Cassandre

italien) est citoyen de Venise ; vêtu d’une culotte longue, il incarne le vieillard avare, crédule, libertin ou méticuleux. Il joue tour à tour le rôle de père, époux, veuf, ou encore de vieux garçon. • le Docteur (Il Dottore) est, avec Pantalon et Cassandre, l’un des vieillards de la troupe. Il vient traditionnellement de Bologne. Il est souvent un ami de longue date de Pantalon. Ce personnage prétendu savant se ridiculise quand il parle de science. Il est une satire des savants pédants du XVII siècle

Les sonnets les plus connus sont "Mignionne allons voir si la rose..." pour Cassandre et "Quand vous serez bien vielle..." pour Hélène.Poète et aumônier du roi Charles IX , ce dernier lui offre le prieuré de Saint-Cosme en guise de reconnaissance en 1565 et ayant ainsi obtenu une stabilité financière Ronsard s'éloigne de la cour et

peut étudier soit des agencements narratifs (les luttes intestines déclinées dans le mythe des Atrides, comme les frères ennemis ; ou les récits de métamorphose), ou des figures topiques de l’imagination occidentale, soit des figures mythiques (Cassandre, Narcisse). Cette dernière notion doit cependant, si l’on veut essayer de ne pas se payer de mots, être précisée : la figure mythique est à la fois forme et personnage, à partir du latin figura, « cas exemplaire » et « forme » ; mais la figure mythique

andromaqueAndromaque est une femme optimiste et pacifiste. En effet, elle ne veut pas et ne pense pas que la guerre aura lieu : « La guerre de Troie n’aura pas lieu, Cassandre ! » (scène 1, acte I). De plus, nous voyons dans la scène d’exposition qu’elle ne contre-attaque pas par rapport à ce que lui dit Cassandre. Andromaque est donc douce et sensible comme nous le voyons dans la scène 3 de l’acte I avec Hector, son mari qu’elle aime et admire. Dans cette scène, elle parait un peu naïve, notamment

son premier receuil "Les Amours" en 1552. Ce receuil est un regroupement de sonnets qui n'a pas de précédent dans l'antiquité. Il écrit des centaines de sonnets qui sont consacrés à Laure. Le premier receuil d'amour est dédié à Cassandre, d'autres à Hélène ou Marie. Cassandre est la prophétesse ( voir feuille Mythes et Récits de création ). Ronsard imite donc Hésiode. Joachim du Bellay imite d'une autre façon Hésiode. Les muses qui étaient présentes dans les poèmes précédents ne le sont plus. L'inspiration

Poème à Cassandre, XCVI « Prends cette rose… » Prends cette rose Prends cette rose, aimable comme toi Qui sers de rose aux roses les plus belles, Qui sert de fleur aux fleurs les plus nouvelles, Dont la senteur me ravit tout de moi. Prends cette rose, et ensemble reçois Dedans ton sein mon cœur qui n’a point d’ailes, Il est constant, et cent plaies cruelles N’ont empêché qu’il ne gardât sa foi. La rose et moi différons d’une chose Un soleil voit naître et mourir la rose, Mille

b : rime embrassée Tout ce qu'il voit lui semble estre doublé, b : rime embrassée 10 Et sur ses yeux la nuit se vient espandre. a : rime embrassée 10 Celui qui boit de l'amour de Cassandre, a : rime embrassée 10 Qui par ses yeux au cœur est ecoulé, b : rime embrassée 10 Il perd raison, il devient afolé, b : rime embrassée 10 Cent fois le jour la Parque

« Ode à Cassandre » de Ronsard, « Mon rêve familier » de Verlaine, « A une passante » de Baudelaire, « La courbe de tes yeux » d’Eluard un commentaire composé succinct de « Il n’aurait fallu… » d’Aragon une évaluation globale sur la séquence des questions portant sur le corpus de textes qui fait partie des « Documents complémentaires ». DESCRIPTIF : OBJET D’ETUDE « LA POESIE » SEQUENCE Objet d’étude La poésie Problématiques Perspectives Lectures analytiques - « Ode à Cassandre » Ronsard

suivie par la rédaction personnelle de l’introduction et la conclusion, débouchant sur une mise en commun au début de la séance suivante. Sont présentés ici : - le descriptif de la séquence - quatre lectures analytiques de : « Ode à Cassandre » de Ronsard, « Mon rêve familier » de Verlaine, « A une passante » de Baudelaire, « La courbe de tes yeux » d’Eluard - un commentaire composé succinct de « Il n’aurait fallu… » d’Aragon - une évaluation globale sur la séquence - des

d’abandonner le siège et de se retirer à Ténédos, tout en laissant cependant le cheval à l’extérieur des murailles de la ville. En apercevant cette construction bizarre, les Troyens furent surpris et bon nombre d’entre eux soupçonnèrent quelque ruse. Cassandre, la fille de Priam, qui possédait des dons divinatoires, annonça tous les malheurs à venir, mais on ne la crut pas. Laocoon, le prêtre d’Apollon, comprit lui aussi la ruse, quand il lança son javelot sur le cheval et entendit un bruit sourd