Carré de soie

Puis il parla d'armes, et il m'offrit d'entrer chez lui pour me montrer des fusils de divers systèmes. Son salon était tendu de noir, de soie noire brodée d'or. De grandes fleurs jaunes couraient sur l'étoffe sombre, brillaient comme du feu. Il annonça: — C'été une drap japonaise. Mais, au milieu du plus large panneau, une chose étrange me tira l'œil. Sur un carré de velours rouge, un objet noir se détachait. Je m'approchai: c'était une main, une main d'homme. Non pas une main de squelette, blanche

d’honneur  à façonner le tissu avec une inspiration savante. Le costume traditionnel féminin  est constitué d’une robe en soie à manches larges constituées de tulle et agrémentées de perles, de paillettes et brodées de dentelles. Les femmes mettent ensuite une autre robe de soie et de fils d’or. En mettant ensuite autour de la taille une foutha « m’taqqla » qui porte des rayures en soie dorée. Par la suite elles enfilent le caftan, élément typique de la région avec quand même une origine turque. La coiffe

familles. [pic] Une jeune fille romaine. 3. Leurs jeux Les enfants romains jouent aux billes avec des noix et des noisettes et elles servent aussi de pions pour les jeux de société. Ils jouent également avec «le puzzle d’Archimède», c’est un carré composé des 14 morceaux différents avec lesquels on peut créer un éléphant, un sanglier, une oie, etc… [pic] Des billes pour les garçons Les filles jouent avec des poupées fabriquées en bois, en os, en ivoire ou en terre cuite. Elles mesurent

à autre, elle s'arrêtait pour la tirer, et alors délicatement, de ses doigts gantés, elle enlevait les herbes rudes avec les petits dards des chardons, pendant que Charles, les mains vides, attendait qu'elle eût fini. Le père Rouault, un chapeau de soie neuf sur la tête et les parements de son habit noir lui couvrant les mains jusqu'aux ongles, donnait le bras à madame Bovary mère. Quant à M. Bovary père, qui, méprisant au fond tout ce monde-là, était venu simplement avec une redingote à un rang de

il parla d'armes, et il m'offrit d'entrer chez lui pour me montrer des fusils de divers systèmes. Son salon était tendu de noir, de soie noire brodée d'or. De grandes fleurs jaunes couraient sur l'étoffe sombre, brillaient comme du feu. Il annonça : — C'été une drap japonaise. Mais, au milieu du plus large panneau, une chose étrange me tira l'œil. Sur un carré de velours rouge, un objet noir se détachait. Je m'approchai : c'était une main, une main d'homme. Non pas une main de squelette, blanche

prêtait ses toiles à ses amis malades pour les aider à se rétablir tout comme Sam Francis qui lui, assigne à la couleur des valeurs thérapeutiques particulières et explique : « J’ai fait une grande peinture, un grand espace de jaune et d’orange avec un carré blanc au milieu, le jaune et l’orange très brillants. Et je la lui ai portée et je l’ai mise dans sa chambre et je lui ai dit : je t’en prie, regarde ce tableau tous les jours et médite sur la couleur. Et son état s’est amélioré merveilleusement. »

figure avenante : il portait une jaquette et une culotte de riche damas', un chapeau orné d'une plume rouge, une chaîne d'or à son cou, et une grande croix de diamant. Les deux pistolets dont il ne se séparait pas étaient assurés par un baudrier de soie. [... ] Plus curieux encore est le costume de l'horrible Edward Teach, dit Black Beard (début du XVIIe siècle). Il portait une barbe sombre, qui lui montait jusqu'aux yeux et lui recouvrait même la poitrine. Et cette barbe était finement travaillée

Mais ces termes employés s'opposent parfois et créent des jeux de mots ou des antithèses drôles. (Citation/ Justification par la forme) En effet, on trouve : « Gabriel extirpa de sa manche une pochette de soie couleur mauve et s'en tamponna le tarin. » où le chic de la pochette en soie s'oppose au terme employé pour désigner le nez. On lit encore : « elle se pencha pour proférer cette pentasyllabe monophasée : -Skeutadittaleur... », l'opposition concerne ici l'expression employée pour caractériser

Puis il parla d'armes, et il m'offrit d'entrer chez lui pour me montrer des fusils de divers systèmes. Son salon était tendu de noir, de soie noire brodée d'or. De grandes fleurs jaunes couraient sur l'étoffe sombre, brillaient comme du feu. Il annonça: - C'été une drap japonaise. Mais, au milieu du plus large panneau, une chose étrange me tira l'œil. Sur un carré de velours rouge, un objet noir se détachait. Je m'approchai: c'était une main, une main d'homme. Non pas une main de squelette, blanche

numérotées … pourquoi ? P 14 17 19 21 23 26 28 30 32 33 36 43 45 47 50 P 55 56 58 64 67 71 P 75 77 80 84 L'auteur joue constamment avec le chiffre 7 que Yuko considère comme un chiffre magique ; il en dit « Il tient à la fois de l'équilibre du carré et du vertige du triangle ». Il n'y a pas une partie qui ne contienne pas de près ou de loin le chiffre sept dans sa numérotation. Si on en croit ce que l'histoire nous dit, diviser le récit ainsi apporterait de la magie, le mélange parfait entre l'équilibre