Carnutes

(Patrice Brun) se font enterrer avec armes et chariots d'apparat, comme à Vix en Côte-d'Or (-550 à -450) (Bourgogne). char gaulois d'apparat Selon Tite Live, les surabondantes populations des guerriers des Bituriges, Arvernes, Éduens, Ambarres, Carnutes et Aulerques sous la conduite du légendaire biturige Bellovesos envahissent la plaine du Pô et se joignent aux Insubres tribus celtiques qui fondent vers -600 Mediolanum (Milan). Conséquemment au climat vers la fin de l'âge du bronze danois, les

druides sont rangées dans ce que l'on appelle la classe sacerdotale. Dans son livre La guerre des Gaules, César écrit que les druides présidaient la vie religieuse, rendaient la justice et instruisaient la jeunesse. Chaque année avait lieu au pays des Carnutes (correspondant au département de l'Eure et Loir aujourd'hui) un conseil de druides. Les druides échangeaient sur de multiples sujets : l'immortalité de l'âme, la morale, les astres, les dieux ou encore l'origine du monde. C) La religion chez les

participent à cette fonction de prophétie. En Gaule, l'existence d'une hiérarchie druidique est également presque certaine si l'on se réfère aux témoignages latins qui portent sur l'existence d'une assemblée annuelle des druides (sur le territoire des Carnutes, près de Chartres) et sur l'existence d'un Gutuater, sorte de chef des druides, qui aurait participé activement à la politique des Gaules. Le druidisme aurait ainsi pu servir de trait d'union entre les peuples celtes. Divinités et croyances [modifier]Articles

* Les druides qui pratiquent l’art de la divination par les astres et les nombres. Ils ont un rôle politique important car ils écrivent les lois, rendent des jugements avec un grand souci d’équité. Ils se réunissent chaque année dans la forêt de Carnutes, afin de régler les grandes affaires de justice et de religion. Des cérémonies du culte ont lieu dans des enclos sacrés, ainsi que des rites guerriers qui se manifestent par le don d’armes et de dépouillent des ennemis. B) La culture des gaulois

leur installation sur le territoire de la France vers 500 avant JC. Que se soit durant leur apogée ou leur installation durable, les Celtes ne conduit pas un peuple unis et fédéré, on recense quelque 60 tribus Celtes ( les Eduens, les Arvernes, les Carnutes ). Chaque tribus occupe un territoire bien définis appelé : le Pagus ( en Français : le pays ) et sur leur territoire chaque tribus adopte ces propres coutumes et se choisit un Chef. Les chefs des tribus celtes sont le Druide et le Roi qui veillent

« Vainqueurs » (Senones), « Valeureux » (Vellavi), « Durs » ou « Vaillants » (Caleti). « Rois du monde » (Bituriges), « Rois des combats » (Caturiges), « Conducteurs de chars » (Redones ou Riedones), « Sangliers » (Eburones), « Cornus » = « Casqués » (Carnutes), « Qui vainquent avecl'orme [de la lance] » (Lemovices), « Qui vainquent les sangliers » (Eburovices), « Qui vainquentles grands corbeaux » (Brannovices), « Peuplades » ou « Loups » ou « Faucons » (Volcae), « Quiécrasent les hommes » (Viromandui)

en croit Goscinny et Uderzo, largement influencés par Pline, les druides comme Panoramix pratiquaient une sorte de culte de la nature, récoltant des plantes et cueillant du gui à la serpe. Quand ils ne partaient pas en pèlerinage dans la forêt des Carnutes pour de grandes cérémonies. «La découverte de nombreux lieux de culte montre qu’il n’en était rien, corrige Gilbert Kaenel. Comme les autres peuples de l’époque, les Gaulois avaient des sanctuaires dans les villes ou les villages pour abriter leurs

était-elle momentanée ou accidentelle. Parmi les terres à blé renommées de l’époque, il faut citer la région de Toulouse, chez les Volques, chez les Cavares et la basse vallée du Rhône, la Bourgogne (surtout), ainsi que le pays des Bituriges et celui des Carnutes. Dans le nord et dans le nord-est, le Soissonnais et la Champagne étaient également assez riches. Les études archéobotaniques (notamment la carpologie ou la palynologie) montrent que les Gaulois se nourrissaient surtout de céréales (quatre sortes

proposition de César lui dut acceptée. III/ La deuxième conquête de la Gaule (52-51 av JC) La suite de la guerre se fit en trois temps : l'avant, le pendant et l'après Alésia. 1. Le déclenchement de l'insurrection Elle se déclencha chez les Carnutes (dans la forée sacrée d'Orléans). Ils massacrèrent tous les romains se trouvant sur le chemin. Le mouvement s'étendit à de nombreux peuples, surtout ceux du centre, de l'ouest et du sud-ouest. Vercongétorix se fit donner le pouvoir suprême au niveau

rejoignent les gaulois) sous le commandement de Vercingétorix, chef des Arvernes (Auvergne actuelle). Il parvient à faire comprendre aux gaulois que la seule solution pour battre les romains est de s’unir. Cette insurrection commence dans le pays des Carnutes (Orléans) où les gaulois se révoltent et massacrent tous les commerçants romains sur leur passage. Vercingétorix, en pratiquant la « tactique de la terre brûlée » qui consiste à mettre le feu aux villages et fermes dont la défense est impossible