Catulle Mendès

bases et le Quartier général de l'OTAN (malgré l'opposition des communistes)(1949). II- La politique sous la IVème République a- Les tentatives (échec et réussite) de réforme : -La quête d'une refondation du modèle républicain. -L'expérience Mendès France : une tentative avortée de modernisation (Fin de la guerre d'Indochine, retour au Conseil de la République la fonction législative qu'avait le Sénat sous la 3ème République, autres réformes mais début de la guerre d'Algérie qui sert d'arguments

émeutes à Léopoldville permettent de gagner l'indépendance au Congo en 1960.   3.2: L'émancipation du Maghreb: * La violence domine encore ici avec des actes terroristes. Il y a un protectorat qui s'installe. 1954: Pierre Mendès France va reconnaître l'indépendance de la Tunisie. 1956: guerre d'Algérie. L'indépendance est accordée au Maroc et à la Tunisie pour pouvoir mieux se défendre contre l'Algérie. * Le morceau le plus difficile est l'Algérie avec des émeutes

de la CECA. 1954 7 mai : bataille de Diên Biên Phu. 19 juin : Mendès France, président du Conseil. 21 juillet : signature des accords de Genève. 1 er novembre : insurrection du FLNen Algérie. 1955 6 février : chute du gouvernement Pierre Mendès France. 1956 3 mars : indépendance du Maroc. 20 mars : indépendance de la Tunisie. 1957 25 mars : naissance de la CEE. 1958 1 er juin : de Gaulle, président du Conseil. Pierre Mendès France prononce un discours contre l’investiture du général De Gaulle

étrangère à cette guerre lointaine. Progrès militaires du Vietminh qui s’appuie sur une stratégie de guérilla. Diên Biên Phu  1954 : victoire du Gal Giap qui mène à la capitulation française. Les négociations engagées par le gouvernement de Pierre Mendès France aboutissent aux accords Genève 21 juillet 54 ; la France reconnaît l’indépendance du Laos, du Cambodge et du Vietnam divisé en 2 au 17ième parallèle. Guerre d’Algérie Insurrection du FLN 1er novembre 1954. Réaction autoritaire du gouvernement

campagne terroriste menée par le parti de Bourguiba s'organise contre les nationalistes. Face à la violence, de nombreuses arrestations sont organisées, notamment celles de Bourguiba et de Mohammed V. On assiste à un embrasement de la situation. Pierre Mendes France décide de négocier et de libérer les prisonniers. Le 3 mars 1956 le Maroc devient indépendant. Le 15 juin 1956 la Tunisie devient indépendante et Habib Bourguiba devient président.

quoi ces documents rendent compte de deux moments importants de la guerre d’Algérie et de l’évolution des positions du gouvernement français. Présentez leur apport et leurs limites pour comprendre le déroulement de ce conflit. Document 1 : M. Pierre Mendès France, Président du Conseil, ministre des Affaires étrangères, le 12 novembre 1954 devant l’Assemblée nationale. « [...] Il y a quelques semaines à peine, je m’étais fait votre interprète, l’interprète de l’émotion ressentie par tous les Français

l’indépendance est effective et Mohammed Ben Youssef prend le titre de Mohammed V, Roi du Maroc. La Tunisie connait un sort similaire. En effet, le parti de Néo Destour présidé par Bourguiba souhaite la séparation avec la métropole française. Pierre Mendès France, alors Président du Conseil, veut faire de la Tunisie un exemple de décolonisation à l’amiable. Ainsi, il reconnait l’autonomie de la Tunisie lors du discours de Carthage en juillet 1954, et ouvre ainsi les négociations. L’indépendance devient

un article publié dans Après-demain écrit par Pierre Mendès France en 1967, un article du Monde publié en 2006 par le journaliste Michel Alberganti, un extrait de Rassurer et protéger le sentiment de sécurité dans l’occident d’autre fois, de l’historien Jean Delumeau et enfin, un extrait d’un ouvrage de trois sociologues, Agir dans un monde incertain, essai sur la démocratie technique publié en 2001. Pour commencer, comme le dit Pierre Mendès France, depuis les avancées techniques nous avons élargi

croissante des cas. Englober dans le même terme les pays d'Afrique noire et « les quatre dragons » ne peut mener bien loin3. » Alfred Sauvy collabore activement à L'Express de Jean-Jacques Servan-Schreiber, et conseille le gouvernement de Pierre Mendès France (1954). Professeur au Collège de France[modifier | modifier le code] Alfred Sauvy, par Erling Mandelmann, (1983) Alfred Sauvy est nommé au Collège de France en 1962. Soucieux d'informer le grand public, il envisage un bulletin synthétique

ses preuves » et grâce auquel « dix-sept présidents du Conseil, constituant vingt-quatre ministères, campèrent tour à tour à Matignon […] laissant dans leur intervalle des vacances dont la durée atteignait jusqu’à plusieurs semaines » 2. Pierre Mendès France, dans 1. Le Livre de poche, 1970, p. 12 et 13. 2. Voir en annexe les précisions sur la comptabilisation des ministères et de la durée des crises. P O U V O I R S – 7 6 , 1 9 9 6 45 BAT—POUVOIRS Nº 76 16/06/08 J E