Centre catholique des intellectuels français

un mathématicien français dont l'existence a correspondu presque exactement avec celle de la moitié du 19° siècle . Auguste Comte est le premier à avoir affirmer que la pensée du sociale pouvait et devait être scientifique . a)- La démonstration de la nécessité de la sociologie : Cette démonstration repose sur la combinaison de deux théories d'Auguste Comte , la première théorie : la loi des trois états , la deuxième théorie : hiérarchie des théories intellectuelles . La loi des trois

intrinsèquement liées : une dimension politique , le régime à cette époque est une monarchie de droits divins, c'est-à-dire que le roi tient directement ses pouvoirs de Dieu, et une dimension religieuse, puisque la population est centrée sur la religion catholique et les valeurs qu’elle impose sur le mode de vie .Celle-ci est totalement influente sur l’autorité royale, elle décrète le bien et le mal, dicte la conduite , et n’accepte d’autre morale que la sienne. « Philosopher, c’est secouer le joug de l’autorité »

mission éducative des établissements catholiques d'enseignement Texte promulgué par la Commission Permanente, le 23 avril 2004 après débat au Comité National de l’Enseignement catholique le 19 mars 2004 PARENTS réimp2007 6/09/07 11:40 Page 2 Préambule L ors du Congrès de l’UNAPEL de Mai 2002 à Reims, Paul MALARTRE, Secrétaire Général de l’Enseignement catholique, a souhaité que soit soumis au Comité National de l’Enseignement Catholique un texte définissant la place des

Bien que lié dès l’origine à la contre-réforme, le mouvement littéraire baroque trouve une sphère d’influence plus large en France avec des écrivains protestants comme Théodore Agrippa d’Aubigné qui était un poète et diplomate francais, et de l’autre des écrivains catholiques comme Pierre Corneille. En Angleterre, on peut déceler son influence dans certaines pièces William Shakespeare. Baroque vient de « barrocco », un adjectif portugais qui était un terme de jouaillerie et désignait des perles de

Cervantès (1547-1616) L'humanisme Objectifs Formes privilégiées Thèmes essentiels Malherbe (1555-1628) Shakespeare (1564-1616) Principes Procédés d'écriture Écrivains humanistes L'humanisme - place l'Homme au Le roman, développe une centre des l'essai, le nouvelle image préoccupations morales portrait, la de l'Homme, et philosophiques littérature libre et épanoui. - encourager les didactique Il s’élève contre sciences et le savoir, (qui les terreurs du ainsi que la lecture des enseigne)

(avec le « marché des Halles »), la Cité siège du pouvoir politique et religieux (encore aujourd’hui avec le « Palais de Justice »), et la rive gauche universitaire et intellectuelle. Un collège fondé en 1257 par Robert de Sorbon est le lieu intellectuel le plus célèbre. L’université de Paris est l’un des grands centres intellectuels. Paris devient au 13ème siècle, avec 80 000 habitants, la plus grande ville de l’Europe chrétienne. Paris en 1493 Paris en 1493 Quoi qu’il en soit, le 14ème siècle

connaissance. Il s'accompagne donc d'une volonté de s'ouvrir au monde (les grandes découvertes), renouveler les connaissances (révolutions scientifiques de Copernic qui place le soleil, et non la terre, au centre de l'univers), d'adopter le doute et l'esprit critique comme méthode intellectuelle. Ces figures fondamentales sont en France Rabelais et Montaigne. Par extension, dans son sens moderne, l'humanisme désigne une théorie ou une doctrine qui prend pour fin la personne humaine et son épanouissement

glissé le régime vers le système autoritaire de l’Empire, accepté avec empressement par les tenants de l’ordre social. SECTION 1 – LES CADRES POLITIQUES Si la Révolution de 1848 s’inspire de celle de 1789, son esprit marque l’apport d’expériences intellectuelles postérieures aux événements de 1789-1799 : le romantisme et le socialisme. Le romantisme a profondément marqué son temps : il a imprégné la plupart des écoles politiques, sociales, religieuses et aucun courant politique n’a entièrement échappé

INTRODUCTION 1ère PARTIE : COMMENT L’EGLISE CONTRÔLAIT LA VIE INTELLECTUELLE : ENTRE DOGME ET DEVELOPPEMENT I) Le monopole du savoir 1) La théologie : reine des sciences 2) Une hégémonie dans toutes les sphères de l’enseignement : l’inexistence de la science laïque 3) Un savoir dogmatique II) L’omniprésence de l’Eglise 1) L’inquisition : la justice de Dieu 2) Des relations houleuses III) En faveur du développement des Sciences 2ème PARTIE : L’EFFRITEMENT DU POUVOIR

pouvoirs au Parlement, ...).   Forces politiques de l’époque : deux ailes, droite et gauche. -          Droite = monarchistes ; parmi eux, deux grands courants, à savoir les Orléanistes, partisans de Louis Philippe, et son des monarchistes modérés (centre droit) : accepte la monarchie tempérée ; le second, les monarchistes légitimistes, car eux plutôt hostile a monarchie de juillet, et partisans de la lignée des Bourbons, se situant sur la droite dure : retour à un retour à l’Ancien Régime, monarchie