Cassius

un certain nombre de considérations externes. 1) Le latin: langue de la promotion sociale Les individusqui aspiraient à la citoyenneté romaine de plein droit devaient adopter les habitudes, le genre de vie, la religion et la langue de Rome. Dion Cassius, un historien romain, écrit que, déjà à l'époque de l'empereur Claude (10-47), le latin était obligatoire pour accéder au rang de «citoyen». C'étaient là les conditions pour bénéficier de tous les avantages de la citoyenneté romaine, indispensable

que ce soit sur ou hors du terrain de jeu. Utilisant la puissance du football, nous pouvons aider à éradiquer le racisme dans notre sport et le reste de la société ainsi. " * Source ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Mohamed_Ali_%28boxe%29 ) Cassius Marcellus Clay Jr, devenu Mohamed Ali après sa conversion à l'islam, est un boxeur des États-Unis évoluant en catégorie poids lourd. Il fut nommé sportif du XXe siècle par une assemblée de journalistes internationaux. En 1966, il refuse de servir

frappés de damnatio memoriae. Pour Dario Mantovani, clauses sans précédent cité ne révèleraient qu’une différence de valeur de norme et non d’absence de précédent. Pour la clause III : précédent sous Auguste déjà (la clause II le confirme, et Dion Cassius en parle pour l’année 23, où Auguste reçut le pouvoir de « traiter avec le Sénat au sujet de n’importe quelle affaire »). Clause IV : remonte déjà à la Rome républicaine, où personnage influent pouvait faire savoir son vote (manifeste les relations

m'aimes donc ? TROISIÈME PATRICIEN, pénétré. Ah ! César, il n'est rien que, pour toi, je ne donnerais sur l'heure. CALIGULA, l'embrassant encore. Ah ! ceci est trop, Cassius, et je n'ai pas mérité [207] tant d'amour. (Cassius fait un geste de protestation.) Non, non, te dis-je. J'en suis indigne. (Il appelle deux gardes.) Emmenez-le. (À Cassius, doucement.) Va, ami. Et souviens-toi que Caligula t'a donné son cœur. TROISIÈME PATRICIEN, vaguement inquiet. Mais où m'emmènent-ils ? Albert Camus, CALIGULA

 118-138, pp. 225-260. Article consultable à l’adresse suivante : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k69253h.image.langFR b. la constitution de Caracalla ou antonine (212) Le texte nous est connu par 3 sources différentes : le témoignage de DION CASSIUS, contemporain de Caracalla, un célèbre fragment de papyrus (GIESSEN 40) et par une notation du juriste ULPIEN d’époque sévérienne conservée dans le Digeste. Révolution sévérienne mais attention ce texte n’est qu’une manifestation spectaculaire d’une

l'amour pour cette jeune femme. On dit qu'il a été émerveillé par son esprit inventif, sa douceur et les charmes de sa conversation. Il devint son amant. Voyant cette complicité naître entre ces deux êtres, Ptolémée XIII fou de rage arrache selon Dion Cassius son diadème. César calme la situation et scelle la réconciliation entre les souverains. Il passe plusieurs mois au côté de la reine soit disant par amour pour elle. Ils remontent ensemble le Nil et voulant imiter Alexandre le Grand, en homme de science

l'imperium, puis il se retourne contre lui. Il se fait nommer consul en août 43 avec l'appui de ses soldats. Pour venger la mort de César, il s'allie avec Antoine et Lépide et forme avec eux un triumvirat à Bologne. Leurs armées éliminent Brutus et Cassius en Grèce en octobre 42 à la bataille de Philippines. Mais Lépide est écarté, et Antoine et Auguste se retrouvent face à face. Auguste devient le maître de l'Occident (alors qu'Antoine dirige l'Orient). Il élimine tous ceux qui pourraient s'opposer

la diversité locale. En février 212, l’empereur Caracalla• (doc. 5 p. 69), fils d’un Africain et d’une Syrienne, décide de faire citoyens romains tous les hommes libres de l’Empire romain, à l’exclusion d’une catégorie, les déditices. Pour Dion Cassius (v. 155-229), Caracalla poursuit un but fiscal En effet, la mesure permet d’augmenter les revenus impériaux, l’attribution de la citoyenneté allant de paire avec le paiement de certaines taxes sur l’héritage. Il est vraisemblable que des raisons

ZIDAT Gena 1°5 Parcours de lecture « Sur les aventures que je n’ai pas eues », Lucien de Samosate1 / Lire avant le roman la page sur la vie de Lucien et se renseigner de façon plus complète. Lucien de Samosate, né en Syrie, vers 120 apr. J.-C, était un sophiste et ironique philosophe et comme le spécialiste de la rhétorique. Destiné à devenir sculpteur comme son oncle, il a été envoyé dans l'atelier de ce dernier pour faire son apprentissage, il fut vite dégoûté, il commit des maladresses et

il est le chef suprême de l'armée. Il reçoit l'inviolabilité tribunicienne, le titre d'imperator en permanence. Soupçonné d'aspirer à la royauté, il est assassiné le 15 mars 44 av. J.-C. (ides de mars) par un groupe de sénateurs, dirigés par Caius Cassius et Marcus Junius Brutus. Les grands hommes de la république romaine Les Gracques Tiberius Sempronius Gracchus et son frère Caius Sempronius Gracchus surnommés les Gracques sont deux hommes d'État romains. Issus de la nobilitas plébéienne