Caniche

sont mus par un monstre inconnu, mais, quand ils rentrent chez eux, se transforment en pères de famille dociles, serviteurs de la patrie et excellents maris. Je me rappelle une fois, encore jeune, où un petit ami m'a demandé de m'occuper de son caniche. Je détestais ce chien. Je devais partager avec lui l'attention de l'homme que j'aimais. Je voulais tout son amour. Ce jour-là, j'ai décidé de me venger de cet ingrat animal, qui ne collaborait en rien au développement de l'humanité, mais dont

par un monstre inconnu, mais, quand ils rentrent chez eux, se transforment en pères de famille dociles, serviteurs de la patrie et excellents maris. Je me rappelle une fois, encore jeune, où un petit ami m'a demandé de m'occuper de son caniche. Je détestais ce chien. Je devais partager avec lui l'attention de l'homme que j'aimais. Je voulais tout son amour. Ce j our-là, j'ai décidé de me venger de cet ingrat animal, qui ne collaborait en rien au développement de

magistrat fort connu, le bon toutou, entièrement écoeuré de cette pusillanimité, rapporta à son maître je ne sais plus quelle gazette antiboulangiste. Coups de cravache de la part du monsieur demeuré fidèle à son idole, lui. Le lendemain, notre caniche, de plus en plus ancré dans son horreur pour le César de cirque, se refusa énergiquement à rapporter les organes dictatoriaux. De guerre lasse, le monsieur dut céder et se mettre à lire la presse gouvernementale ou tout au moins indépendante. Pour

situation • postériorité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .................................................................................................................... 3. Tous les matins, Mme Leblanc promène ses deux caniches. D’abord, ils font un petit tour dans le parc municipal, puis ils reviennent par la rue des Saules. Parfois, ils changent d’itinéraire. . . . . . . . .fréquence • succession • succession • fréquence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

sorti tout droit d'Easy Rider, donne l'impression qu'il est égaré d'une autre époque. HARLEY Tant que tu me la rayes pas je m'en balance. Une éraflure et je montre les crocs ! Harley montre ses dents en aboyant un coup. Un aboiement aigu, digne d’un caniche. Puis, il se marre tout seul. 27.Thomas lui répond en singeant une "tête de méchant". Dans la foulée, il tente une nouvelle fois de démarrer la moto mais n'y parvient toujours pas. Harley s'avance vers lui d’un pas bouillonnant. HARLEY à lui-même

tutoie ? Ça facilite tellement la conversation. — Vous ne l’avez pas vu depuis deux mois ? fis-je, guère convaincu. — Bobi, Mocci ! » cria-t-elle à ce moment sans me répondre. À son appel deux chiens firent irruption dans le salon. Un petit caniche nain et un boxer. Le boxer était plutôt gras et mou et, je ne sais pourquoi, il me sembla l’avoir déjà vu quelque part. Ils se précipitèrent tous les deux sur Lunella qui, en riant, cherchait à les tenir en respect. « Allons, allons, soyez sages

dit pas de cigarette ! - Pendant la partie, pas avant ! Bonjour l’ambiance. Une ourse à moustache, harmonieusement assortie avec sa chevelure chauve-souris. Un petit bonhomme insignifiant se lève à notre entrée. - Mon mari ! Je me disais aussi le caniche, il est bien grand. Dans ses bras, il serre une serviette, il a peur qu’on lui pique sa gamelle ? Soupçonneux mon coach demande aussitôt - Vous avez l’argent ? - Heu, c’est-à-dire… - Vous l’avez ou vous ne l’avez pas ? - Ben 16 000 euros cela fait

• antériorité • situation • postériorité ��������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������� 3. Tous les matins, Mme Leblanc promène ses deux caniches. D’abord, ils font un petit tour dans le parc municipal, puis ils reviennent par la rue des Saules. Parfois, ils changent d’itinéfréquence • succession • succession • fréquence raire. ����������������������������������������������������������

depuis un bon moment déjà. Mais avant de parler jeu, tu dois devenir son pote pour une autre raison. Les raisons étaient mul ples et dépendaient du pigeon en ques on. Si le pigeon aimait se promener au bois de Boulogne avec son caniche, Jacques X. se procurait le même caniche et allait se promener au même endroit. La conversa on partait alors de leurs chiens. Si le pigeon aimait la pétanque, Jacques X. se procurait un jeu de boules. Et ainsi de suite, allant de pigeon en pigeon. Surtout une fois

Christopher ne pouvait pas être séduit par une fille pareille ! Je ne l’imaginais tout simplement pas… « Arrête-toi ! me suis-je dit. Tu tournes en rond. » Et je me suis remise à gribouiller furieusement dans mon cahier. J’ai dessiné un minuscule caniche qui ressemblait à Cosabella. Lulu m’avait promis de s’en occuper pendant que je serais au lycée, mais il avait jappé et gémi à fendre l’âme en me voyant partir. Et, même si je ne m’y connaissais pas trop en chiens, j’avais bien vu à son comportement