Casemate

entres elles avec des boyaux, mettre des files barbelées pour les premières lignes pour protéger les tranchées, construire des coins sous terre qui font office de chambre aux combattants, creuser des abris tout au long des tranchées qui servent de casemates, ils devaient entretenir leurs armes afin de retourner sur le champ de bataille le lendemain. Tout cela épuisaient les combattants et les épuisaient. De plus les combattants souffrent constamment de conditions physiques éprouvantes. Ils doivent

Julien Gracq A. Une citadelle personnalisée. 1. Une épave remise à flot. a. Les isotopies de l'archéologie. La citadelle semble être extraite du sol. Cette impression se révèle sur plusieurs plans: • Les termes s'y référant: les casemates (abris enterrés), les ruines sourcilleuses, les terrassiers (ouvriers qui creusent la terre) • les expressions s'y référant: "jaillir par degré de sa gangue (enveloppe entourant un minerai à l'état naturel)" = travail laborieux, minutieux. "ce

du soldat ; les cas de dysenteries et de maladies intestinales sont fréquents. La faim, la soif et le besoin de sommeil dominaient la vie quotidienne des hommes des tranchées. II) LE MANQUE PERMANENT DE SOMMEIL Les soldats dormaient dans des casemates, souvent protégés sous d’importantes masses de terre. Elles sont parfois décorées, mais l’atmosphère y est souvent humide et insalubre. Dans certains endroit plus calmes, les soldats peuvent prendre le temps d’organiser leurs tranchées.Dans ces abris

Passer en revue les unités militaires inactives $  – Passer en revue les chariots (chariots bâchés, chariots de forts, chariots d'avant-postes ou chariots d'usines) RECHERCHER T – Centre-ville CTRL+A – Fonderie d'artillerie CTRL+B – Caserne ou casemate CTRL+C – Église CTRL+D – Port CTRL+E – Maison ou manoir CTRL+F – Fort CTRL+I – Moulin CTRL+K – Banque CTRL+L – Plantation CTRL+M – Marché CTRL+O – Avant-poste CTRL+P – Comptoir CTRL+Q – Hôpital de campagne CTRL+R – Arsenal CTRL+S – Écurie

maisons à colombage, des maisons médiévales et à encorbellements. C’est sans doute l’un des quartiers les mieux conservés de la vieille ville. Les ponts couverts avec leurs tours carrées sont également à voir depuis la terrasse panoramique du pont casemate (barrage Vauban) où l’on pourra découvrir la Petite France et en arrière-plan la cathédrale. La cathédrale Notre Dame de Strasbourg : Édifiée de 1015 à 1439, la cathédrale doit une grande partie de son charme au grès rose des Vosges dont elle

camp de travail. Auschwitz I est complété par Birkenau ou Auschwitz II, puis Auschwitz III, près des bâtiments de l’IG Farben qui produit du caoutchouc et du méthanol. Les gazages commencent dès 1941. Les cadavres sont brûlés. A Birkenau, deux casemates abritent six chambres à gaz et quatre crématoires. Dès l’arrivée des trains, les SS procèdent à la sélection : les individus valides vers les usines, les autres vers les chambres à gaz. Sous prétexte d’hygiène, hommes, femmes, enfants, dénudés

caractéristiques de la zone. Sur sa place d’armes, on trouve un réservoir destiné à l’origine, à stocker l’eau de pluie recueillie des toitures, aujourd’hui disparues. Une poudrière encore en bon état de conservation longe la courtine Nord. Une casemate voûtée, à l’abri des tirs ennemis, est logée dans le bastion Sud-ouest. Sa voûte s’est effondrée et un canon en fonte repose sur le sol presqu’enfoui sous les décombres. L’accès au fort est placé à l’Est (coté opposé à la ville) et est contrôlé par

délire semble-t-il. Mais il est deux éléments qu'il faut garder en mémoire. Le premier est que le bombardement agit puissamment sur les nerfs, comme le montre bien le texte de Roland Dorgelès qui explique l'état d'esprit de soldats enfermés dans une casemate souterraine pilonnée par les obus adverses pendant un long moment. Cette ivresse est évoquée par « le terrible alcool » du vers dix-neuf. Le second fait est que les poètes de l'époque, et Apollinaire en tête, recherchent ces images qui font se correspondre

ça,les deux armées vont se stabiliser entre la mer du Nord et la frontière Suisse (GUERRE DE POSITION/TRANCHEE -> les troupes vont s'enterrer dans des tranchées,ses tranchées sont relier entres elles par des boyaux et les troupes vivent dans des casemates). Dans ces tranchées la mort peut survenir à tout moment sous forme d'arme de jet (grenades/torpilles) ou l'artillerie et puis de temps en temps des gaz asphyxiants. Mais néammoins ce système voue a l'échec toute tentative de perçée,mais l'opinion

préférerais être bien loin d’ici plutôt que de vivre dans un vacarme pareil. C’est un véritable enfer. L’air est sillonné d’obus, on en a pas peur pourtant : nous arrivons dans un petit village, où se fait le ravitaillement ; là, on trouve dans des casemates enfoncées dans la terre les gros canons de 155 ; il faudrait que tu les entendes cracher, ceux-là ; ils sont à cinq kilomètres des lignes, ils tirent à 115 sur l’artillerie boche. On sort du village à l’abri d’une petite crête, là commencent les