Case Mensonge

règle de droit s’inspire par une règle morale, elle ne sera devenue une règle de droit que lorsqu’elle aura était rendue obligatoire et sanctionnée par l’Etat. Dire la vérité= règle morale. Dans certain domaine, elle devient une règle de droit car le mensonge est interdit par l’Etat. Ex : Mentir a un procès. C’est allez a l’encontre d’une règle de droit qui impose au témoin de dire la vérité et qui sanctionne si il est avéré que le témoin a menti. Les règles de bienséance impose de laisser sa place aux

simple menteur, il est atteint de mythomanie, c’est-à-dire « une forme de déséquilibre psychique caractérisé par des propos mensongers auxquels l'auteur croit lui-même. » Comme l'a mentionné Ernest Dupré dans ses études sur la mythomanie, « l'enfance joue un rôle déterminant dans cette maladie. » Tous les enfants mentent. Mais cela sont, dans la plupart des cas, des mensonges sans gravité. Ce n'est qu'à l'âge adulte que tout ce complique. Au cours de l’enfance, on a tous menti ; on a tous inventé

une méconnaissance de soi, démarche qui va à contre-courant de la philosophie inaugurée par Socrate dont la devise était « connais-toi toi-même ». Mais le flatteur, en masquant ou en falsifiant une vérité, va donc mentir à son interlocuteur. Or le mensonge est l’exemple même de l’action immorale, selon Kant dans Sur un prétendu droit de mentir, car il y voit l’absence de sincérité, condition même du respect d’autrui. Or le respect est le seul sentiment à être moral car il n’est pas produit par la sensibilité

Le mensonge : médium de communication Le mensonge exprime une vérité qui ne peut être formulée autrement que par ce biais pour de multiples raisons. Pour l’enfant qui a fait une bêtise, la peur d’être puni peut déclencher le mensonge. Il exprime alors deux vérités, deux réalités : la première est un aveu indirect de sa faute, la deuxième est la peur des conséquences de celle-ci. Le parent lui va prendre le mensonge au premier degré comme une négation de la vérité et va donc justifier sa peur : la

absolus, des « objets » si l’on peut dire sur lesquelles nous nous appuyons pour affirmer ceci ou cela. Or, n’est-ce pas là se méprendre sur la signification profonde de l’opinion ? Ne peut-elle pas être, au contraire, une source de manipulation et de mensonge même si cela reste léger ? II. Mais si notre but est la vérité, il est de notre devoir de réfuter certaines opinions quand nous possédons la connaissance d‘un élément venant contredire l‘opinion de l‘autre. (non) A) Opinions personnelles

clairement qu’il n’apprécie pas le genre humain, pour des raisons qui lui sont propres : il dit ne pas apprécier le fait qu’il faut cacher ses pensées par le mensonge pour mieux réussir dans la société, ou dans ce cas, mentir pour avoir des chances à s’en sortir au tribunal. Il n’est pas de l’avis de la plupart des gens qui se cachent derrière le mensonge et il préfère dire la vérité de sa pensée tout en étant conscient que cela peut lui apporter des ennuis. Oronte a beau lui demander de dire que son poème

"Continuez (...) mon songe" "faites au moins" pof du "je" "ma pauvre âme" devient "elle", parler de soi avec mise à distance o Q2 : "m'est avis", dimension fictive. ici, rêve vs réalité. "le bien", "mon songe" "âme amoureuse" "bien" "mensonge". de plus, gradation "de songe à mensonge". o opposition entre le présent et le passé composé, passé composé, temps malheureux révolu, mais le présent est frappé d'une double impossibilité : présent = celui du rêve. o Amour n'est mentionné qu'indirectement, seul transparaît

-énonciation -verbes volonté -enjambement -responsabilité assumée = rythme accéléré C) Nécessaire. 1) Malédiction 2) Oenone punie de son mensonge 3) Nécessité propre à la mort : - passion destructrice : « feu, horreur » -poids du destin « ciel » -culpabilité II) Faute et châtiment. A) Ph. Disculpe H. 1) vérité rétablie :-culpabilité personnelle : « c’est moi qui » -parallélisme

comme le mensonge, la confiance, la religion et la mort. Mentir ou ne pas mentir … Ceci est vraiment la première question posée par cette œuvre. A la lecture du livre il semble évident que dire la vérité est la solution mais ce n’est pas toujours aussi simple. Les réactions d’Oscar, tout au long de l’histoire, sont claires à ce sujet. Il n’hésite pas à considérer ses parents comme « des lâches et des cons » parce qu’ils cachent cette terrible vérité. Il explique aussi que, depuis ce mensonge, plus

souhaitant le cacher à la grand-mère, continuent à faire vivre Otar dans des lettres écrites par leur soin. Un mensonge qui a prit une ampleur telle, que la grand-mère décide de partir pour connaître la vérité, qu'elle découvre grâce au voisin d'Otar. Eka décide alors, pour sa paix intérieure de dire à Marina et Ada qui l'accompagnent, qu'Otar est parti en Amérique, prolongeant ainsi le mensonge. Un scénario qui paraît un peu banal, mais qui ne l'est pas totalement. Ce film nous livre la réalité d'un