Cercle des économistes

La désinflation compétitive La stratégie de la désinflation compétitive est le produit d’un apprentissage douloureux, celui de la contrainte extérieure, affirme en 1997 Frédéric Lordon, économiste français du vingtième siècle. 1. Qu’est ce que la désinflation compétitive? La désinflation compétitive s’inscrit dans le processus de mondialisation, où on observe une ouverture croissante des économies nationales. Il s’agit d’une politique compétitive structurelle à long terme qui lutte contre la contrainte

instentanémént dans la croissance. Le facteur travail joue aussi un rôle important dans la croissance economique cependant il est paussible de définir ce rôle plus brièvement. Le travail influe tout particulierement sur la demande en effet Les économistes keynésiens rapellent que la baisse des salaires réduit le pouvoir d'achat des travailleurs et donc la demande des biens et services qui s’adresse aux entreprises, ces dernières ne seraient plus incitées à embaucher pour accroître leur production

croissance 4,4 %* 0 % (est. 2012) Taux d’inflation 9,7 % (est. 2012) 2,2 % (est. 2012) Taux de chômage 8,5 % (est. 2012) 9,8 % (Est. 2012) Source : CIA World Factbook, données collectées le 20 février 2014 * (Source : SER, consensus des économistes) Accords politiques, juridiques et multilatéraux -Membre du G20 (également G33, G77) -Membre de l’OMC -Membre du FMI -Membre de la Banque mondiale -Membre de la Banque asiatique de Développement -Membre de l’Asia/Pacific

croissance Dans l’analyse keynésienne, l’investissement est un moteur de la croissance à double titre : un investissement est d’abord un élément de la demande finale, mais aussi une source de revenu pour d’autres agents et donc l’initiateur d’un cercle vertueux de la croissance. En termes de demande, l’investissement est donc facteur d’une augmentation plus que proportionnelle de la demande : c’est le principe du multiplicateur. De plus, dans une logique d’offre, il permet d’améliorer les conditions

On comprend ainsi l’impossible comptabilité patrimoniale. D’autre part, l’utilité étant basé sur l’individualisme, la comptabilité ne peut pas calculer le bien-être national. La majorité des économistes tel que F. Perroux refusent donc d’associer le PIB a un indicateur de bien-être. Certains économistes ont pourtant tentés de mesurer le bien être national comme Arkhipoff, sans aucun succès. En effet, Si on utilise le théorème d’impossibilité d’Arrow selon lequel il est impossible agréger des préférences

censés remédier aux « défaillances » du marché. De telles interventions n'aboutissent qu'à perturber l'économie, au bénéfice des uns et au détriment des autres, ce qui justifie de nouvelles interventions toujours plus liberticides, dans un processus de cercle vicieux dont se nourrit l'étatisme. « Optimiser », « planifier », « corriger », tels sont les mots d'ordre de tous ceux qui veulent régenter la vie des autres. Le marché est immoral (ou amoral), c'est pour cela qu'il doit être régulé Il n'est

première apparition devant les députés. Après avoir comparé son charisme a celui d’une serviette mouillée il a terminé son intervention par une question « Qui êtes vous ?». L’organisation de l’UE reste en effet relativement opaque et fonctionne en cercle concentré où de nombreuses décisions sont prises en comité réduit. Le président européen lui même était inconnu du public avant sa nomination. La « question » européenne devient de plus en plus présente à l’esprit public des pays européens. Le sens

des années 20 et l’Angleterre a toujours eu des liens économiques forts avec son ancienne colonie). Ainsi, au rapatriement des capitaux américains après le krach boursier, il est normal de voir la France beaucoup moins touchée. Et, par une sorte de cercle vertueux, la France moins touchée, verra affluer les capitaux qui se tournent forcément vers le havre de prospérité. ! Cependant, dès la fin des années 20, des signes d’un déclin économique sont visibles. On peut déjà voir la base d’une crise qui

consommation (demande) = diminution de l'offre = diminution de l'offre d'emplois = chômage. « C'est un véritable cercle Vicieux ! ». 3. En un mois il y a eu 23 000 chômeurs de plus. Soit une hausse de 0,8%. Ce sont les plus de 50 ans qui sont le plus touchés. Le nombre de demandeurs d'emploi augmente de 1,7% sur un mois et de 17% sur un an. Une situation inquiétante, selon Marion Cochard, économiste et spécialiste du marché du travail : « Ces chômeurs de longue durée perdent progressivement leur indemnisation

d'une crise. Après de la Première Guerre Mondiale, l'économie américaine est la plus puissante au monde. L'Europe lui rembourse sa dette et lui achète de nombreuses marchandises pour sa reconstruction. Pourtant au milieu des années 20, certains économistes s'inquiètent de signes pouvant conduire à une crise. On retrouve ainsi: – un chômage élevé (selon les critères de l'époque): 5% en 1928 – la surproduction des entreprises: Avec le ralentissement de la croissance, la consommation diminue. Mais