Cass Com 17 Juillet 2001

article 2.1.d. La loi de régulation bancaire et financière réintroduit la qualification de « commune » de la politique exercée vis-à-vis de la société, qui avait accidentellement disparu à la suite de la publication de la loi MURCEF du 11 décembre 2001 au Journal Officiel. Un article L. 233-10-1 est ajouté : Sont désormais considérées comme agissant de concert les personnes ayant conclu un accord avec l’auteur d’une Offre Publique visant à obtenir le contrôle de la société qui fait l’objet de l’offre

D. 1987. Somm. 303 n. M. VASSEUR ; Trib. com. Nantes (Ord. réf.), 1er juillet 1988, Rev. jurisp. com. 1990. 207 n. Ch. GOYET ; D. 1991 Somm. comm. n. M. VASSEUR; Paris, 20 nov. 1987, D. 1989. Somm. 325 n. M. VASSEUR; Revue Banque 1988, Supplément banque et droit n. 486 p. 63 ; Poitiers, 5 février 1992 n. 231 p. 13 ; J.C.P. 1993. I. 3652, Chronique de droit des sociétés par A. VIANDIER et J.-J. CAUSSAIN, n. 2 ; D.1993 Somm. comm. p. 60 n. M. VASSEUR ; Com. 24 mai 1994, Droit des sociétés 1994 n. 141

C’est le cas du mandat ( art. 2004 et 2007 du code civil), du contrat dépôt auquel le déposant peut mettre fin alors même qu’un terme a été prévu (art. 1944 du code civil), car le contrat est conçu dans l’intérêt du déposant. De même la loi du 6 juillet 1989 relative aux baux prévoit que le locataire peut résilier le contrat de location à tout moment, moyennant préavis donné trois mois à l’avance par lettre recommandée avec accusé de réception. En revanche le bailleur ne peut donner congé qu’à l’arrivée

statistiquement, le plus répandu. On aura donc compris que ce n’est que par exception, lorsque la loi l’autorise, que la société peut être instituée par l’acte de volonté d’une seule personne. Pendant de nombreuses années, seule L’EURL, créée par une loi du 11 juillet 1985, a correspondu à ce modèle. Actuellement, outre l’EURL, peuvent être instituées par une seule personne : la SEL (société d’exercice libéral), la SASU (société par actions simplifiée unipersonnelle) et l’EUSRL (entreprise unipersonnelle sportive

NOTION D’USAGE B : LE CONTENU DE L’USAGE 15 16 16 SECTION II : UN ACTE CONTRAIRE A L’INTERET ECONOMIQUE A : ESSAI DE DEFINITION DE L’INTERET ECONOMIQUE B : ESSAI DE DEFINITION DE L’ACTE CONTRAIRE A L’INTERET ECONOMIQUE DANS L’ABUS DE BIENS SOCIAUX 17 18 19 SECTION III : UN ACTE ACCOMPLI DANS UN INTERET PERSONNEL A : LA NOTION D’INTERET 1 : Intérêt matériel 2 : Intérêt moral B : LA NOTION D’INTERET PERSONNEL 1 : Intérêt des personnes physiques 2 : Intérêt des personnes morales 23 24 24 25 26 26

l’assemblée .......................................................................................................... 16 2. Feuille de présence .................................................................................................................. 17 3. Bureau de l’assemblée ............................................................................................................. 18 4. Constatation du quorum ....................................................................................

le caractère réel de ce contrat, ce qui avait pour conséquence que les parties n’étaient pas engagées au moment de l’accord des volontés mais seulement au moment de la remise de la chose prêtée (Cass, Civ 1, 20 juillet 1981). La cour de cassation, face au scepticisme des auteurs, a produit un arrêt (Cass, Civ 1, 28 mars 2000) dans lequel elle procède à un revirement : « le prêt consenti par un professionnel du crédit n’est pas un contrat réel. » Et, la première chambre civile de la cour de cassation

par laquelle le courtier est chargé par une personne de rechercher une autre personne pour les mettre en relation, en vue de la conclusion d’un contrat.[footnoteRef:17] Le courtier a pour mission essentielle de mettre en rapports des personnes qui désirent contracter. Il ne traite pas lui- même l’opération ni ne représente le client. [17: Article 405 de la loi 15.95 ] Le contrat de courtage est librement formé par les parties. L'écrit n'est donc pas obligatoire mais il reste fortement recommandé

commentaire sur l’arrêt du 17 novembre 1999     Civ, 1ère, 10 octobre 1995, D. 97, p. 157, note G. Pignarre Civ 1ère , 17 novembre 1999, D. 2000, Somm. 419, obs. Lemouland Civ. 1ère, 4 janvier 2005, D. 2005, p. 1393, note G. Loiseau Cass. 1ère civ., 3 oct. 2006, Bull. civ. I, n°426 Sur la classification des contrats. Lecture et discussion des arrêts suivants :      Civ. 1ère, 4 juin 2002, Bull. civ. I. n°152 Civ. 1ère, 12 juillet 2006, Inédit. Civ. 1ère, 4 juillet 2007, Bull. civ. I, n°125

un critère opportun. §2) les traits généraux de la réforme de 1967 : En 1967, le législateur va instituer 3 procédures au travers de deux séries de textes : • Le règlement judiciaire et la liquidation des biens sont régis par une loi du 13 juillet 1967 : pour la première fois, le critère de répartition va être un critère économique cad que le tribunal prononce le règlement judiciaire si le débiteur peut présenter un concordat sérieux (= un contrat avec ses créanciers prévoyant un paiement