Cerne

couleurs P.10 et c'est ça qui donne le contraste – Les différences entre les parties du corps sont délimités par un gros trait noir = cerne => couleurs vives, non réelle; refus de donner la perspective traditionnelle; justaposition des couleurs sans dégradé 54: Paysage marocaine 1912 – pour des couleurs vives, faut du soleil – pas de perspective traditionnelle – cerne pour délimiter les formes – végétaux peint dans une visions de globalité, sans grands détails => qui confère un caractère non réaliste

coupe un arbre il est facile de voir sur la souche des cernes (des ronds) concentriques avec des alternances de couleurs claires et foncées. Chaque année se crée une nouvelle cerne qui est constituée d'une cerne de printemps bois clair et généralement large (plus la cerne est large, plus le printemps aura été humide) et une cerne d'été généralement foncée, ou la pousse est lente. En comptant les cernes des arbres il est possible de connaître l'âge de l'arbre 2 – production de la matière organique par

suffixe « -âtre » est négatif, la couleur du lilas perd alors sa beauté et devient alors péjorative se rapprochant plus de la couleur des cernes répétition du nom cerne. De plus, la répétition du mot « cernes » accentue sur l’aspect péjoratif des colchiques. Il y a donc une antithèse entre la fleuraison dans les yeux du vers 5 et leur cerne dans le vers 6. La comparaison de ces yeux à l’automne évoque toujours l’état d’âme du poète.- Dans le vers 7, qui est le seul vers du poème dans lequel il y a une

composition de cette poésie, le portrait sensuelle puis le portrait diabolique de Carmen. Premièrement, ce texte vient du registre polémique, composé de six quatrains en octosyllabes à rimes croisées avec des enjambement comme «  Un trait de bistre/Cerne son œil.. ». Nous avons plusieurs champs lexicaux celui du corps tels que : “son œil” , “ses cheveux” , “sa peau” , “sa nuque” ,“son chignon”, “son corps mignon”. Du diable : “noir sinistre » qui peut évoquer la mort ou la nuit ; “le diable”, “ ambre

Apogée : 7ème au 5ème 1. Les primitifs (7ème au 5ème siècle) cimetière de Tarquinia, tombe des jongleurs (6ème) mouvement peu de détails art égyptien : visage de profil, oeil de face taille fine disproportion des cuisses : très épaisses contours (cerne) noirs présence de végétation (à droite) : plante irréaliste pas de décor personnage stylisé mur : 2 registres en-dessous : frise (bandeau décoratif) convention : homme noir bronzé oeuf en main + plateau en verre grosses cuisses cheveux roux avec

votre réflexion quant au contenu à établir dans votre dissertation. Ainsi,en vous accordant quelque 10 minutes, vous poserez calmement le sujet et pourrez ainsi éviter l’écueil de la précipitation, qui n’ait jamais prometteur. Une fois que vous avez cerné le thème exact du sujet autant que la période chronologique concernée,vous devez prendre une feuille de brouillon et « coucher sur le papier » les idées qui vous semblent entrer dans le cadre du sujet posé : des dates et événements clés, des noms de

la base des palmiers, que l’on retrouve par touches sur le corps ; ainsi que le rouge, retrouvé sur la bouche et les tétons = dimension érotique. - Lumière qui se construit à partir de la touche de couleur du corps. Matérialité : - Dessin - Cerne très important sur le corps, renforcé par des contours noirs, et parfois doublés d’un halo bleu - aplats importants = contraste entre fluidité du fond, et « dureté » du corps. Spatialité : - Pas de perspective, traitement de profondeur et du

est-ce pour vous ou pour offrir ? Quel usage souhaitez-vous en faire ? Disposez-vous déjà d’une structure d’attaches ? Avez-vous des couleurs de prédilection ?....) Je pense avoir cerné les besoins du client, cerné également ses mobiles d’achat (sécurité et sympathie)

fois), «fumée» (2 fois), «longues» (2 fois), «maison fermée» (2 fois), «nuit(s)» (2 fois), «âtre» (2 fois) II- Anaphore: «Dans la maison pressée de froid Dans la désolation de l'hiver qui dure» III- Anadiplose: «Dans la maison close, cernée de forêts Forêts noires pleines» c) Les figures d'analogie I- personnification: «Car la maison meurt où rien n'est ouvert» II- comparaison: «Et [l'ennui] qui se propage dans la chambre Comme la fumée d'un mauvais âtre

tête au ciel était voisine,Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts. Les Colchiques Le pré est vénéneux mais joli en automneLes vaches y paissantLentement s'empoisonnentLe colchique couleur de cerne et de lilasY fleurit tes yeux sont comme cette fleur-làViolâtres comme leur cerne et comme cet automneEt ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne Les enfants de l'école viennent avec fracasVêtus de hoquetons et jouant de l'harmonicaIls cueillent les colchiques qui sont comme des mèresFilles