Candide Préoccupations Des Lumières

PLÉIADE | LE BAROQUE | LE CLASSICISME | LES LUMIÈRES | | Époque | XVI°s | XVI°s | XVI°s | XVII°s | XVIII°s | | | |L’humanisme développe une |Participant à l’Humanisme, les |Marqués par les guerres de |En réaction contre l’exubé- |Les écrivains des Lumières | | |nouvelle image de l’Homme,

pour dire aux Hommes que la puissance terrestre est éphémères, ne compte pas, mais que le plus important est de gagner sa place dans le Paradis. On a également la nature morte, qui permet de penser à la vie future, à sa préparation. Une des préoccupations est la mort. On peut avoir des textes où flamboyance et noirceur se côtoient : c’est le Clair-Obscur (pareil qu’en peinture) en littérature. Comme auteurs Baroques, on peut citer Corneille (mais pas uniquement Baroque), Théophile-de-Viau, St

INTRODUCCION : On parle du XVIII siècle comme le siecle des Lumières. Celui-ci commence en fait en 1715, avec la mort de Louis XIV et finit avec la révolution française de 1789. Etymologiquement le philosophe est celui qui aime la sagesse. AU XVIII apparaît un mouvement litteraire et culturel, qui repose sur les philosophes des lumières. Le terme de “Lumieres “ utilise dans toute l’europe, est une metaphore pour designer un ensemble de philosophes, des personnes qui aiment la sagesse qui “eclairent”

certain public malléable admirent inconditionnellement ; Rabelais se moque dans Gargantua des précepteurs sophistes qui obligeaient leurs élèves à apprendre par cœur des ouvrages latins ou à vénérer par-dessus tout Aristote. Dans le Candide de Voltaire, le précepteur de Candide, Pangloss a lu si passionnément les ouvrages du philosophe Leibnitz et des Optimistes qu’il les cite à tous propos, et veut appliquer leur théorie à tous les détails de l’existence. Plus près de nous, dans les années 1950, Boris

L’humanisme développe une nouvelle image de l’homme, libre et épanoui. Il s’élève contre les croyances du Moyen-âge, au nom du retour à l’Antiquité, mais aussi de l’intelligence et du savoir. Objectifs : - placer l’homme au centre des préoccupations morales et philosophiques - encourager les sciences et le savoir ainsi que la lecture des textes antiques - explorer toutes les formes de l’art - dénoncer la violence sous toutes ses formes Procédés d’écriture : - l’usage

Les principaux courants littéraires. I. L’humanisme A partir de la seconde moitié du XVe siècle, le retour de la paix favorise un important mouvement culturel : l'humanisme. L'humaniste place l'homme et l'étude du monde au centre de ses préoccupations. La multiplication des universités, l'essor de l'imprimerie permettent alors de promouvoir ce nouvel idéal. Pour les auteurs et les artistes du XVIe siècle, rien dans le monde n’est désormais plus admirable que l'homme comme modèle de perfection

basé sur l’ignorance : porte ouverte pour toutes les tyrannies Registre satirique : texte ironique et anti-phrase. Ironie : dire le contraire de ce que l’on pense Voltaire fait dire le contraire de ce qu’il pense à J. Chérébi. Lumières des lumières : périphrases : stupidité de Joussouf Ce qu’à dieu ne plaise : musulman ou catholique ? CCL : Voltaire est contre les traditions et les lourdeurs du passé. Il veut que les choses évoluent, ce qu’a permit l’imprimerie. Voltaire est

yeux ailleurs .Il est l’homme des utopies Pour Victor Hugo, le poète est un visionnaire, qui a la lumière divine et doit guider sa société vers le progrès. C’est un intuitif De prophète, il devient Messie comme l’expose le célèbre « Fonction du poète » (les Rayons et les Ombres, 1837) où Victor Hugo définit le poète comme « le rêveur sacré », élu de Dieu « qui parle à son âme », devenu porteur de lumière et visionnaire, « des temps futurs perçant les ombres ». D'abord le poète est celui qui voit autrement

Victor Hugo ( 1802-1885) était un poète, romancier et dramatique français. Chef de file des romantiques et animateur du Cénacle. Il est auteur d’une immense et variée caractérisée par un art lyrique et visionnaire : «  écho sonore » des préoccupations de son siècle. Son imagination puissante apparaît également dans ses dessins. En politique, il fut légitimiste puis libéral. Républicain et démocrate il s’exila à Guernesey après le coup d’état de Napoléons III ( 1851 ) et revient en France en

naïveté du personnage. 2 Notre héros est en apprentissage « dans ce pays-ci ». Il est étranger et n'a aucune notion des us et coutumes versaillaises. Ses réactions sont celles d'un individu vivant dans l'instant ses problèmes et ses préoccupations. Il a combattu pour la France, il attend de la reconnaissance, d'autant plus qu'il se présente comme « le neveu de Monsieur le Prieur de la Montagne »,(l.8) personnage qu'il croît important !Voltaire met la simplicité de l'Ingénu au service de