Cellules souches embryonnaires

sur la capacité de ces molécules chimiques ou biologiques à corriger les anomalies pathologiques observées dans des cellules souches embryonnaires porteuses de l'anomalie génétique responsable de la dystrophie myotonique de type 1. Fort du succès de ce premier essai, des campagnes de criblages à plus large échelle sont prévues en 2009. Les lignées de cellules souches embryonnaires humaines (hES) portant des gènes mutés responsables de maladies génétiques représentent un outil original et pertinent

lesquels se trouve l'ADN) d'une cellule somatique adulte (par exemple un cellule de la peau, de la glande mammaire, du foie) et à l'injecter dans un ovocyte préalablement vidé de son noyau. Cet ovocyte provient de la mère porteuse, qui est différente de la personne à qui appartient la cellule somatique qui sera clonée. On réalise ensuite la fusion des deux cellules (la cellule somatique et l'ovocyte) en appliquant un champ électrique. Cela endommage souvent les cellules. En cas de réussite, il y a formation

Problématique : -Comment le clonage thérapeutique peut-il aider à la lutte contre le cancer ? Sommaire : -Introduction : 1)-Le cancer un problème de santé publique : A) -Qu’est ce que le cancer ? B) -La prolifération des cellules cancéreuse dans l’organisme. C) -Les soins actuels et leurs effets sur le cancer. 2)-Le clonage thérapeutique une aide à la lutte contre le Cancer : A) -Présentation du clonage thérapeutique et ses techniques. B)

La méthode employée par ces chercheurs utilise des cellules de la peau d'une personne pour les transformer en cellules de sang ayant la même signature génétique, sans utiliser de cellules souches embryonnaires, précise cette étude publiée par la revue Nature. Le fait de ne pas recourir aux procédures complexes et éthiquement controversées qu'implique l'utilisation de cellules souches embryonnaires permet de simplifier le processus, soulignent les chercheurs. «Nous pensons qu'à l'avenir, nous

développer un embryon humain, qui ne seraient pas directement issus des cellules reproductrices d'un homme et d'une femme. La conception in vitro d'embryons humains à des fins de recherche est strictement interdite. La recherche en embryologie humaine est en revanche autorisée sous certaines conditions. En effet un article dit qu'il est autorisée de réalisé des recherches menées sur des embryons humains et des cellules embryonnaires qui s'inscrit dans un but médical. Le projet de loi adopté le 30 janvier

de traitement très prometteuse : LES CELLULES SOUCHES Mais si nous en connaissons les bénéfices, qu'en est-il des risques ? A quand les essais à grande échelle ? Que pensent nos sages de cette nouvelle thérapeutique et de ses éventuelles dérives ? VOICI TOUS LES ENJEUX DE CETTE NOUVELLE RECHERCHE Page2 INTRODUCTION PARTIE 1 : a) définition d'une cellule souche p.3 b) la fonction biologique des cellules souches adultes p.4 PARTIE 2 :

la brebis Dolly, n’est pas d’une complexité extrême. En effet, afin de réaliser ce type de clonage, il faut un ovule, et une cellule de la personne que nous voulons cloner. La méthode consiste donc à prélever en premier lieu une cellule somatique[3] de la personne que l’on veut reproduire (cellule de la peau, par exemple). Par la suite, en laboratoire, le noyau de la cellule va être extrait. Ce noyau contient l’ADN complet de l’être humain à cloner. Par ailleurs, un ovule non fécondé d’une « donneuse »

LE CLONAGE INTRODUCTION : Les scientifiques peuvent cloner des cellules pour deux finalités : ⋄ Pour produire des cellules souches capables de fabriquer n'importe quel type de cellules. Elles pourraient permettre de guérir des maladies jusqu'alors incurables. (Alzheimer, Parkinson, diabète, cancer, leucémie, etc.) Les possibilités semblent infinies. On parle alors de clonage thérapeutique. ⋄ Pour créer un embryon en vue d'une implantation in utero. On parle alors de clonage reproductif

l’ovocyte (= ovule énucléé), puis remplacé par le noyau d’une cellule somatique (non sexuelle, ex : cellules de peau) prélevée sur un individu. L’œuf va commencer sa division et son développement entre autre grâce à des chocs électriques et on le place dans une culture in vitro jusqu’à l’obtention d’un certain nombre de cellules (blastocyste ou embryon préimplantatoire). La partie interne (le futur embryon) contient les cellules souches.

Les différents avis sur la question L'usage des cellules-souches en France et l'évolution du droit La loi de bioéthique de 1994 a prohibé la recherche sur les embryons et les cellules-souches embryonnaires humaines. La révision de cette loi, en 2004, a abouti à prolonger cette interdiction, tout en émettant une dérogation de 5 ans. L'agence de bio-médecine a été chargée de délivrer ces dérogations dans des cas spécifiques « susceptibles de permettre des progrès thérapeutiques majeurs » et s’il