Causes Famines

de la Paix. y Est-elle concernée par des questions liées a l’ingérence humaine ? Est-elle concernée par des questions liées a l’ingérence humaine ? L’ingérence humanitaire est apparue pendant la guerre du Biagra. Ce conflit a entrainé une famine, qui a été couverte par les médias du monde, mais totalement ignorée par les Etats. C’est de cette situation que l’association humanitaire Médecins Sans Frontières a vue le jour. Oui, MSF est donc concernée par des questions liées à l’ingérence

millions de personnes. La plupart des travailleurs chinois du chemin de fer venaient de Guangdong et de Fujian, deux provinces côtières dans le sud de la Chine. Ils parlaient le cantonnais et la plupart d’entre eux étaient des paysans. La pauvreté et la famine régnaient dans tout le pays. La population croissante n’arrivait pas à se nourrir en raison d’une manque de terres cultivables; il y avait aussi d’importantes pertes agricoles causées par les inondations et autres catastrophes naturelles. Les villages

préoccupant pour les paysans du XVIIIè siècle puisque, parfois, des « disette(s) leur enlève(nt) tout le fruit de leur travail » (l.35). Une disette étant une situation de pénurie, une sorte de famine bien moins violente; la population de ce village vie en permanence dans une espèce d’insécurité même si les grandes famines ne sont plus d’actualités. Le manoeuvre par exemple « pour qui chaque jour de pluie est un jour de disette » (l.17) se retrouve obligé de manger un « morceau de pain noir » (l.18) qui est

difficultés pour nourrir leur population A/ Ils ne disposent pas des mêmes disponibilités alimentaires Des conditions naturelles. Terres arables, fronts pionniers.( Expliquer Brésil) Pauvreté et zones de conflits : sous-alimentation, pénuries, famines (rares) Depuis 2008, hausse des prix alimentaires, mauvaises récoltes, spéculation (émeutes de la faim) B/ Selon les Etats, l’alimentation des populations diffèrent  Des pays où la population augmente et s’urbanise. (Chine) Niveau de vie augmente

la population est sous alimentée (31,6 % en 2003). La zone actuellement la plus touchée est le sud de l'Afrique (Niger, Ethiopie, Somalie, Kenya, Congo, Angola, Tanzanie, ozamùbique, Madagascar...). L'Afrique, pour contrer ces situations de famine est obligée de faire appel à l'aide alimentaire mondiale. À titre d'exemple, en 2008, l'Afrique a bénéficié de 68 % de l'aide apportée par le Programme Alimentaire Mondial. La fréquence de ces aides alimentaires risque de montrer un affaiblissement

deviennent les centres de la vie communautaire paysanne. Mais, c’est une agriculture vivrière : on ne peut vendre d’éventuels surplus, c’est une activité qui demande beaucoup de main d’œuvre, ce qui explique les rendements faibles, les risques de famine et de disette sont grands. I - 2 - Les épidémies, fléau du Moyen-Age En 1348, la peste Noire apparait en Europe, apportée par des marchands gênois. Les fléaux (peste en grec signifie fléau) sont récurrents à l’époque : la peste avait été oubliée

seconde baisse ensuite entre 1970 et 1980 à environ 21 ‰, elle reste constante jusqu'en 1990, continue par une petite baisse jusqu'en 2000 où elle fini par resté constante à ~ 14 ‰. La mortalité augmente entre 1950 et 1960 en particulier à cause des famines, puis décroît très fortement, passant d'environ 45 ‰ à 15 ‰ entre 1960 et 1970. Elle continue a diminuer pour atteindre son niveau le plus bas (environ 7 ‰) vers 2000 puis ré-augmente légèrement. La décennie qui a connu la croissance démographique

Plan: I. Une situation alimentaire alarmante 1) Une insécurité alimentaire récurrente 2) Des famines en constante évolution II. Les raisons de cette situation 1) Un continent en crise dominé par l'agriculture 2) Une mise en valeur agricole inégale III. Des solutions durables pour l'avenir 1) Un investissement agricole en hausse 2) Une protection rapprochée pour l'environnement Introduction: Au sud du désert du Sahara se trouve la région la plus sous-alimentée du monde avec plus de 265

surpeuplés, ont vu l'arrivée massive de réfugiés somaliens. L'enjeu des prochaines semaines, ce sont ces déplacements de populations. La semaine dernière, Mogadiscio, et les personnes qui s'y sont réfugiées, ont été placées elles-mêmes en état de famine. Le risque, pour Luca Alinovi, responsable de la Somalie à la FAO, l'organisme des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture, c'est que ces déplacés quittent leur pays : « Il y a un risque que la situation devienne pire si on n’arrive

(cena) vers 17 -18h. Mais évidemment les variations sont nombreuses, en fonction de l'âge (petit-déjeuner pour les enfants), de la santé, du travail, de la saison... Les paysans souffrent souvent de disette (manque de nourriture) et parfois de famine (pas de nourriture). En effet, il suffit que les récoltes soient assez mauvaises pour qu'ils ne soient plus capables de faire face à leurs redevances, les fameuses taxes que doivent les paysans aux seigneurs. Pour Ernaud et sa famille, « se bien