aucune catégorie sociale existante, pose déjà la question de l'universalité de l'homme (qui fondera les idées de la Révolution Française). L'on peut certes nuancer en remarquant que Figaro ne peut appartenir ni à l'aristocratie ni au clergé. Faut-il

et, par ailleurs, la naissance d’une sensibilité que l’on qualifiera postérieurement de préromantique. La littérature d'idées est illustrée notamment par Montesquieu (Lettres persanes en 1721, Voltaire (romans philosophiques comme Zadig, 1747 ou Candide,en 1759), Diderot ou Rousseau que l'on découvre aussi comme romanciers aux côtés de Prévost, Bernardin de Saint-Pierre, Laclos ou Sade alors que le théâtre retient en particulier Marivaux et Beaumarchais. Sommaire   [masquer]  1 Contexte historique

torture d’un accusé. c) Le combat social L’un des plus grands combats des Lumières a été social. Tous les hommes de la monarchie absolue de droits divins sont considérés comme des « sujets du roi » et sont répartis en trois ordres (Tiers-Etat, Clergé, Noblesse) qui les diffèrent. Les philosophes sont complètement à l’opposé de cela et veulent une égalité naturelle des hommes. En effet ils souhaitent rédiger une déclaration des droits de l’Homme, ou encore faire accéder les hommes à différentes

intellectuelle et philosophique. Alors que tous les esprits devaient être éclairés par les Lumières, on découvre que dans ce siècle toute l’obscurité n’était pas dévoilée. Effectivement, de nombreux courants minoritaires furent mit en place pour critiquer la raison et parler de plusieurs phénomènes en marge. C’est aussi dans cette période que le Fantastique prend ses racines, accompagné des romans gothiques et des romans noirs qui sont, à l’époque, inquiétants. En quoi les lumières ont-elles influencées