Canotier

envoler l’oiseau.  Elle ne songeait guère non plus à répondre.  Ils restèrent quelque temps ainsi. Mme Dufour était assise quelque part, car on entendait vaguement, de temps en temps, les petits cris de la grosse dame que lutinait sans doute l’autre canotier.  La jeune fille pleurait toujours, pénétrée de sensations très douces, la peau chaude et piquée partout de chatouillements inconnus. La tête de Henri était sur son épaule ; et, brusquement, il la baisa sur les lèvres. Elle eut une révolte furieuse

Renoir»Torse, effet de soleil» 1875 Renoir, Le Moulin de la Galette 1876 Pierre Auguste Renoir «La balançoire» 1876 Pierre Auguste Renoir «Danse à la campagne» 1883 Pierre Auguste Renoir «Danse à la ville» Renoir «le dejeuner des canotiers» 1880 Renoir «Maternité dit aussi L’Enfant au sein»1885 Renoir «Gabrielle à la rose» 1911 Camille Pissarro,1830 - 1903, est un peintre impressionniste puis néo-impressionniste français, Pissarro «Les toits rouges» 1877 Camille Pissarro

suppose une lecture "active" car le lecteur doit chercher le sens et la direction des phrases, chose qui paraît évidente dans un texte classique. Poème a Lou. [pic] Reconnais-toi Cette adorable personne c'est toi Sous le grand chapeau canotier Oeil Nez La bouche Voici l'ovale de ta figure Ton cou exquis Voici enfin l'imparfaite image de ton buste adoré  vu comme à travers un nuage Un peu plus bas c'est ton coeur qui bat J’ai choisie un calligramme, car j’ai trouvé que ce style

calligramme suppose une lecture "active" car le lecteur doit chercher le sens et la direction des phrases, chose qui paraît évidente dans un texte classique. Poème a Lou. Reconnais-toi Cette adorable personne c'est toi Sous le grand chapeau canotier Oeil Nez La bouche Voici l'ovale de ta figure Ton cou exquis Voici enfin l'imparfaite image de ton buste adoré  vu comme à travers un nuage Un peu plus bas c'est ton coeur qui bat J’ai choisie un calligramme, car j’ai trouvé que ce style

démarche de l’artiste réaliste Répondre à des questions de compréhension Répondre à des questions d’interprétation Rédaction d’une réflexion personnelle le roman vériste, la démarche de l’artiste réaliste Maupassant, Une partie de campagne, « Les canotiers » - Préface de Pierre et Jean Verga – Prefazione all’Amante di Gramigna e Prefazione ai Malavoglia Thématique culturelle 8 - La Poésie de la modernité o o Mouvements littéraires : le Parnasse, le Symbolisme Auteurs : Gautier, Baudelaire, Verlaine

disparaissant derrière les épiciers Pardon ! Le Vieux Monsieur élégant a des guêtres blanches, un chapeau mou, une canne à pommeau d’ivoire ; le Logicien est plaqué contre le mur, il a une petite moustache grise, des lorgnons, il est coiffé d’un canotier. L’EPICIERE, bousculée et bousculant son mari, au Vieux Monsieur Attention, vous, avec votre canne ! L’EPICIER Non, mais des fois, attention ! On verra la tête du Vieux Monsieur derrière les épiciers. LA SERVEUSE, au Patron

grossièrement » (chapitre I, page 22). Tout d’ailleurs, et donc tout espoir, lui semble interdit. * L’espace du roman ne s’ouvre qu’au moment de la promenade à Saint-Ouen, sur les bords de la Seine, animés par les traditionnelles guinguettes et les canotiers, qui renvoient à une esthétique impressionniste. Bien que le contraste avec le paysage urbain soit important, les amants sont loin de faire à Saint-Ouen l’expérience du plaisir et de la légèreté. La Seine, décrite sous une lumière crépusculaire,

héros | | | | |du moment, à la stupeur des elfes| | | | |canotiers et sous le regard | | | | |sceptique du Maître de la ville. | | | |

femme Camille, celui de ses amis artistes Sisley, Lambron, Bazille pour ses modèles masculins. Dans le texte de Gustave Geoffroy, le portrait de Bazille est attribué à deux apparitions dans l’esquisse : à l’homme aux lunettes qui porte un chapeau de canotier, et à l’homme assis, ses jambes étendues vers la droite. Un autre homme barbu, cheveux bouclés, assis sur l’herbe, est Lambron. Camille est l’unique modèle qui posé pour ces figures féminines dans la toile. Face au spectateur, deux dames vêtues de

de belles satisfactions à jouer sur le contraste. Lire un passage du Journal de Léautaud où il vilipende précisément les corps amassés sur les plages de Bretagne. Lire a l'ombre des jeunes filles en fleurs, et renouer avec un monde balnéaire de canotiers, d'ombrelles, et de saluts distillés à l'ancienne. Plonger sous le soleil dans le malheur pluvieux d'Olivier Twist. Chevaucher à la d'Artagnan dans l'immobilité pesante de juillet. Mais travailler "dans la couleur" est bon aussi: étirer à l'infini