Cendrars Coucher De Soleil

de 1S | Année 2012/2013 | Une Anthologie poétique sur le thème de la nature avec les plus grands poètes du XIXème siècle (Victor Hugo, Théophile Gauthier, Charles Baudelaire, Paul Verlaine, Arthur Rimbaud, Guillaume Apollinaire et Blaise Cendrars) | PRÉFACE « Le poète ne doit avoir qu'un modèle, la nature ; qu'un guide, la vérité.  » - Victor Hugo ; extrait des Odes et ballades La poésie est l’expression littéraire la plus libre et la plus pure qui existe car elle peut exprimer

du Transsibérien et de la petite Jehanne de France, Blaise Cendrars, 1913 Frederic Louis Sauser est un écrivain suisse naturalisé français du 20e s qui est né le 1er septembre 1887 et est décédé le 21 janvier 1961 et appartient au surréalisme. Il est connu sous le pseudonyme de Blaise Cendrars qui fait allusion aux braises et aux cendres permettant la renaissance du phœnix. En raison de ses mauvais résultats scolaires, Cendrars est envoyé en 1904, à 17 ans à Saint-Pétersbourg où il travaille

exotique de Charles Beaudelaire (1842) Au seul souci de voyager … de Stéphane Mallarmé (1842-1898) En bateau de Paul Verlaine (1869) La prose du transsibérien de Blaise Cendrars (1913) Ondes- Voyage d’Apolinnaire (1918) Paquebot in Débarcadères de Jules Supervielle (1922) Moravagine de Blaise Cendrars (1926) Orientales de Francis Etienne Sicard (1995) Au seul souci de voyager… est un poème écrit de 1842 à 1898 par Stéphane Mallarmé. Ce poète est un artiste du 19eme

Intro Nous allons étudier Prose du Transsibérien, un poème en prose, extrait du recueil de poésie intitulé Du monde entier écrit par le romancier et poète Blaise Cendras qui fut publié en 1913. Commençons par quelques mots sur l'auteur. Blaise, né Frédéric-Louis Sauser, le premier septembre 1887 à La Chaux-de-Fonds, canton de Neuchâtel en Suisse, mort le21 janvier 1961 à Paris, est un écrivain d'origine suisse, naturalisé français en 1916. Il mène d'abord une vie d'aventurier et de

périples, sert à souligner la véritable signification de Paris. La ville lumière représente certainement le terminus de la gare; le lieu d’arrivée où l’on demeure. En effet, Paris, rassurante et réconfortante, agit ici comme l’image du chez-soi pour Cendrars et la petite Jeanne. Lors de son périple, Blaise semble gêné et angoissé face à la société qu’il fréquente et semble attendre impatiemment l’arrivée à Paris. L’auteur utilise même l’oxymore entre le chagrin et le ricanement pour accentuer l’aberration

éclatants des grands arbres en fleurs fleurs de carême Blaise Cendrars, Feuilles de route, 1924 Couchers de soleil Tout le monde parle des couchers de soleil Tous les voyageurs sont d’accord pour parler des cou- chers de soleil dans les parages Il y a plein de bouquins où l’on ne décrit que les couchers de soleil Les couchers de soleil des tropiques Oui c’est vrai c’est splendide Mais je préfère de beaucoup les levers de soleil L’aube Je n’en rate pas une Je suis toujours sur le pont

2014 Anthologie Chassez le naturel, il revient au galop. Sommaire Préface Coucher de soleil Fleurs d'avril Dans le parc A l'île natale Après l'hiver Automne malade Bannières de mai Casc ade subliminale Clair de lune Clef des torrents Préface Cette anthologie vous fera découvrir

des sept gares Et je n’avais pas assez des sept gares et des mille et trois tours Car mon adolescence était si ardente et si folle Que mon cœur, tour à tour, brûlait comme le temple d’Ephèse ou comme la Place Rouge de Moscou Quand le soleil se couche. Et mes yeux éclairaient des voies anciennes. Et j'étais déjà si mauvais poète Que je ne savais pas aller jusqu’au bout. Le Kremlin était comme un immense gâteau tartare Croustillé d’or, Avec les grandes amandes des cathédrales

grâce aux saisons et au jour et à la nuit. Elle donne à l’homme toutes les ressources nécessaires pour sa survie que se soit la nourriture ou les matières premières. La nature inspire les poètes grâce aux merveilles qu’elle crée comme l’aurore, le soleil, la lune, des paysages somptueux et une diversité des êtres vivant avec des caractéristique qui leurs son propre. L’Etoile Je revois l’étoile, et je vois. Je vois la mer se reposer dans le reflet de la lune. Tout le monde peut voir. Tout

monde est remplacé par des infos sur l’actualité, par exemple « la Chambre » Cendrars parle ici de la Chambre des députés et la « matière première » qui fait sans doute allusion à l'acier et au charbon ou peut être aux richesses minières dans les colonies, toutes ces richesse sont selon lui « mal gérées » et gâcher. 3ème STROPHE : Contraste entre la vie habituelle et la vie exceptionnelle ○ Dans cette strophe, Cendrars joue sur le contraste entre le temps quotidien, habituel, avec l’indicateur