Cellule de prison

La prison : un mécanisme d’exclusion sociale Je sais bien que quand on rencontre un puni, il faut aussi avoir en tête ses victimes et qu’il n’y a rien d’aussi dangereux et d’inhumain que de le déresponsabiliser et même (oserais-je ?) de le déculpabiliser. Cependant je veux vous faire part de mes révoltes. Tout d’abord, j’ai appris à reconnaître la vérité de la boutade - que je racontais souvent aux détenus qui se disaient innocents - « Mais c’est évident que tu es innocent. Si tu es

I-La situation du texte : Le texte se situe au début du roman à thèse « Le dernier jour d’un condamné »de Victor Hugo. Le narrateur lui-même le personnage principal, captif dans une prison « Bicêtre » pense à sa vie passée et la compare à sa vie présente. II-Identification du texte : Genre : extrait d’un roman à thèse Type : discours et narration Personnage : le condamné Registre : pathétique III-Axes de lectures 1) L’énonciation : -L’émetteur : Un condamné à mort, l’indice personnel

alors qu'il tentait en fait simplement de restituer un drapeau rouge tombé d'un véhicule de livraison. En prison, il ingère accidentellement de la cocaïne, la prenant pour du sel. Dans l'état délirant qui s'ensuit, il est mêlé à une évasion à laquelle il met fin en mettant KO les autres condamnés. Il est alors acclamé en héros par les geôliers et libéré. Pourtant il se sent heureux en prison et voudrait y demeurer. Libéré contre sa volonté, il découvre combien la vie est rude, et rêve de retrouver

apprend qu’il sera condamné à mort. Il lui restera donc 6 semaine à vivre avant de subir sa sentence. Il est alors amené à la prison de Bicêtre, où il y séjournera jusqu’à sa mort, les gardes prennent beaucoup de précaution avec le narrateur. Ensuite, le prisonnier est traité normalement, on lui autorise de l’encre et du papier, il est autorisé à une sortir à l’intérieur de la prison le dimanche. Ce bâtiment est très impressionnant, élégant de loin, sale de près. Il écrit le journal de ses souffrances

(insignifiante) et la commotion qu’elle peut déchaîner. La vulnérabilité ou la débilité des relations amoureuses se reflètent dans le mal provoqué par bricoles et malentendus. Dis à ma fille que je pars en voyage. Caroline rentre en prison et va partager cellule avec une femme qui a déjà passé sept ans, elle est d’une classe sociale plus baisse, le prolétariat. Au débout elles ont des chocs, mais avec peu du temps suffit pour qu’ils puissent arriver à avoir une très bonne amitié. - Théâtre de

M. Coufis pour entendre ses explications. Ce soir-là il aurait été alcoolisé vers 20h15 dans sa cellule. Il avait demandé son transfert depuis quelque temps dans un autre établissement et le directeur de la prison venait de lui annoncer son non-transfert qu’il attendait impatiemment pour se rapprocher de sa famille. Motif de l’acte : Alcoolisé avec 3, 4 Litre de vin. Destruction totale de sa cellule. Le président fit préciser ces explications à l’accusé. L’accusé savait que le transfèrement avait

ouvrage nous parle de la peine capitale : La peine de mort. Un homme incarcéré dans une prison de Paris attend son exécution dans sa cellule piteuse et pitoyable. Le condamné laisse derrière lui sa mère sa femme mais surtout sa petite fille ; qui vient lui rentre visite juste avant son exécution mais ne le reconnait pas. Pour se distraire et surtout fuire ses pensées de mort, le condamné écrit. il décrit aussi sa cellule de fortune. Il se remémore d'anciens souvenirs ; certains bon et d'autre moins comme

banque et touche à l’édition. A partir de 1910, il devient un important critique d’art et écrit dans « L’Intransigeant » et dans « Paris-journal » Son premier roman, « L’Hérésiarque et Cie », paraît la même année. Mais, en 1911, un bref séjour en prison d’une semaine, après le vol de la Joconde, va le marquer profondément. Il sera disculpé, mais sa liaison avec Marie Laurencin se met à battre de l’aile et se termine par une rupture en 1912. Il s’en remettra mal et cela ne fera que le confirmer sur

n’a pas beaucoup de place donc, la défense, les représentants du gouvernement et le juré sont très proche les uns les autres. La cellule de prison ou séjourne Mary Surratt est également l’un des principaux lieux. Cette cellule est une pièce avec des murs en pierre avec une fenêtre. Dans cette cellule la prisonnière n’a qu’un matelas et de la paille rependu dans la cellule. Les principaux protagonistes sont Frederick Aiken et Mary Surratt. Frederick Aiken joué par James McAvoy était un capitaine

Prison récente, vieux problèmes Longuenesse (Pas-de-Calais), envoyée spéciale - Le jour pointe à la maison d'arrêt de Longuenesse (Pas-de-Calais). Un stagiaire de l'Ecole nationale de l'administration pénitentiaire (ENAP), chargé du réveil, contrôle avec un brin d'anxiété qu'il a bien tout son monde. L'homme "en bleu" toque rituellement trois fois sur chacune des portes de la vingtaine de cellules dont il a la charge, puis fourre la clef dans la serrure, qui claque bruyamment. "Bonjour, tout va