Cavalerie

George Washington et lui sauve la vie le 11 septembre 1777; il est nommé général de cavalerie américaine le 15 suivant. Le Congrès l'autorise à organiser le recrutement d'unités de cavalerie et d'infanterie légère sous le nom de légion de Pulaski (350 hommes de Baltimore). L'argent du Congrès venant à manquer, il finance l'équipement sur ses deniers personnels1 Il meurt lors du siège de Savannah en commandant les cavaleries françaises et américaines. Il existe une controverse sur le lieu de son inhumation

pour lui la meilleure. A ce moment du conflit, César peut toujours compter sur un instrument militaire intact. En effet, il dispose de l’armée la plus performante de l’époque avec une douzaine de légions auxquelles il faut ajouter la redoutable cavalerie germanique assez nombreuse pour mettre en pièce celle de Vercingétorix. Jamais dans l’histoire romaine, de telles forces ont été réunies pour mener un conflit. César, à la tête de ses troupes, se retire donc en bon ordre, en passant par le plateau

lire dans plusieurs écrits que la cavalerie normande était une des plus importantes de l'histoire du Moyen-âge. Toutefois, il était impossible pour une armée de pouvoir compter uniquement sur sa cavalerie pour défaire une armée aussi importante que celle des Anglais. En fait, des deux côtés, on comptait semblablement le même nombre de militaires. Là où on voyait une différence, c'est au niveau du type de militaire. Les Anglais ne comptaient pas sur une cavalerie aussi importante que celle des Normands

fantassins 250000 hommes en tout selon les sources de jules césar, donc plus probable 60000 à 100000. 8000 cavaliers Entre 20000 et 40000 défenseurs Pour les romains : 10 à 12 légions (70000 à 72000 fantassins) Troupes auxiliaires : 50000 alliés Cavalerie germaine : 10000 redoutables Pertes : Coté gaulois : 150000 morts ? et 50000 déportés environ, ainsi que la population civile Coté romain : entre 8000 et 13000 morts ? Stratégie : A la fin de l'année 53 AJC, César, auteur de six campagnes

partisans pour constamment attaquer le trajet français là où il était le plus vulnérable. La cavalerie légère russe, dont les Cosaques montés, attaque et détruit les unités françaises isolées. Approvisionner l'armée devient impossible : le manque total d'herbe comestible affaiblit les chevaux restants de l'armée, presque tous meurent ou sont tués pour nourrir les soldats affamés. Sans chevaux, la cavalerie française cesse d'exister, et les cavaliers doivent marcher. De plus, le manque de chevaux fait

géographique………………………………………….p 4 La structure……………………………………………………...p 4 Le statut de l’entreprise………………………………………….p 4 Les installations………………………………………………….p 5 La cavalerie……………………………………………………...p 5 Les activités……………………………………………………...p 5 La compétition…………………………………………………...p 5 La clientèle ………………………………………………………p 6 Les points forts…………………………………………………

char : - un char saint Chamond (dernier exemplaire existant) un char Renault FT-17 un char Schneider CA1 (dernier exemplaire existant) Sur Saumur il existe aussi le Musée de la cavalerie : Le musée de la cavalerie est situé Place Charles de Foucault a Saumur, ce musée présente l'histoire de la cavalerie développée de 1445 à nos jours. Il s'y trouve des expositions d'uniformes et armes authentiques. La place de Notre-Dale de Natilly : Place de Nantilly 49400, Saumur une plaque

grand pour contenir sa gigantesque armée, et il fait même enlever toutes les pierres par ses esclaves pour ne pas gêner la cavalerie et surtout ses 200 chars à faux. Par contre, du côté Macédonien, il met des petites étoiles métalliques, pointues à l’extrémité, pour blesser les chevaux de l’armée grecque. Alexandre commande l'aile droite macédonienne et a pris la tête de la cavalerie Macédonienne, les célèbres Compagnons, tous issus de rang royaux, et monte son très célèbre destrier Bucéphale (tête de

Vercingétorix, voulut faire connaître à l’opinion romaine, avant sa candidature à un second consulat, les épisodes de sa belle conquête. Les adversaires de César répandaient alors mille bruits sur son compte, tantôt racontant qu’il avait perdu sa cavalerie, tantôt disant qu’il avait fait massacrer une légion et avait dû céder devant les Bellovaques. La rédaction de La Guerre des Gaules fut donc avant tout, un acte — celui d’un chef vainqueur, qui rétablit les faits à son profit et coupe court aux intrigues

attaque » l.19, et les spartiates furent vaincus part la cavalerie thessalienne. « Elle tua beaucoup de Lacédémoniens » l.25. En effet, Hippias avait pris soin de se constituer un réseau d’alliance afin d’obtenir du secours en cas conflits avec les exilés athéniens. « Avait demandé du secours aux Thessaliens » l.19. Il reçut mille cavaliers alliés « leur expédièrent une armée de cavaliers » l.21. Les thessaliens étaient réputés pour leur cavalerie qui servi notamment dans l’armée d’Alexandre au IV siècle