Capitalisme rhénan

: descriptive et comportementale, c’est ce que Verstraete (1999, p. 77-88) qualifie d’approches par les traits et par les faits. Comment s'est construit le personnage, tantôt adulé, tantôt détesté, de l'entrepreneur au fil des évolutions du capitalisme ? Quels sont ces rôles économiques et sociaux ? Quels sont les regards qui sont portés sur lui et de quelle façon faut-il le regarder ? De nombreuses écoles de pensée se disputent le champ de la recherche sur l’entrepreneuriat. Nombre d’entre

L’APEC est un moyen en même temps de lutter contre l’influence du Japon dans l’Asie Pacifique et d’offrir de nouveaux débouchés aux grandes firmes américaines. 2°) L’efficacité du capitalisme américain et la suprématie financière. a) Le capitalisme américain 1. Le pays du capitalisme et du libéralisme ▪ Le pays de la libre entreprise ← Avec une grande marge de manœuvre laissée aux entreprises,

Émile Zola, Au Bonheur des Dames Analyses d’ensemble I - Les personnages A- Octave Mouret - Dossier préparatoire : « Très malin, faisant son chemin par les femmes. Ayant compris les temps modernes. (…) Le type même du jeune bourgeois intelligent » - Octave Mouret est un des personnages de Pot-Bouille avant d’être le héros d’Au Bonheur des Dames ; c’est grâce à son mariage avec Caroline Hédouin qu’il devient le patron du magasin (voir dans les premiers chapitres les passages retraçant son

THEORIES DE LA CROISSANCE > Définition de la croissance selon F. Perroux : « > c’est > l’augmentation soutenue pendant une ou plusieurs > périodes longues d’un indicateur de dimension, pour > une nation, le produit net en termes réels ». La > croissance est un processus quantitatif qui n’est > qu’un élément du développement. > La réflexion économique sur la croissance date de la > première révolution industrielle. Adam Smith dans la > Richesse

souvent qualifié de « dernier des classiques », Le Capital reprenant en effet les grands concepts forgés par les classiques anglais (en particulier Ricardo), tels que la valeur, mais dépassant ces analyses en montrant les contradictions internes du capitalisme. Marx s'inspire également du socialisme français, et notamment de Joseph PROUDHON (« la propriété c'est le vol »). Marx est holiste : le fait social est expliqué par des facteurs extérieurs à l'individu, qui le contraignent et le déterminent. Il

mouvement démocratique. Or une révolution explose selon Tocqueville non pas quand les choses sont au plus mal mais quand elles vont mieux… KARL MARX L’analyse socioéconomique du capitalisme Marx cherche d’abord à démontrer le caractère fondamentalement antagoniste du capitalisme. La thèse centrale du « manifeste du parti communiste » est celle de la lutte des classes, ces dernières étant à la fois antagonistes et bipolaires. Cf. : « L’histoire de toutes sociétés jusqu’à

L'introduction : vous devez définir la mondialisation : mise en relation des territoires du monde par des échanges considérables de biens matériels et immatériels, échanges multipliés par l'internationalisation de la production des biens et des services par les Firmes transnationales qui cherchent le profit le plus élevé et plus rapidement possible dans le cadre d'une économie capitaliste triomphante. Ces flux intenses sont rendus possibles par une révolution considérable des moyens de transport

d'ici-bas. En vue du règne de la Jérusalem terrestre. Philippe Ariès montre que le XVI e siècle se soucie du bonheur profane. La Renaissance se tourne vers la connaissance et la transformation du monde. Dans l'Éthique protestante et l'esprit du capitalisme, Max Weber a montré le rôle de l'ascétisme (doctrine de perfectionnement moral fondée sur l’austérité et la lutte contre les exigences du corps), du puritanisme (rigorisme, austérité extrême) dans l'accumulation du capital et l'encouragement au

droit collectf plus qu’individuel, puisque, pour changer la ville, il faut nécessairement exercer un pouvoir collectf sur les processus d’urbanisaton » (page 8). Ataché à la pensée de Lefebvre, David Harvey dénonce dans cet ouvrage, l'infuence du capitalisme sur la producton urbaine, et propose un certain nombre d'éléments susceptbles de valoriser un développement plus humaniste et égalitaire. Cete remise en queston de la manière néolibérale de concevoir la ville, et la volonté de produire une ville

pensée économique Le libéralisme, keynésianisme, marxisme sont les principaux courants. * Libéralisme : XVIIIe siècle, accompagne le développement du capitalisme industriel du XIXe siècle. * Marxisme : milieu du XIXe siècle à la suite d’une contestation de la misère ouvrière et d’une analyse des contradictions du système éco capitalisme. * Keynésianisme : à la suite d’une réflexion sur la crise éco des ’30, révolutionne le libéralisme éco dans le but d’améliorer son fonctionnement.