Cathédrale Notre-Dame de Reims

L’escalier paraît interminable. Brigitte suit avec mon sac, un joli sac que l’équipe qui travaille avec moi à l’Élysée m’a offert pour les voyages officiels à l’occasion de mon anniversaire. Mais nous sommes loin de l’apparat des réceptions. La première dame ressemble à une poupée de chiffon disloquée, incapable de se tenir debout, ni de marcher droit. Brigitte m’accompagne en voiture. Je reste silencieuse tout au long du chemin. Impossible de parler. Je suis prise en charge dès mon arrivée et installée

réconciliation nationale Document 8-a : Le concordat, signé entre la France et le pape Pie VII, le 26 messidor an IX (15 juillet 1801). Document 8-b : Napoléon Bonaparte encourage le retour des émigrés D’après la marquise de la Tour du Pin, ancienne dame du palais de Marie-Antoinette, Mémoires d’une femme de cinquante ans, 1820. Réponses : Document 8-a : 1- A partir de la signature du « Concordat », Napoléon reconnaît que la religion catholique est la religion de « la grande majorité des Français

à coups de poing, et on trinque après ! Mais Chouteau avait tourné la tête vers Pache, qu'il entreprenait à son tour. − C'est comme toi qui crois au bon Dieu... Il a défendu de se battre, ton bon Dieu. Alors, espèce de serin, pourquoi es−tu ici ? − Dame ! Répondit Pache interloqué, je n'y suis pas pour mon plaisir... Seulement, les gendarmes... − Les gendarmes ! Ah, ouiche ! On s'en fout, des gendarmes !... Vous ne savez pas, vous tous, ce que nous ferions, si nous étions de bons bougres ? ... Tout

de Napoléon Bonaparte mais la moitié du corps électoral ne s’est pas déplacé ! consécration religieuse : comme l’Empereur Charlemagne, Napoléon Bonaparte voudra être sacré par le Pape lui-même. Il fait donc venir Pie VII le 7 décembre 1804 à Notre Dame. Il reçoit l’onction sainte du souverain pontife mais, il se couronne lui-même pour marquer le fait qu’il ne le devait qu’à lui-même ! ! ! Charlemagne s’était tout de même déplacé à Rome ! Mais tout cela va se terminer en 1814 lorsque Napoléon Bonaparte

livre même. 37 Je me suis vu bientôt maître de feuilleter un gros in-folio relié en maroquin rouge, et réunissant plusieurs dossiers de rapports de police de l’année 1709. Le second du volume portait ces noms : "Le Pileur, François Bouchard, dame de Boulanvilliers, Jeanne Massé, - Comte du Bucquoy." Nous tenons le loup par les oreilles, - car il s’agit bien là d’une évasion de la Bastille, et voici ce qu’écrit M. d’Argenson dans un rapport à M. de Pontchartrain : "Je continue à faire chercher

monastères jetés à bas ou incendiés, champs réduits en solitudes... Partout le puissant opprime le faible et les hommes sont pareils aux poissons de la mer qui pêle-mêle se dévorent entre eux. » Ainsi parlaient, en 909, les évêques de la province de Reims, assemblés à Trosly. La littérature des IXe et Xe siècles, les chartes, les délibérations des conciles sont pleines de ces lamentations. Faisons, tant qu’on voudra, la part de l’emphase, comme du pessimisme naturel aux orateurs sacrés. Dans ce thème

1840, la rencontre de Lamennais et Pierre Leroux, la jette dans l’action politique. Lors de la révolution de 1848 elle est aux côtés de Ledru-Rollin. Elle se retire de la politique après les journées de juin et retourne à Nohant où, devenue la « bonne dame de Nohant », elle reçoit une brillante société tout en continuant d’écrire. Son œuvre romanesque (plus de 70 romans) ne doit pas masquer la diversité de ses écrits : contes et nouvelles, pièces de théâtre, articles critiques et politiques, textes autobiographiques

tarder. − Ma dame, pour l'amour de Dieu ! Je vous ai appelée, vous êtes venue. Ecoutez ma prière. Vous savez comme je vous chéris ! " Tristan, aux paroles d'Yseut, a compris qu'elle a deviné la présence du roi. Il rend grâces à Dieu. Il est sûr qu'ils sortiront de ce mauvais pas. "Ah ! Yseut, fille de roi, noble et courtoise reine, c'est en toute bonne foi que je vous ai mandée à plusieurs reprises, après que l'on m'eut interdit votre chambre, et depuis je n'ai pu vous parler. Ma dame, j'implore votre

1840, la rencontre de Lamennais et Pierre Leroux, la jette dans l’action politique. Lors de la révolution de 1848 elle est aux côtés de Ledru-Rollin. Elle se retire de la politique après les journées de juin et retourne à Nohant où, devenue la « bonne dame de Nohant », elle reçoit une brillante société tout en continuant d’écrire. Son œuvre romanesque (plus de 70 romans) ne doit pas masquer la diversité de ses écrits : contes et nouvelles, pièces de théâtre, articles critiques et politiques, textes autobiographiques

avoir dit qu'il rentrait se coucher, il rebroussait chemin à peine la rue tournée et se rendait dans tel salon que jamais l'oeil d'aucun agent ou associé d'agent ne contempla, cela eût paru aussi extraordinaire à ma tante qu'aurait pu l'être pour une dame plus lettrée la pensée d'être personnellement liée avec Aristée dont elle aurait compris qu'il allait, après avoir causé avec elle, plonger au sein des royaumes de Thétis, dans un empire soustrait aux yeux des mortels, et où Virgile nous le montre