Cavour

accordé par Charles Albert à ses sujets piémontais et étendu en 1861 à l’ensemble du royaume. Beaucoup aurait souhaité alors que ce soit réunie une assemblée constituante et défini par de nouveaux textes de statut fondamental de l’Italie unifié. Mais Cavour, celui qui a fait figure de principal espoir d’une Italie unifiée et libérale s’était opposé à cette procédure susceptible de remettre en question les bases mêmes de la monarchie constitutionnelle. On avait donc opté pour le maintient du «  statut »

les aspirations de l'unité nationale sont confiées pas plus à Mazzini ou au néo-guelfisme, mais au Piémont libéral de Cavour. L'idée à la base du projet politique de cet important personnage est celle de créer une Italie unie qui aie comme modèle politique la monarchie constitutionnelle avec à la tête le roi Vittorio Emanuele II et avec un Parlement qui limites son pouvoir. Cavour est vivement en outre convaincu de l'importance d'insérer le problème italien dans un cadre international européen, il

Napoléon ont favorisé la prise de conscience du sentiment national. En 1815, tout comme l’Allemagne, l’Italie est morcelée et aspire à l’unité. Ici, se sera Cavour, premier ministre du roi de Piémont-Sardaigne, qui réalisera cette unité. Par contre, en ce qui concerne les institutions politiques, l’évolution des deux pays sera différente : Cavour fait de l’Italie une monarchie libérale, constitutionnelle et parlementaire, dirigée par Victor-Emmanuel II. I La restauration et les premiers mouvements

nécessaire pour la défaite de l’Autriche. C’est l’alliance de Victor Emmanuel et de Cavour qui permet au Piémont Sardaigne de devenir une puissance économique et libérale. Cet Etat devient donc le moteur de l’unité italienne. 2.3 Cavour : l'Italie se fera par la guerre (1850-1861) L’unité italienne se fait donc par le « haut ». C’est le mélange des idées de Garibaldi, de son expédition, de Victor Emmanuel, de Cavour et des intérêts de Napoléon III qui permettent l’unité italienne. Cette unité est

national italien, tout en gardant ses spécificités, est imprégné des idées politiques, sociales et culturelles qui circulent alors en Europe. L’unification proprement dite va se faire quant à elle à travers un jeu politique dominé par le comte Benso de Cavour et mettant en scène les puissances européennes que la question intéresse de près, à savoir l’Empire d’Autriche-Hongrie et la France. Le « facteur autrichien »  Dès le départ, le mouvement national italien inquiète l’Autriche-Hongrie qui craint,

D’Azeglio. In questo nuovo governo uno degli esponenti piu’ importanti fu il ministro dell’agricoltura (aveva studiato tecniche agricole estere) e successivamente ministro del commercio e delle finanze, Camillo Benso Conte di Cavour. Grazie all’accordo con la sinistra, il connubio, Cavour sale al governo e con egli inizia lo sviluppo del Piemonte. Egli stipula, infatti, vantaggiosi trattati commerciali con altre nazioni e riesce a trasformare il regime costituzionale in regime parlamentare, dove il governo

le pape : victoire de solférino et de magenta : napoléon 3 irrité parce que cavour entraine tte Italie. Dc napoléon 3 arrete la guerre. Garibaldi : républicain : soulève sud Italie. Cavour finance et arme garibaldi et dc cavour dit a napoléon attention a garibaldi qui unifie tte Italie : la F. tombe ds piège. En 1961 Italie presque réunifié. Cavour malin pr réussir a unifier Allemagne. Bismarck : réaliste : comme cavour : modernise la prusse, réarme et gagne sadawa contre autrichiens : csqce : met

Vittorio Emanuele II, qui est monté sur le trône en 1849. Après une succession de luttes politiques internes et de positions sévères, le Piémont a, à contrecœur, signé lapace de Milan avec l'Autriche en 1849. En 1952, le comte de Cavour, est nommé Premier ministre du Royaume. Cavour a lancé une transformation sans précédent pour le Piémont, notamment grâce aux investissements français. L'idéologie politique du comte prévoyait un élargissement progressif de la démocratie, la protection de la propriété privée

(1813-1887): Issu d'une riche famille de viticulteurs lombards, Agostino Depretis devient avocat. Il adhère au idées républicaines de Giuseppe Mazzini. En 1848, il est élu au parlement de Turin, où il devient un opposant à Cavour. En 1853, il se détache du mazzinisme et se rapproche de Cavour. En 1860, il participe à la conquête de la Sicile par l'expédition des Mille de Giuseppe Garibaldi; il est nommé prodictateur de la Sicile libérée. Mais se montrant trop piémontais il se fâche avec Garibaldi. En 1873

Victor-Emmanuel II, qui fut par après le premier roi de l’Italie unifiée. Il créa une première approche pour une unification, qui fut utilisée comme base après diverses discussions (dont Cavour, le premier ministre, fut aussi acteur). A ce royaume de Piémont-Sardaigne fut rattaché la Lombardie, sous l’impulsion de Cavour. Mais le territoire fut reprit, par la suite, par les Autrichiens. Ce ne fut pas la seule modification posée lors de la 1e révolution (1848). Suite aux insurrections à Palerme, Milan