Caton l'Ancien

décrire la géographie subjective du monde de Dante. L’arrivée sur l’île du Purgatoire est marquée par une rencontre, avec le gardien de l’entrée, Caton d’Utique, qui fait figure d’incarnation de ce nouveau monde et de ses valeurs. Le dialogue entretenu avec lui entame ainsi le processus de passage qui sera clos par le rituel de purification final. Caton permet à la fois d’établir un constat sur les aventures passées de Dante et ce qu’il l’attend. Il personnifie en quelque sorte la porte du Purgatoire

Brutus Camille Catilina Caton l’Ancien (ou le Censeur) Caton le Jeune César Cicéron Cinna Clodius Cornélia Crassus Énée Eunous Glaucia Gracques Hannibal Jugurtha Julia Lépide (M. Aemilius Lepidus) Livius Drusus Marius Mars Massinissa Milon Mithridate Numa Octave Persée Pompée Rhéa Silvia Romulus Saturninus Scipion Émilien Scipion l’Africain Sertorius Spartacus Sulpicius Rufus Sylla Térence Verrès Auteurs Appien Aulu-Gelle Caton Cicéron Denys d’Halicarnasse

gouvernants à Rome. Il est élu contre Catilina (108-62 av. J.-C.). Bientôt Cicéron dénonce la conjuration de Catilina contre la République. Catilina, voyant sa conspiration éventée, décide de fuir. Cicéron fait mettre à mort ses complices, soutenu par Caton (95-46 av. J.-C.). Jules César (100-44 av. J.-C.) quant à lui, avait demandé la vie pour les conjurés. Catilina meurt peu après dans une bataille. Cicéron publia alors les Catilinaires, un recueil des discours qu’il avait prononcé contre Catilina.

homme politique romain, 115-53 av JC, consul en 70 avec Pompée et César. Fabia : vestale corrompue par Catilina. Caton d’Utique ou Caton le Jeune : arrière petit-fils de Caton l’Ancien, homme politique né en 95 et mort en 46, appuie les mesures de rigueur prises par Cicéron contre Catilina. Tiron Référence à Caton (Marcus Porcius) dit l’Ancien ou le Censeur, 234 à 149 av JC, homme politique, auteur d’un traité sur l’agriculture. Référence à Sylla ou Sulla (Lucius

guerre punique : 148-146 av. J.-C. [modifier] Cinquante ans après sa douloureuse défaite dans la deuxième guerre punique, Carthage est de nouveau prospère. Réduite à son seul territoire tunisien, elle impressionne Caton l'Ancien, un sénateur romain envoyé en ambassade. Revenu à Rome, Caton conclut tous ses discours par la formule : « Il faut détruire Carthage ». Pour pouvoir y parvenir, Rome pousse Massinissa, le roi de Numidie, à attaquer Carthage. Pour se défendre, Carthage ne demande pas l'avis

- En -47 manque de se faire assassiné pdt la guerre d’alexandrie ; il a été chargé par César de ramener à l’ordre des soldtas révoltés en Campagnie - En -46, il épouse l’ex-femme divorcée de Cicéron Terentia et est nommé par César gouverneur de l’ancien royaume de Juba. - En -45 il rentre à Rome - En -44 césar, son protecteur se fait assassiner ; Salluste renonce à la vie politique et riche de sa fortune acquise en Afrique, il se fait édifier une luxueuse résidence entourée de jardins demeurés

est accusé par son concurrent malheureux Sulpicius d’avoir acheté les électeurs, et l’accusation est soutenue par Caton. Pour Cicéron, il est hors de question dans un tel contexte d’annuler l’élection et d’en organiser de nouvelles. Il assure donc la défense de Murena (pro Murena) et le fait relaxer, malgré une probable culpabilité, en ironisant sur la rigueur stoïcienne qui mène Caton sur des positions disproportionnées et malvenues : Car si Toutes les fautes sont égales, tout délit est un crime

par son concurrent malheureux Servius Sulpicius Rufus d’avoir acheté les électeurs, accusation soutenue par Caton d'Utique. Pour Cicéron, il est hors de question dans un tel contexte d’annuler l’élection et d’en organiser de nouvelles. Il assure donc la défense de Murena (pro Murena) et le fait relaxer, malgré une probable culpabilité, en ironisant sur la rigueur stoïcienne qui mène Caton sur des positions disproportionnées et malvenues : si « toutes les fautes sont égales, tout délit est un crime

semble-t-il de type patriarcal. La forte augmentation du nombre des esclaves prisonniers de guerre (leur nombre passe à 15 ou 20 % au IIe siècle av. J.-C.) et leur intégration dans les latifundia, transforment ceux-ci en hommes-machines comme le décrit Caton l'Ancien. Toutes les campagnes militaires se traduisent par l'importation d'une grande quantité d'esclaves, parfois toute la population vaincue comme lors de la destruction de Carthage en 146 av. J.-C. L'esclave romain est ambivalent : il est à la fois

hommes-machines comme le décrit Caton l'Ancien. L'esclave romain est ambivalent: il est à la fois homme et marchandise. Sa valeur monétaire incite le maître à en prendre soin afin que son investissement soit rentable. De même, il a des devoirs envers lui: le nourrir, le vêtir et le loger. Les privations sont le châtiment le plus courant, mais les coups, les mutilations, ou même, à certaines époques, la mort, peuvent être pratiqués en toute impunité. Caton l'Ancien, que ses contemporains considéraient