Ce Qui Creve Mes Yeux

patients comme des sortes de « sorciers » ou « magiciens »  : scène de malédiction de Purgon, Toinette qui donne des ordres au pouls de « battre comme il faut », Argan qui lorsqu’il s’imagine médecin lance une malédiction sur Molière « crève, crève ». Il y a une dimension tragique dans cette attitude car les médecins sont ici comme des sortes de Dieux de la tragédie qui décident du destin des personnages Des traitements inutiles ou qui nuisent aux malades (ex. : argumentation

Un enfant... un rayon de soleil, un cadeau du ciel Qui fait briller des yeux. Il n'y a pas plus Innocent qu'un enfant Et il n'y a pas plus Triste que l'enfant qui Pleure, que l'enfant qui a Faim, que l'enfant qui Souffre. Un enfant. Ce petit être, haut comme trois pommes Fait l'effet d'une douche de bonheur quand il nous sourit. Ce même petit être à la voix douce et gracieuse Met du baume sur le cœur de sa mère, le lui serre s'il pleure Et le lui brise s'il dort pour de bon... Cet

journaliste à L’Humanité. En 1928, il rencontre Elsa Triolet et rompt avec les surréalistes en 1932. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il entre dans la Résistance et publie des poèmes dédiés à Elsa Triolet, sa compagne. Il s’agit du Crève-cœur en 1941 et des Yeux d’Elsa en 1942. En 1970, Elsa Triolet meurt. En 1982, Aragon meurt en décembre à Paris. Informations sur le contexte Ce poème fut publié une première fois en 1943 puis de nouveau en 1944, cette fois avec la dédicace suivante : « A Gabriel

troubler à un tel point qu’il résolut de ne plus faire que deux visites. Le lendemain, comme il entrait à la morgue, il reçut un coup violent dans la poitrine : en face de lui, sur une dalle, Camille le regardait, étendu sur le dos, la tête levée, les yeux entrouverts. Le meurtrier s’approcha lentement du vitrage, comme attiré, ne pouvant détacher ses regards de sa victime. Il ne souffrait pas ; il éprouvait seulement un grand froid intérieur et de légers picotements à fleur de peau. Il aurait cru trembler

qu'on avait éborgné parla le premier, c'était juste.   « Seigneurs, dit-il, je porte plainte contre cet homme qui naguère me harponnant de son grappin m'a crevé l'œil : je suis lésé2. Je veux qu'on m'en fasse justice ; c'est là tout ce que je demande et n'ai rien à dire de plus. »   L'autre répond sans plus attendre :   « Seigneurs, je lui ai crevé l'œil et je ne puis le contester ; mais je voudrais que vous sachiez comment la chose s'est passée : voyez si vous m'en donnez tort. Il était en danger de

Cabaret-Vert : je demandai des tartinesDe beurre et du jambon qui fût à moitié froid.Bienheureux, j'allongeai les jambes sous la tableVerte : je contemplai les sujets très naïfsDe la tapisserie. − Et ce fut adorable,Quand la fille aux tétons énormes, aux yeux vifs,− Celle-là, ce n'est pas un baiser qui l'épeure ! −Rieuse, m'apporta des tartines de beurre,Du jambon tiède, dans un plat colorié,Du jambon rose et blanc parfumé d'une gousseD'ail, − et m'emplit la chope immense, avec sa mousseQue dorait un rayon

Mais quand il apprend que Jacob a privee la benediction d’Issuac,son pere a sa place en dupant leur pere qui est un aveugle, il devient furieux, et cherche a se venger. Resume de la poesie : Eseau attaque Jacob. Jacob riposte. Ils se crèvent les yeux, et la mere souffre, et le lait est tari. Donc il n’y a plus que du sang leur nourriture. La mere nourrit les enfants. Mais les enfants, qui sont les ingrats, ou plutot les animaux babarbres font les meres souffrir. L’idee: Mere patrie. La Terre=

onze ans Vous vous étiez servi simplement de vos armes La mort n'éblouit pas les yeux des Partisans Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'à prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants Nul ne semblait vous voir français de préférence Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant Mais à l'heure du couvre-feu des doigts errants Avaient

métamorphose de la machine en être humain la transfiguration du réel Dès le début de l'extrait, Zola nous indique que la scène est vue par Jacques Lantier à travers la focalisation interne qui démarre à « ouvrit les paupières, ses regards, ses yeux » avec le champ lexical du regard, de la vue. Cette focalisation interne sert à renforcer les sentiments de Jacques pour la Lison. Le parallélisme « en elle et en lui » nous montre l'union qui existait entre Jacques et la Lison. Le côté inéluctable

mondiale une poésie conçue comme une arme. Il publiera un recueil contenant 20 poèmes dedié a sa femme : Les Yeux d'Elsa. Il rassemble des poèmes parus entre juin 1941 et février 1942.  Ce recueil évoque aussi  les malheurs de la guerre et se veut être une contribution poétique à la Résistance  : l'hymne à l'amour est aussi hymne à la France. Qui plus est il écrira entre 1939 et 1940 Le Crève-cœur . Ce recueil contient vingt-deux poèmes et un essai. Le poème La Valse des vingt ans a été interprétée