Carence Affectives Chez L Adulte

TFE : Les troubles de l’attachement en cas de prématuré Camille Schommers 6A6 Madame Herman Collège Royal Marie Thérèse – Herve 2009-2010 Introduction L’attachement est extrêmement important chez le prématuré car il favorise la croissance (voir livret relation mère enfant) Chapitre 1 : La prématurité : Par définition, un bébé prématuré est un bébé qui naît avant la 37 ème semaines. On distingue trois « degrés » de prématurité. Premièrement, la prématurité légère où l’enfant naît

transmission intergénérationnelle des représentations d’attachement. Le premier article (Wilhelm et al., 2016) a pour objet une étude longitudinale concernant le type d’attachement adulte en fonction du lien parental mesuré 35 ans plus tôt. Le deuxième article (Doinita et Maria, 2015) décrit comment le type d’attachement adulte est lié au style parental. Le troisième article (Ladha et al., 2012) s’intéresse à la dynamique des effets épigénétiques que peut enclencher la qualité des interactions entre les

d’une résilience ou anti-résilience. 2. Le genre et l’anti-résilience Une perte d’estime de soi entraine souvent des mécanismes de défenses qui se manifestent : - Chez les filles par une régression et une immaturité - Chez les garçons par une agressivité. Il résulte de ces mécanismes, un comportement des adultes manifestant une irritation contre l’agressivité et une condescendance contre l’immaturité qui va creuser cette blessure de l’estime de soi. On parlera d’une spirale anti-résiliente

Développement de la vie affective et sexuelle des personnes handicapées 1. Généralités Tenter de comprendre le vécu des personnes handicapées mentales est une gageure. Quelqu’effort de représentation mentale que nous nous en fassions, il nous est difficile d’entrer dans leur corps et dans leur tête. Nous ne pouvons nous épargner d’évoquer cette population en termes d’objets de notre démarche intellectuelle. Au pire, nous les observons en anthropologues ; au mieux, en éducateurs ou parents

un problème majeur Malgré des années de prévention, on déplore chaque année en France 18 000 grossesses chez des jeunes filles encore mineures, dont 70 % se soldent par une interruption volontaire de grossesse. Mise en danger du corps ? Problème d'accès à la contraception ? Quelles sont les raisons qui amènent ces jeunes filles à faire un enfant ? Violences physiques, carences affectives, négligences éducatives… contrairement aux représentations que l'on peut avoir des grossesses adolescentes

peuvent être les causes de la peur de l’abandon ? L’abandonnite vient d’une situation d’abandon mal vécue durant une période de dépendance affective et physique : la période fœtale, la naissance ou l’enfance. L’abandon c’est « l’action de délaisser un être, de ne plus s’en occuper, de s’en détourner1 ». Il peut être d’ordre physique ou psychique : une carence dans les liens affectifs, une mère débordée, un parent absent, la nouvelle fratrie, un séjour en pension ou bien un décès sont autant de situations

un bouleversement hormonal qui la fait passer du rire aux larmes. ▪ Le baby blues Après l’accouchement, la mère ressent souvent un grand cafard, qu’on appelle le baby blues, lié aux changements hormonaux qu’elle vient de vivre. Cet état, normal chez la jeune maman, dure généralement quelques jours et s’estompe souvent spontanément. La mère pleure, s’inquiète de ses capacités à prendre soin de son enfant, à faire face à ses nouvelles responsabilités. Elle est fatiguée, aspire au repos, à un repli

cherche et trouve une solution pour un problème existentiel dans le fait d’attenter à sa vie. Le suicide à l’adolescence est un phénomène tragique qui ne cesse d’augmenter. Il constitue la deuxième cause de mortalité chez les jeunes âgés de 15 à 19 ans. De plus, le taux de suicide chez les jeunes est sous-estimé puisqu’il ne tient compte que des suicides officiels et exclut ceux déguisés en accidents. Pourquoi des jeunes qui ont toute la vie devant eux sont-ils si désespérés au point de mettre fin

d’un ITEP accueillant un public exclusivement féminin. La caractéristique principale d’un ITEP est que son public présente des troubles du comportement et du caractère. Un ITEP est un lieu qui accueille des enfants, des adolescents et des jeunes adultes. Mais qu’est-ce que les troubles du comportement ? Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), « Les troubles du comportement se caractérisent par un changement du mode de pensée, de l'humeur ou du comportement qui ne rentre plus dans les normes

18 18 à 19 II) Analyse des situations 3eme partie : Analyse grâce I) Les différents concepts : page 19 à 21 à l’éclairage de la théorie 1) Concept d’adolescence 2) La socialisation et la construction identitaire 3) La carence affective page page page page 22 22 à 23 23 à 25 26 à 27 4) 5) 6) 7) L’abandonnisme L’ambivalence L’image du corps L’importance de la famille dans la construction du soi III) Hypothèses d’action 4eme partie : Le projet I)