Casquette

conversation avec le fils d'Alphonse Fournaise. Finalement, à l'extrême droite on distingue la comédienne Jeanne Samary discutant avec le journaliste Paul Lhote et Lestringuez. Ces personnes sont tous des amis de Renoir. 4) Les personnages ont des casquettes, des chapeaux melons ou des chapeaux de paille recouverts de fleurs. Ils ont des vêtements d’été, certains hommes ont des t-shirt manche courte blanc et d’autres ont de belles vestes de couleurs sombres et les femmes ont des robes bleues. Une ambiance

symboliquement vers l’avenir. Derrière Staline, on peut apercevoir des grues, des usines, qui symbolisent l’industrie soviétique développé par Staline. Enfin sur la dernière partie, on peut y voir les ouvriers (facilement reconnaissable avec leurs casquettes traditionnelles convergeant vers la droite, dans la direction montré par Lénine et vers laquelle regarde Staline. Les bannières célèbrent le parti communiste et leur chef : « Vive le parti invincible de Lénine ! » « Vive le grand guide de la

conséquences du rire corporel? Bien souvent, le rire collectif est entraîné par le rire individuel comme le démontre G. Flaubert, dans son roman, avec un nouvel élève, victime d'une mauvaise plaisanterie par l'un de ses camarade qui fait tombé sa casquette par terre, ce qui implique un éclat de rire de l'ensemble de la classe. Ce point de vu est partagé par O. Mangin, qui pense que le rire est contagieux, c'est-à-dire qu'une personne qui rit amène le rire, et partagé par R. Thomas qui évoque dans son

Au-dessus dans une bannière rouge, la phrase qui fut le slogan de la Révolution d'Octobre: «Tout le pouvoir aux soviets» c'est-à-dire au peuple révolté. Un personnage: Lénine le «père» de la Révolution d'octobre 1917, le chef des Bolcheviks. Casquette à la main, il est imposant, il surplombe le peuple en arme. Il va de l'avant et indique la direction à suivre (et le sens de la lecture de l'affiche), celle de l'avenir et du drapeau, dont il fut le fondateur. Sur le drapeau rouge de l'URSS crée

comme s’il portait une perruque *la position du visage : celui de B est clairement visible / P baisse la tête sous sa casquette *la tenue vestimentaire : tenue débraillée de B : habits ouverts, ôtés ou repoussés en arrière, pantalon qui fait des plis / P habillé d’une redingote, càd d’une veste de costume, par temps de chaleur intense *les couvre-chef : chapeau pour B / casquette à visière pointue (prolongée en quelque sorte par le nez : image caricaturale) pour P àces différences physiques reflètent

femme sensuelle que Lheureux flatte pour mieux en tirer profit. Ensuite Flaubert amasse les détails justes dont l’accumulation même confine à la caricature. Les objets sont alors habités d’une vie étrange à la manière des symboles. Par exemple la casquette de Charles est plus qu’une coiffure, c’est l’image du mauvais goût, elle traduit à l’avance l’inadaptation de Charles bientôt victime de la cruauté de ses condisciples. Un réalisme poétique Nous sommes donc loin d’une représentation photographique

le corps disparaissait dans une redingote marron, baissait la tête sous une casquette à visière pointue.
Quand ils furent arrivés au milieu du boulevard, ils s’assirent à la même minute, sur le même banc.
Pour s’essuyer le front, ils retirèrent leurs coiffures, que chacun posa près de soi ; et le petit homme aperçut écrit dans le chapeau de son voisin : Bouvard ; pendant que celui-ci distinguait aisément dans la casquette du particulier en redingote le mot : Pécuchet. » […] (Flaubert, Bouvard et Pécuchet

L’officier allemand l’emmène dans la pièce da coté ou se trouve un piano il lui demande de jouer. Wladyslaw pose sa boite sur le piano et s’assoie sur la chaise a coté du piano. Il joint c’est main pour les réchauffer, l’allemand est debout il à poser sa casquette et a mis sa main sur le piano. Wladyslaw commence à jouer il entame la ballade n°1 de Frédérique CHOPIN, quant a l’officier il va s’assoir et l’écoute. Les mains de Wladyslaw reprennent vie. A la fin de la musique l’officier lui ouvre sa boite et

A gauche 1917, en haut, le soi-disant prophète du prolétariat montrant la voie radieuse… vers la faillite de l'Union soviétique représentée par son symbole. Evidemment, pour faire croire qu'il est un homme du peuple, il tient une casquette. Sur fond rouge, le slogant « Tout le pouvoir au soviet ». A noter qu'en 1917, Lénine utilise les soviets pour détruire le gouvernement et l'assemblée constituante, tout deux légitimes. Le canon et les soldats sous le slogan rappelle le coup d'état

conclusion, Nicolas S. a expliqué que pour que tout ça fonctionne longtemps, il fallait faire attention à ce qu’à l’école, on fasse en sorte que les élèves deviennent plus tard de gentils salariés. Alors, il ne fallait pas que les garçons portent des casquettes en classe, ni que les filles mettent des jeans taille basse (ni l'inverse d'ailleurs), et aussi que personne n’ait de portable. Il ne faut pas non plus que les élèves disent « tu » au maître, mais qu’ils se lèvent quand le maître arrive. Il faut